Découvrez l’unité de chirurgie carotidienne de l’IMM

La carotide est l’une des principales artères du cou qui apportent du sang au cerveau. En cas de rétrécissement, elle peut être responsable d’AVC.

La sténose athéromateuse de la carotide est une pathologie fréquente mais souvent méconnue, dont les conséquences peuvent être très graves. Heureusement, des solutions – notamment chirurgicales – existent.

Dans cette vidéo, le Dr. Caroline Goulfier, chirurgien vasculaire à l’IMM, nous ouvre les portes de l’unité de chirurgie carotidienne de l’Institut Mutualiste Montsouris. Vous y découvrirez toutes les étapes de la prise en charge des patients.

 

 

L’unité, qui figure cette année en 1ère position du classement du magazine Le Point pour la chirurgie de la carotide, est reconnue pour :

  • Des protocoles mis au point et optimisés depuis plus de 30 ans.
  • Une chirurgie délicate rendue mini-invasive pour un confort maximal du patient.
  • Une équipe expérimentée et à l’écoute, au service du patient et de ses proches.

 

Vous souhaitez prendre rdv avec le département de chirurgie vasculaire ? Prenez rdv sur Doctolib ou contactez le secrétariat par mail (secretariat.vasculaire@imm.fr) ou par téléphone : 01.56.61.67.01.




Interview : Marie, infirmière RAAC à l’Institut Mutualiste Montsouris

Marie Samsoen est infirmière spécialisée en Réhabilitation Améliorée Autour de la Chirurgie (RAAC) à l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) depuis 2022. Au sein du Département de chirurgie thoracique, elle accompagne les malades avant, pendant et après leur chirurgie. Aujourd’hui, elle nous en dit plus sur la RAAC, sur son rôle et sur les effets bénéfiques de cette approche pour les patients.

 

Qu’est-ce que la RAAC ?

 

La Réhabilitation Améliorée Autour de la Chirurgie est une approche globale de la prise en charge du patient avant, pendant et après une intervention chirurgicale. L’objectif principal est d’optimiser sa récupération, de réduire les complications post-opératoires, la douleur et la durée de son séjour à l’hôpital. Une alliance thérapeutique se crée avec le patient, pour l’accompagner vers l’autonomie et la bonne gestion de la douleur.

 

Comment se passe cet accompagnement du patient ?

 

Quand je rencontre un patient pour la première fois, je lui dis parfois que je vais être sa « meilleure amie pour 1 mois ». Il y a une alliance thérapeutique qui se crée dès le départ avec le patient, et nous avons un lien très privilégié. Concrètement, je vois le patient 10 jours avant son intervention pour lui détailler tout le déroulement de la procédure. Je lui explique comment se préparer à la chirurgie. Je compare souvent les patients à des sportifs avant une compétition : la préparation est un facteur déterminant pour réussir au mieux le jour J et récupérer dans de bonnes conditions ! Je l’appelle ensuite 2 jours avant l’opération pour m’assurer qu’il a bien compris les consignes et répondre à ses questions, puis tous les jours pendant son séjour à l’IMM. Nous échangeons ensuite par téléphone le 3ème et le 10ème jour après sa sortie de l’hôpital, pour réadapter les traitements si nécessaire, évaluer la cicatrisation, et s’assurer qu’il retrouve son autonomie.

 

Quels conseils donnez-vous aux patients pour bien se préparer à une opération ?

Je les incite à marcher une heure par jour, à faire de l’exercice, à prendre les escaliers dès que possible plutôt que l’ascenseur… Je leur donne aussi des conseils en nutrition, car une alimentation équilibrée est importante. Je leur demande d’arrêter de fumer et leur propose l’aide de nos addictologies si besoin. Je leur conseille également de faire 4 x 5 minutes de cohérence cardiaque par jour : cette pratique de respiration très simple vise à synchroniser le rythme cardiaque avec la respiration. En régulant le nerf vague, la cohérence cardiaque induit un état de bien-être qui favorise une meilleure récupération. Enfin, je propose un exercice hypnotique, qui accompagnera l’endormissement lors de l’anesthésie

 

Quels sont les bénéfices de la RAAC pour les patients ?

En optimisant leur condition physique et psychologique avant l’intervention, la RAAC permet une récupération post-opératoire plus rapide et efficace. Les patients RAAC sont plus détendus en arrivant au bloc, ce qui favorise l’anesthésie. Après l’opération, ils ressentent généralement moins de douleur, nécessitent moins d’analgésiques et retrouvent plus rapidement leur autonomie. Ils sont plus dynamiques, déjà dans la guérison : c’est pour cela qu’on leur conseille de s’habiller le plus rapidement possible avec leurs vêtements habituels, plutôt que de rester en blouse d’hôpital.

Cette approche globale favorise une mobilisation précoce, une reprise plus rapide de l’alimentation et une diminution significative de la durée du séjour à l’hôpital. Sur le plan psychologique, l’implication active du patient dans sa préparation et sa récupération renforce son sentiment de contrôle et contribue à une meilleure expérience globale de la chirurgie.

 

Quelles sont les qualités nécessaires pour être infirmière RAAC ?

L’écoute est primordiale, ainsi que la disponibilité. Il faut croire profondément en ce que l’on fait pour pouvoir transmettre cette conviction aux patients. Il faut savoir créer des moments positifs, allumer des « lumières » dans leur parcours. J’ai fait 27 ans de bloc opératoire, ça me donne une légitimité auprès des patients. Je peux répondre à leurs questions sur le déroulement de l’opération, l’anesthésie. Cela crée un lien de confiance supplémentaire. Et puis, je sais aussi qu’il est important de parler d’autre chose que de la maladie. Etre infirmière RAAC, ce n’est pas être uniquement soignante : c’est aussi savoir mettre de l’humour, tout en restant professionnelle. Garder le lien avec la famille et les aidants est également crucial. Enfin, il faut savoir travailler en équipe. La RAAC implique les secrétaires, les kinésithérapeutes, l’équipe médicale et paramédicale : c’est avant tout un travail collectif !

 

Vous êtes un.e infirmier.e passionné.e par l’accompagnement personnalisé des patients ? Vous croyez en l’importance de l’éducation thérapeutique ? Vous souhaitez jouer un rôle clé dans leur parcours de guérison ? Rejoignez-nous !




Vigilance fraude

Nous avons été informés que des personnes contactent certains de nos patients par téléphone ou via WhatsApp en prétextant collecter de l’argent au profit de l’Institut Mutualiste Montsouris.

Ces sollicitations sont frauduleuses : l’IMM ne demande jamais d’argent par téléphone ni via des applications de messagerie comme WhatsApp.

Les seuls moyens officiels de faire un don à notre hôpital sont :
• Directement sur notre site internet, via la page de dons 100% sécurisée
• Par chèque à l’ordre de « Fonds de Dotation Montsouris »
• En utilisant les formulaires de dons remis à l’IMM

Nous vous confirmons que nous ne transmettons jamais vos données personnelles à des tiers : nous vous invitons donc à faire preuve de la plus grande vigilance quand vous communiquez vos informations personnelles (n° de téléphone, email, etc.).

Si vous avez le moindre doute sur un appel à don qui vous est adressé au nom de l’IMM, n’hésitez pas à contacter la ligne dédiée : 01.56.61.65.71.




Comment bien choisir sa maternité à Paris ?

Choisir une maternité est une étape importante dans l’aventure de la parentalité. A Paris, les maternités sont nombreuses : face à la diversité des établissements, des niveaux de prise en charge et des philosophies d’accompagnement, il est essentiel de vous informer et de définir vos priorités pour faire le meilleur choix pour vous et votre enfant. Que vous privilégiiez la proximité, l’expertise d’une équipe, un accompagnement spécifique pour votre projet de naissance, ou l’accessibilité financière offerte par le secteur 1, voici quelques conseils pour naviguer dans l’offre parisienne et trouver la maternité qui répondra à vos besoins pour accueillir votre bébé dans les meilleures conditions.

 

Le niveau de la maternité : 1, 2 ou 3 ?

En France, les maternités sont classées par niveau selon les types de soins qu’elles sont en mesure de proposer aux femmes enceintes et aux nouveau-nés. Il existe trois niveaux principaux :
• Niveau 1 : Pour les grossesses sans complications particulières, qui représentent la majorité des grossesses.
• Niveau 2 : Avec une unité de néonatologie pour les bébés nécessitant une surveillance spécifique.
• Niveau 3 : Disposant une unité de soins intensifs néonatals et prenant en charge les grossesses à haut risque et les naissances prématurées.

La maternité de l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) est classée au niveau 1B : elle est habilitée à accompagner les grossesses ne présentant pas de risque particulier et la prise en charge des nouveau-nés dès 35 semaines de grossesse. Au sein de l’un des meilleurs hôpitaux de France, la maternité de l’IMM bénéficie d’un plateau technique de pointe, d’un service de réanimation et d’équipes médicales et chirurgicales reconnues, permettant ainsi de faire face à toutes les situations d’urgence.

 

La proximité géographique de la maternité

La facilité d’accès à votre maternité est un élément important à prendre en considération. Tout au long de votre grossesse, vous serez amenée à vous rendre régulièrement à la maternité, que ce soit pour vos différents examens de suivi de grossesse, votre préparation à l’accouchement ou en cas d’urgence. Il est donc essentiel de choisir une maternité proche de chez vous, facilement accessible.

La maternité de l’IMM est située dans le 14ème arrondissement de Paris, à deux pas du parc Montsouris : très bien desservie en transports commun et à proximité des portes de Paris, elle est facilement accessible pour les futures mamans vivant à Paris, mais également dans les villes proches telles que Montrouge, Issy les Moulineaux, Vanves, Malakoff, Gentilly, Arcueil, Villejuif, Bagneux, Chatillon, etc.

 

Votre projet de naissance

Le choix de votre maternité dépendra également de votre projet de naissance. Il est donc essentiel de vous interroger sur ce que vous voulez :
• Souhaitez-vous un accouchement physiologique, avec peu d’interventions médicales, ou un accouchement médicalisé ?
• Êtes-vous intéressée par des méthodes de gestion de la douleur spécifiques (sophrologie, hypnose, etc.) ?
• Quelle est votre position concernant la péridurale, l’épisiotomie ou la césarienne ?
• Souhaitez-vous rester à la maternité ou, au contraire, rentrer rapidement chez vous ?
• Etc.

Notre conseil : renseignez-vous sur l’offre de soins des différentes maternités parisiennes, afin de trouver celle qui saura vous convenir.

A l’IMM, nous mettons tout en œuvre pour offrir aux futures mamans un accompagnement sur mesure, adapté à leurs besoins et à leurs envies. Nous proposons, entre autres :

• La péridurale déambulatoire : Depuis 3 ans, l’Institut Mutualiste Montsouris fait partie des rares maternités à offrir cette possibilité aux femmes enceintes. La future maman maitrise totalement le dosage de sa péridurale : elle ajuste elle-même la dose, jusqu’à être soulagée comme elle le souhaite, tout en gardant la possibilité de se déplacer, ce qui lui permet de marcher, d’aller aux toilettes, d’utiliser un ballon de grossesse, de changer de position…
• La Happy césarienne : Nous proposons aux futurs parents 5 étapes pour leur permettre de vivre pleinement la naissance de leur enfant, même en cas de césarienne : une détente musicale, l’abaissement des champs opératoires au moment de la naissance, la section du cordon par le/la conjoint(e), le peau-à-peau dès le bloc opératoire, et un contact en visio pour ne rien rater des premiers soins du bébé.
• L’accouchement en ambulatoire : Les jeunes mamans qui le souhaitent peuvent sortir de la maternité moins de 24 heures après leur accouchement. L’accouchement en ambulatoire est parfaitement préparé et encadré, garantissant la sécurité de la mère et de son bébé : c’est une alternative sécurisée à l’accouchement à domicile.

 

L’équipe médicale de la maternité

L’expertise de l’équipe médicale qui vous accompagnera pendant votre grossesse et votre accouchement est un critère essentiel pour bien choisir sa maternité à Paris. Renseignez-vous sur la présence et la disponibilité d’obstétriciens, de sages-femmes, de médecins anesthésistes et de pédiatres. Une équipe pluridisciplinaire et coordonnée, capable de répondre à toutes les éventualités et de soutenir votre projet de naissance, est un gage de sérénité pour accueillir votre bébé dans les meilleures conditions.

A l’IMM, notre équipe pluridisciplinaire vous offre un accompagnement personnalisé et bienveillant, dans une structure à taille humaine, qui travaille dans le respect des recommandations actuelles pour le suivi des grossesses. Tout est mis en œuvre pour que cette expérience se déroule dans les meilleures conditions. Dans un souci d’amélioration continue, nous organisons plusieurs fois par an des simulations d’accouchements dans des situations d’urgence, afin de parer à toutes les éventualités. En 2024, la maternité de l’IMM figurait au classement Le Point des 500 meilleurs hôpitaux de France : une belle reconnaissance du savoir-faire de nos équipes.

 

Les services et équipements de la maternité

Au-delà de l’équipe médicale, les services et équipements d’une maternité à Paris sont des éléments à prendre en compte dans votre choix. Des cours de préparation à l’accouchement sont-ils proposés ? Comment sont les chambres ? Comment sont équipées les salles de travail et d’accouchement ? Vous trouverez toute les informations sur les sites Internet des maternités parisiennes.

La maternité de l’Institut Mutualiste Montsouris offre un cadre entièrement pensé pour le bien-être de la mère et du bébé. Lors de votre grossesse, nous vous proposons des cours de préparation à l’accouchement, des réunions d’informations mensuelles, des séances d’acupuncture pour soulager les « petits maux » de la grossesse et préparer la naissance, un accompagnement par une diététicienne, des échanges avec un psychologue si vous le souhaitez… Tous vos examens de suivi de grossesse (prises de sang, échographies, etc.) peuvent être réalisés dans notre laboratoire, au sein de l’hôpital.

Nous disposons de salles de pré-travail équipées d’une baignoire, et de ballons pour vous aider à gérer vos contractions tout au long du travail.

Le service de suites de couche comprend 32 chambres (dont 28 chambres individuelles) : toutes ont été refaites à neuf, sont spacieuses, lumineuses et parfaitement équipées pour les premiers jours de votre bébé. Vous pouvez également réserver un lit accompagnant pour le co-parent.

A noter : la maternité de l’IMM est l’une des rares à proposer un accompagnement personnalisé et une chambre entièrement équipée pour les personnes en situation de handicap.

 

Secteur (privé / public) et coût d’une maternité à Paris

Les maternités du secteur public, comme celles qui sont à but non lucratif, offrent une prise en charge des frais d’accouchement généralement intégrale par l’Assurance Maladie, assurant une accessibilité financière pour tous. Les maternités privées peuvent proposer des prestations et un confort souvent considérés comme supérieurs, mais engendrent la plupart du temps des dépassements d’honoraires importants, dont le niveau et la prise en charge par votre mutuelle sont à vérifier attentivement.

Comprendre les implications financières de chaque secteur vous permettra de choisir une maternité à Paris en toute transparence et en accord avec votre budget.

L’Institut Mutualiste Montsouris est un établissement privé à but non lucratif : la maternité de l’IMM (secteur 1) offre donc le meilleur des soins à toutes, sans dépassement d’honoraires.

 

Accoucher à l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM)

Vous souhaitez en savoir plus sur la maternité de l’Institut Mutualiste Montsouris ? Retrouvez toutes les informations pratiques sur le site Internet de la maternité de l’IMM ou inscrivez-vous via Doctolib.




Conférence COMMODOL

L’équipe d’anesthésie de l’IMM, en partenariat avec le comité médical de la Fédération Française de Rugby, France Judo, la Fédération Français de Hockey sur Glace, la Fédération Française de Handball, Hyrox France et l’association Alerte Commotions, organise la première conférence COMMODOL sur les Commotions cérébrales et douleurs chroniques chez les sportifs.

Les commotions cérébrales dans le sport constituent un enjeu de santé publique majeur, avec des conséquences potentiellement graves et durables. Depuis plus de 10 ans, de nombreuses mesures de prévention ont été mises en place, mais il n’existe aucun circuit spécifique pour la prise en charge des sportifs souffrant de syndrome douloureux post-commotionnel.

Les douleurs chez le sportif exposé aux commotions cérébrales sont souvent mises à tort sur le compte de l’arthrose ou bien de symptômes psychosomatiques, ce qui ne permet pas une approche thérapeutique adaptée.
Cette conférence, animée par des médecins et experts du sport et de la santé, vise à rassembler tous les acteurs concernés : professionnels de santé, sportifs, entraîneurs, arbitres… et toute personne intéressée par cette problématique.

Au programme :

  • Discuter des aspects scientifiques autour du lien entre commotions cérébrales et douleur chronique
  • Sensibiliser et libérer la parole sur les commotions cérébrales.
  • Présenter un parcours de prise en charge clair.
  • Discuter d’un protocole de traitement efficace.
  • Favoriser les échanges et le partage d’expérience.

Infos pratiques :

Date : Vendredi 13 juin
Heure : De 18h à 21h
Lieu :  L’Institut Mutualiste Montsouris – Paris 14ème

Gratuit et ouvert à tou.tes sur inscription : Je m’inscris




Une possible pair-aidance en addictologie sur l’IMM ?

L’IMM est en train de mettre en place un programme de pair-aidance. Cette approche, qui consiste à mettre en relation des patients ayant des expériences similaires, s’avère très bénéfique pour améliorer le bien-être et l’accompagnement des malades.

Dans cet article, le Dr Gérard Shadili, psychiatre à l’IMM, nous explique ce qu’est la pair-aidance, et nous fait part de son retour d’expérience sur la mise en place d’un premier projet autour de la pair-aidance au sein du département de Psychiatrie.

 

Une possible pair-aidance en addictologie sur l’IMM ?

 

La pair-aidance, on en parle mais peu savent vraiment de quoi il retourne. C’est un lien entre patients, une relation horizontale entre les soignants et celui qui va être pair-aidant. Ce n’est pas une interchangeabilité des rôles de chacun, mais une complémentarité qui permet un mieux-être, une compréhension du vécu interne de celui qui traverse les affres de la maladie, ici l’addiction avec ou sans affection psychiatrique comorbide, oncologique, post-chirurgicale, etc.

C’est un soutien par son semblable, un alter ego qui est un égal, qui est passé sous les mêmes fourches caudines de l’addiction avec son cortège de comorbidités, stigmatisation du « toxico », accidents divers et angoisses de la rechute. C’est une personne qui a emprunté le même chemin ou proche que celui du patient. Il peut donc lui renvoyer du fait « qu’il s’en est sorti ou qu’il a avancé dans son parcours vers l’abstinence », une image que le rétablissement est accessible et non une chimère, l’horizon d’un champ des possibles.

Il est difficile d’en définir le ou les rôles avec précision, tant la fonction est polyvalente.

C’est à la fois une personne à qui l’on peut se confier, sans crainte d’être jugé, quelqu’un qui a un vécu similaire, une histoire proche, une même narrativité de vie, un vécu d’humanité souffrante et victorieuse de son adversité qui se partage.

Héritiers du concept de recovery apparu au milieu du XIXe siècle aux États-Unis dans le cadre de petits groupes d’anciens buveurs qui se réunissaient pour se soutenir dans leur démarche d’abstinence, la pair-aidance a permis un regard différent et empathique sur le vécu addictif.

Beaucoup d’études en addictologie ont démontré l’importance et la légitimité de la place du pair-aidant et son efficacité quant à la baisse de consommation chez les personnes dépendantes, le maintien de l’abstinence et l’émergence de vocations.

En effet retrouver un sens positif à sa vie, se reconstruire narcissiquement et pouvoir de nouveau se regarder dans une glace sans rougir, ni honte, représente une réalité personnelle bidirectionnelle, qui déborde largement le seul domaine l’empathie pour le semblable. Il faut donc aussi une formation à l’entre-aide, à l’écoute de l’autre, pour saisir les enjeux de l’altérité souffrante.

Notre première rencontre avec les pairs-aidants fut au centre de soins et d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA) du centre Emergence-Tolbiac dans le 13ème arrondissement, émanation de l’IMM. Nous avons alors échangé avec l’association des pairs-aidant de la Salpêtrière.

A l’adolescence, de nombreux changements conséquents surviennent, comme une transition importante sur le plan scolaire, les premières relations amoureuses avec les ruptures, le premier emploi, un désir d’autonomie grandissant, la maturation physique et cérébrale et donc de l’appréhension du monde, maturation qui se poursuit au-delà de l’adolescence.

De plus, la sensibilité et la vulnérabilité aux stresseurs, conduit à un risque accru de développer une problématique de santé mentale notamment addictive. L’adolescence est la période des expérimentations et de leurs risques inhérents.

L’adolescence est donc une période critique mais aussi une opportunité pour intervenir de façon précoce et efficace.

Les adolescents sont plus enclins à demander de l’aide informelle, c’est-à-dire offerte par les pairs, que par la famille du fait du travail de séparation/individuation ou que de l’aide formelle offerte par un professionnel.

Ces particularités énoncées de la période adolescente démontrent que la présence de pairs-aidants pourrait s’avérer pertinente mais complexe.

De là est venu dans un premier temps l’idée pour les addictions adolescentes de développer sur l’IMM un projet de rencontre avec des jeunes adultes passés par l’addiction et s’en étant rétablis, et des adolescents encore confrontés à la problématique. Cependant ce projet s’est heurté à des critères de faisabilité, nous amenant à le reconsidérer et travailler plus profondément sa réalisation future.

Nous avons donc dans les suites mis en place un groupe de parole pour les parents d’adolescents aux prises avec les addictions, et prévu à terme un groupe pour les adolescents addictifs.

Celui des parents est effectif et opérationnel depuis mars 2024.

Cependant, l’addictologie à l’IMM ne concerne pas que les adolescents et les adultes jeunes, et nous réalisons un travail de liaison important dans les services MCO. Envisager un programme de pair-aidance avec une composante d’aide pour les addictions serait un accompagnement positif dans le domaine de la comorbidité primaire ou secondaire addictive et serait une valeur ajoutée intéressante pour l’IMM, soit sous forme de groupe pairs-aidants et/ou une liaison de pairs-aidants dans les services MCO, en accord avec les différents chefs de service ou de département et la Commission Médicale d’Etablissement.

Voilà quelques idées d’action qui ont germé et qui soulignent l’intérêt de l’IMM pour la pair aidance.

Un groupe de travail sur la pair-aidance, groupe pluri professionnel avec des patients est en place et y travaille d’arrache-pied. Nul doute que cet apport nouveau trouvera sa place dans l’organisation des soins pour le mieux être en pré et post- hospitalisation des patients et le développement d’une autre culture du soins ou horizontalité des rapports rime avec partage.




Exposition photo de Babacar Diop

L’Institut Mutualiste Montsouris a le plaisir de vous inviter à découvrir l’exposition photographique « Un état de perception » de Babacar Diop, un artiste émergent au regard captivant, qui se tient du 20 mars au 30 juin 2025.

À propos de l’artiste :

Babacar Diop, 32 ans, est un photographe autodidacte passionné, né à Paris de parents sénégalais. Ingénieur en électronique et informatique dans l’aéronautique et l’aérospatial, il consacre ses soirées à explorer les rues de Paris, capturant l’essence éphémère de la vie nocturne.

Son travail :

La photographie de rue de nuit est le terrain d’expression privilégié de Babacar Diop. Il s’attache à retranscrire ses émotions à travers des jeux d’ombres et de lumières, s’inspirant des techniques de Rembrandt et de l’art impressionniste. La nuit, avec ses contrastes saisissants, révèle des détails insoupçonnés, transformant des scènes ordinaires en tableaux poétiques.

Son parcours :

Bien que sa pratique photographique soit récente, Babacar Diop a rapidement su se faire remarquer. Membre du magazine « Street Photography France » depuis 2023, il partage son travail sur Instagram, où il a su créer une communauté engagée autour de son art.

L’exposition :

Cette exposition nous invite à plonger dans l’univers sensible de Babacar Diop. À travers ses clichés, il nous offre une vision personnelle et touchante de la ville, où la lumière révèle la beauté cachée de l’obscurité.

Informations pratiques :

Lieu : Pont de glace – L’Institut Mutualiste Montsouris – 42, bd Jourdan – 75014 Paris
Dates : du 20 mars au 30 juin 2025
Horaires : Du lundi au vendredi – 8h à 20h
Entrée libre

Suivre l’artiste :

Instagram/Threads: @Babsraw

Site Internet : www.babsraw.com 

Profil Street Photography France : https://streetphotographyfrance.fr/babacar-diop/ 




Information patients : Point sur la situation de l’IMM

 Chère patiente, Cher patient,

Vous avez peut-être lu dans la presse que l’IMM traversait une période difficile, et nous souhaitons aujourd’hui vous informer directement de la situation. Notre établissement a demandé son placement en redressement judiciaire, étape nécessaire pour assainir notre situation financière.

Nous savons que cette nouvelle peut susciter de l’inquiétude, c’est pourquoi nous tenons à vous rassurer : l’IMM poursuit normalement ses activités et rien ne change pour vous.

L’IMM connait en effet des difficultés financières depuis longtemps, en raison d’une situation immobilière complexe qui vient impacter lourdement notre budget. Pour autant, notre activité est en forte hausse, et nous figurons tous les ans dans les classements des meilleurs hôpitaux au plan national comme international. Nous sommes donc sereins et confiants dans la capacité de l’IMM à assurer sa transformation sur le long terme avec le soutien des autorités sanitaires.

Tous nos services sont et resteront pleinement opérationnels : tous les soins, consultations, hospitalisations, interventions… sont assurés avec les mêmes garanties d’excellence et de sécurité.

Nos professionnels sont mobilisés pour continuer à assurer nos missions de service public et à vous apporter au cours des années à venir les soins de la plus haute qualité, toujours sans dépassement d’honoraires.

Si vous avez la moindre question, nous vous invitons à nous contacter sur la ligne dédiée (ouverte du lundi au vendredi de 9h30 à 18h) : 01.56.61.65.71.

Nous vous remercions de votre confiance,

Jean-Michel Gayraud (Directeur général) et les équipes de l’IMM




Communiqué de presse : OPTI-DEPIST-MUT

L’Institut Curie mène, en partenariat avec l’Institut Mutualiste Montsouris et le Centre de Santé du Square de la Mutualité, l’étude pilote OPTI-DEPIST-MUT : OPTImisation de l’Implémentation du DEPISTtage du cancer broncho-pulmonaire en Ile de France.

Lancé le 6 janvier 2025, cet essai vise à évaluer la faisabilité d’un diagnostic précoce du cancer du poumon auprès d’une large population à risque en Ile-de-France. Menée dans le cadre de la stratégie décennale de lutte contre le cancer et avec le soutien de la Fédération Nationale de la Mutualité Française (FNMF), c’est actuellement l’unique étude du genre en cours en France.

« Les actions de prévention contre le tabagisme – responsable de plus de 80 % des cancers du poumon – sont absolument essentielles. Mais un autre levier est tout aussi capital : le diagnostic précoce de la maladie. Parce qu’en France, plus de la moitié des cancers du poumon sont détectés à un stade métastatique, le dépistage organisé auprès de certaines personnes à risque peut considérablement changer la donne. A travers l’étude OPTI-DEPIST-MUT, portée par l’Institut Curie et l’Institut Mutualiste Montsouris, nous voulons montrer que, pour répondre à cet enjeu de santé public majeur, le déploiement et la mise en œuvre du dépistage organisé est possible », déclare le Pr Nicolas Girard, pneumologue, chef du département d’oncologie médicale de l’Institut Curie, coordinateur de l’étude OPTI-DEPIST-MUT.

Détecter le cancer du poumon à un stade précoce

Le cancer du poumon est la première cause de mortalité par cancer en France et son incidence augmente, en particulier chez les femmes[1]. Imputable au tabac dans 80 % des cas, ce cancer est trop souvent diagnostiqué tardivement. Plus de la moitié des patients découvrent leur maladie au stade métastatique suite à l’apparition de symptômes, et malgré les traitements, le pronostic est sombre. En revanche, dans les situations où le diagnostic est posé précocement, la chirurgie – quand elle est possible – est un traitement curatif, avec une survie supérieure à 85% à 5 ans[2].

A l’heure actuelle en France, il existe 3 types de dépistages organisés pour les cancers du côlon, du sein, du col de l’utérus. Concernant le poumon, si des questions sont posées autour du choix de la population cible et de l’interprétation des résultats, des études internationales ont démontré l’intérêt d’un dépistage des personnes exposées au tabagisme avec un suivi par scanner réduisant de 20 à 40 % la mortalité attribuable au cancer du poumon[3]. Dans le cadre de la stratégie décennale de lutte contre les cancers de l’INCa, la France a donc lancé des travaux pour établir les leviers et les freins au dépistage : c’est dans ce cadre que s’inscrit l’étude OPTI-DEPIST-MUT.

OPTI-DEPIST-MUT : une étude originale en Ile-de-France

Conduite par l’Institut du Thorax Curie-Montsouris, l’étude OPTI-DEPIST-MUT vise à recruter sur 18 mois 500 participants – la plus large cohorte mise en œuvre à ce jour – auprès de 10 centres d’inclusion, en s’appuyant sur le réseau de la Mutualité Française Ile-de-France qui regroupe plus de 5,2 millions d’adhérents en Ile-de-France et sur l’infrastructure du Centre de Santé du Square de la Mutualité qui effectuera les scanners de dépistage.

OPTI-DEPIST-MUT démarre par une campagne d’information et l’ouverture d’une plateforme Internet permettant aux personnes ciblées de vérifier leur éligibilité au programme, à travers une auto-évaluation des critères d’inclusion et d’exclusion (âge entre 50 à 74 ans, fumeur(se) ou ancien(e) fumeur(se) sevrés depuis 10 ans ou moins, résident(e) en Ile-de-France…). Les personnes éligibles sont ensuite orientées vers les centres investigateurs, avec un rendez-vous dédié, puis effectueront un scanner dans un délai maximal de 4 semaines. Le recrutement aura ainsi lieu sur 18 mois et les premiers scanners sur la 1ère année de l’étude, avec des suivis programmés à un an, trois ans et cinq ans.

Cette étude pilote menée à l’échelle de l’Ile-de-France offre ainsi une opportunité unique d’évaluer les modalités de mise en œuvre d’un dépistage du cancer broncho-pulmonaire en Ile-de-France, répondant aux enjeux de l’organisation d’un parcours de soins dédié.

Au-delà du dépistage précoce, la collecte des images radiologiques au cours de l’essai permettra de développer des outils numériques pour optimiser la lecture des scanners (analyse d’image, intelligence artificielle), mieux sélectionner les personnes les plus à risque et faciliter ainsi la prise en charge des dépistages positifs. Chiffres clefs cancers du poumon en France (source INCa 2024)

> 52 777 nouveaux cas en 2023

> 30 400 décès en 2021

> En 2017, la prévalence du cancer du poumon est estimée à 169 718 personnes

> Age médian au diagnostic : 68 ans chez les hommes / 66 ans chez les femmes

> Taux de survie nette standardisée à 5 ans : 20%Pour en savoir plus sur l’étude OPTI-DEPIST-MUT : curie.fr/opti-depist-mut

 

A propos de l’Institut Curie

L’Institut Curie, 1er centre français de lutte contre le cancer, associe un centre de recherche de renommée internationale et un ensemble hospitalier de pointe qui prend en charge tous les cancers y compris les plus rares. Fondé en 1909 par Marie Curie, l’Institut Curie rassemble sur 3 sites (Paris, Saint-Cloud et Orsay) plus de 3 800 chercheurs, médecins et soignants autour de ses 3 missions : soins, recherche et enseignement. Fondation reconnue d’utilité publique habilitée à recevoir des dons et des legs, l’Institut Curie peut, grâce au soutien de ses donateurs, accélérer les découvertes et ainsi améliorer les traitements et la qualité de vie des malades.

Pour en savoir plus : curie.fr, Twitter, Facebook, LinkedIn, Instagram

 

A propos de l’Institut Mutualiste Montsouris

L’IMM est un Etablissement de Santé Privé d’Intérêt Collectif ouvert à tous sans dépassement d’honoraires. Situé au 42 boulevard Jourdan Paris 14e, il constitue une structure hospitalière de 485 lits et places et développe principalement des activités lourdes ou complexes à dominante chirurgicale dans la plupart des domaines pathologiques, en dehors de la neurochirurgie et de l’ORL. Il propose également des parcours de soins dédiés aux personnes en situation de handicap. Pôle d’excellence en recherche et enseignement, l’IMM est à la pointe des innovations technologiques et figure parmi les meilleurs établissements de France.

En savoir plus : imm.fr | LinkedIn | Facebook | Instagram

 

A propos de l’Institut du thorax Curie Montsouris (ITCM).

L’ITCM regroupe le département de pneumologie et de chirurgie thoracique de l’Institut Mutualiste Montsouris et les départements d’oncologie médicale et d’oncologie radiothérapique de l’Institut Curie. Ces deux centres se sont unis pour permettre aux patients atteints de cancer du poumon et d’autres infections du thorax de bénéficier d’un parcours de soins coordonné et de l’expertise des professionnels des deux Instituts.

 

A propos du Centre de Santé du Square de la Mutualité

Le Centre de Santé du Square de la Mutualité, situé dans le 5ème arrondissement de Paris, garantit une offre de premier recours et pluridisciplinaire accessible à tous. Le Centre propose des consultations en secteur 1, sans dépassement d’honoraires pour toutes ses activités médicales, dentaires et d’imagerie.

Il accueille 40 000 patients et réalise plus de 100 000 consultations chaque année.

Le Centre a constitué un réseau ville – hôpital avec ses partenaires, l’Institut Curie et l’Institut Mutualiste Montsouris, qui permet ainsi de proposer une prise en charge complète, de la prévention au dépistage jusqu’à la chirurgie et au traitement du cancer si nécessaire.

[1] Source INCa 
[2] Raz DJ, Zell JA, Ou SH, et al. Natural history of stage I non-small cell lung cancer: implications for early detection. Chest 2007;
[3] Oken MM, Hocking WG, Kvale PA, et al. Screening by chest radiograph and lung cancer mortality: the Prostate, Lung, Colorectal, and Ovarian (PLCO) randomized trial. JAMA, 2011 / Pastorino U, Silva M, Sestini S, et al. Prolonged Lung Cancer Screening Reduced 10-year Mor tality in the MILD Trial Annals of Oncology, 2019 / Ann van Klaveren RJ, Oudkerk M, Prokop M, Scholten ET , Nackaerts K, Vernhout R, et al. Management of lung nodules detected by volume CT scanning. NEJM, 2009



L’IMM lauréat des Trophées de la qualité des soins

Créés en 2024 par l’Agence Régionale de Santé, les Trophées de la qualité des soins récompensent l’excellence des professionnels de santé en Île-de-France. En valorisant les initiatives innovantes et les pratiques exemplaires, ils contribuent à améliorer la prise en charge des patients et à inspirer l’ensemble du secteur.

L’ARS d’Ile-de-France a annoncé les lauréats des Trophées de la qualité des soins, parmi lesquels figure le projet « Patient et Gestion des Risques : intégration de la voix du patient à l’analyse des EIAS et des patients partenaires au CREX et RMM » de l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM).

Depuis plusieurs mois, l’IMM a mis en place mis en place un processus de recueil enregistré et filmé du ressenti du patient pour l’analyse des Evènements Indésirables Associés aux Soins (EIAS) qui surviennent.

Dans une démarche d’amélioration continue de nos process, nous avons souhaité associer le patient, dont la parole est essentielle, au retour d’expérience suivant la survenu d’un événement indésirable.

Nous sommes très fiers de voir ce projet de collecte récompensé : il s’inscrit dans le cadre de notre volonté d’amélioration continue, et constitue la première étape d’un projet ambitieux intégrant, à terme, un « pool » de patients experts formés qui accompagneront cette démarche à nos côtés.




Exposition « Au cœur du bloc »

L’Institut Mutualiste Montsouris est heureux de vous présenter l’exposition photo « Au cœur du bloc », réalisée par Anne-Claire Lambert, Infirmière de Bloc Opératoire Diplômée d’Etat (IBODE) et photographe amateur.

À travers 23 clichés originaux, vous découvrirez les coulisses de nos blocs opératoires et le travail de nos équipes.

Au-delà des blouses blanches, des masques, des instruments chirurgicaux, se dévoile une humanité à l’œuvre. Ces images vous invitent à un voyage au cœur du bloc opératoire, où science et engagement se conjuguent pour offrir une nouvelle chance à la vie. Ces photographies saisissent l’intensité de ces moments uniques. Elles rendent hommage à ces femmes et ces hommes qui, chaque jour, accomplissent leur mission avec un dévouement exceptionnel.

Nous vous attendons nombreux !

Informations pratiques :

Exposition gratuite

A partir du 3 janvier 2025

Grilles extérieures de l’IMM – 42-44 boulevard Jourdan – 75014 Paris

 




Exposition de photos de Karin Ansara à l’IMM

L’Institut Mutualiste Montsouris est heureux d’accueillir, du 2 janvier au 30 avril 2025, l’exposition photographique « Singularités islandaises » de Karin Ansara, artiste franco-finlandaise reconnue pour son regard unique sur l’architecture et la photographie argentique.

 

Un parcours riche et varié

Depuis plus de quatre décennies, Karin Ansara explore les différentes facettes de la photographie. Après avoir débuté comme assistante de studio et travaillé pour des agences d’illustration, elle s’est spécialisée dans la photographie d’architecture, notamment en réalisant de nombreux reportages pour la presse spécialisée. Son travail sur les maisons traditionnelles finlandaises, récompensé par une bourse de la Fondation Alfred Kordelin, a marqué un tournant dans sa carrière. Karin Ansara a un studio de prise de vue à Paris et est également formatrice.

 

Un retour aux sources

Pour cette exposition, Karin Ansara nous invite à découvrir son attachement profond à l’Islande. À travers ses paysages, elle nous dévoile une sensibilité toute particulière et une maîtrise technique remarquable. Son savoir-faire et son œil incomparable pour saisir la beauté d’un lieu confèrent à ses œuvres une dimension unique et intemporelle.

 

Une exposition pour tous

Que vous soyez passionné d’art, de photographie ou simplement curieux de découvrir de nouveaux talents, les œuvres de Karin Ansara sauront vous émouvoir et vous transporter. Elles seront également, pour les patients de l’IMM, une fenêtre sur le monde.

Toutes les œuvres exposées sont en vente : une partie du montant des ventes est reversé au Fonds de Dotation Montsouris et contribue à financer les actions de notre hôpital.

 

Informations pratiques

  • Lieu : Couloir des Consultations – Institut Mutualiste Montsouris – 42 bd Jourdan – 75014 Paris
  • Dates : du 2 janvier au 30 avril 2025
  • Vernissage : vendredi 17 janvier à partir de 17h30
  • Horaires : du lundi au dimanche, de 8h à 20h
  • Entrée libre

L’Institut Mutualiste Montsouris est fier de soutenir l’art et la culture et d’offrir à ses patients, visiteurs et équipes un moment de détente et de découverte.




Renouvellement de l’accréditation du laboratoire de l’IMM

Le laboratoire de biologie médicale de l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) est fier d’annoncer le maintien de l’accréditation sur la nouvelle version de la norme sans écart.

Cette accréditation témoigne de notre engagement constant à offrir des analyses de haute précision, tout en garantissant une prise en charge optimale de nos patients.
L’accréditation délivrée par le Cofrac (Comité Français d’Accréditation) confirme que notre laboratoire respecte des normes strictes à chaque étape des analyses médicales, de la phase pré-analytique à la post-analytique.

Pour les patients et les prescripteurs, cela signifie des résultats d’une grande précision, une sécurité renforcée et une conformité aux standards internationaux les plus élevés. Le laboratoire de l’IMM, polyvalent et ouvert à tous, participe activement à la prévention, au diagnostic et au suivi thérapeutique, tout en offrant des conseils avisés aux NF EN ISO 15189 :2022 médecins et aux patients.

Cette certification est le fruit de l’engagement et du professionnalisme de toute l’équipe du laboratoire.

Accréditation N°8-3143 Portée disponible sur www.cofrac.fr

 




L’IMM au palmarès des 50 meilleurs hôpitaux de France

Le magazine Le Point vient de publier son palmarès des 50 meilleurs hôpitaux de France : pour l’année 2024, l’IMM figure en 32ème position et devient le 2ème Etablissement de Santé Privé d’Intérêt Collectif (ESPIC) de France !

Ce classement annuel, véritable référence à l’échelle nationale, évalue la qualité des établissements hospitaliers en France.
Il est établi à partir d’une méthodologie rigoureuse qui prend en compte de nombreux critères, tels que les résultats des patients, l’activité médicale, les moyens humains et matériels, la satisfaction des patients…

Bravo à toutes les équipes de l’IMM : cette distinction est une reconnaissance de la qualité des soins que nous offrons à nos patients, de notre haut niveau de savoir-faire et de notre capacité à innover.

Découvrez le classement détaillé de nos 20 spécialités référencées dans le classement :

Classement général : 32ème (2ème ESPIC)

Maternité :
• Accouchements normaux : 43ème /393

Cardiologie :
• Angioplastie coronaire : 4ème /199
• Chirurgie cardiaque adulte : 21ème /38
• Rythmologie : 5ème /244
• Cardiologie interventionnelle : 4ème /201

Veines et artères :
• Chirurgie des carotides : 1er /133
• Chirurgie des artères : 28ème /203

Orthopédie :
• Prothèse de hanche : 34ème /360
• Prothèse du genou : 7ème /343
• Chirurgie du dos de l’adulte : 19ème /122

Urologie :
• Cancer de la prostate : 1er / 138
• Adénome de la prostate : 2ème /246
• Cancer de la vessie : 1er /240

Gynécologie :
• Fibrome utérin : 10ème /311

Appareil Digestif :
• Chirurgie de l’obésité : 15ème /183
• Chirurgie du rectum : 34ème /162
• Cancer de l’estomac et de l’œsophage : 13ème /69
• Hernie de l’abdomen : 38ème /404

Ophtalmologie :
• Cataracte : 50ème / 302

Cancérologie :
• Cancer du poumon : 3ème /76




JOURNÉE DE SIMULATION EN OBSTETRIQUE : une première à l’IMM

Le mardi 12 novembre, une trentaine de soignants de l’IMM étaient réunis autour d’un projet ambitieux d’une ampleur jamais vue dans nos locaux : une journée complète de simulation de scénarios d’urgence sur une femme enceinte. L’occasion pour les équipes de mettre en pratique les procédures d’urgence mises en place à l’IMM, dans le cadre d’une démarche d’amélioration

La simulation, un atout précieux en obstétrique

La simulation s’impose comme un outil indispensable dans la formation des professionnels de santé, et l’obstétrique ne fait pas exception. En reproduisant des scénarios d’accouchements complexes et inattendus, les simulations permettent aux médecins, sages-femmes et autres professionnels de se préparer au mieux à des situations réelles.

Grâce à ces exercices, les équipes médicales peuvent affiner leur coordination, améliorer leur communication et optimiser la prise en charge des patientes, contribuant ainsi à une meilleure sécurité maternelle et néonatale.

 

Une journée – deux scénarios

La simulation s’est déroulée sur toute la journée. En début de matinée, tous les participants ont participé à un briefing permettant de rappeler les enjeux de cet exercice, et les procédures & protocoles à suivre en cas de situations obstétricales urgentes. Ils ont également découvert le matériel mis à leur disposition et le mannequin sur lequel seraient effectuées les manipulations.

Les observateurs se sont alors mis en place et le premier scénario a été lancé : une situation d’urgence autour d’une femme enceinte, dans les couloirs de l’IMM. Tous les participants à l’exercice ont fait face à la situation dans les conditions du réel.

Une fois l’exercice terminé, un temps de débriefing a permis de partager les expériences, d’identifier les points forts et les pistes d’amélioration, favorisant ainsi un apprentissage mutuel et une meilleure coordination de l’équipe. Une seconde session, avec un autre scénario, en salle de naissance, a eu lieu l’après-midi.

 

Un beau succès collectif

Dès le débriefing, les participants ont montré leur enthousiasme. « Moins on est confrontés, moins on a l’habitude, et moins on pratique, moins on est efficace, explique une participante. C’est vrai que si on pouvait avoir la chance de le refaire régulièrement, ça ferait vraiment la différence ».

Pour Dr. Marlène Cherruault, l’une des organisatrices, cette journée a été une vraie réussite collective : « Nous sommes très contents de cette première simulation d’une telle ampleur, et nous prévoyons déjà d’en organiser d’autres. Les premiers retours nous prouvent l’importance de ce genre d’exercice : c’est très bénéfique pour l’équipe, et c’est un réel atout en matière d’apprentissage, quel que soit le niveau d’expérience des participants ».

La formation continue est au cœur de la démarche de l’IMM. Nous sommes convaincus que la simulation est un outil indispensable pour garantir l’excellence des soins : c’est pourquoi d’autres expériences d’apprentissage sont déjà prévues au cours des prochains mois.

 




Rythmologie : première nationale à l’Institut Mutualiste Montsouris

Les premiers stimulateurs cardiaques sans sonde à double chambre ont été implantés le 4 novembre 2024 à trois patients du Département de Rythmologie de l’Institut Mutualiste Montsouris, hôpital privé à but non lucratif (PARIS 14ème), reconnu en quelques années comme l’un des centres les plus performants de France.

Ce premier stimulateur cardiaque sans sonde à double chambre miniaturisé (plus petit qu’une pile AAA), a également été implanté en simultané au CHU de Grenoble, à l’Hôpital Européen Georges Pompidou AP-HP (Paris 15ème) et au CHU de Tours.

Depuis des décennies, la technologie des pacemakers ne cesse d’évoluer jusqu’à atteindre aujourd’hui un degré de miniaturisation et d’adaptabilité uniques au monde, occasionnant par là-même un confort et une sécurité inédits pour les patients.

 

Du pacemaker traditionnel au pacemaker sans sonde

Le pacemaker traditionnel, implanté depuis des décennies, est composé d’un boîtier comprenant la batterie au niveau de la poitrine et d’une ou plusieurs sonde(s) permettant de délivrer l’énergie dans le cœur du patient. Ce système peut parfois s’accompagner de complications ou de contraintes comme des infections, des fractures des sondes ou encore, des limitations dans les mouvements. Ces dispositifs laissent aussi des cicatrices visibles et obligent les patients à se conformer à des restrictions physiques après l’implantation.

La technologie du pacemaker sans sonde a marqué un tournant dans la prise en charge des patients cardiaques. Il est implanté directement dans le cœur via la veine fémorale par une procédure miniinvasive. Ce type de dispositif élimine les complications liées aux sondes et offre au patient une récupération plus rapide et sans cicatrice.

 

Du pacemaker sans sonde au premier stimulateur sans sonde à double chambre

Jusqu’à aujourd’hui, les stimulateurs cardiaques sans sonde étaient limités à l’implantation d’une capsule dans le ventricule droit. Cependant, environ 80 % des patients nécessitant une stimulation cardiaque ont besoin d’une thérapie à double chambre, pour assurer la coordination entre les battements de l’oreillette et ceux du ventricule. Le premier stimulateur sans sonde à double chambre répond à ce besoin.

Deux implants distincts sont utilisés pour stimuler à la fois l’oreillette droite et le ventricule droit. Grâce à la technologie de communication innovante i2i™ (implant-à-implant), les deux dispositifs communiquent entre eux à chaque battement du cœur, assurant ainsi une coordination parfaite entre les deux chambres du cœur. Cette synchronisation est essentielle pour maintenir un rythme cardiaque normal et donc soulager les patients ayant des symptômes d’arythmie, notamment la fatigue, les étourdissements ou les essoufflements.

« Et ceci n’est qu’un début ! » selon le Docteur Olivier VILLEJOUBERT, cardiologue-rythmologue à l’Institut Mutualiste Montsouris et spécialisé en stimulation cardiaque sans sonde. « Cette technologie révolutionnaire d’implants capables de fonctionner de manière autonome mais aussi de communiquer entre eux permet d’envisager un système de stimulation évolutif en fonction des besoins de chaque patient. Avant, pour faire évoluer un pacemaker, il fallait le remplacer par un nouveau. Avec ce nouveau système, on rajoute une capsule qui vient compléter la première, comme si on « rajoutait une option ».

« Notre équipe a développé une grande expérience en stimulation cardiaque depuis des années (1200 pacemakers et défibrillateurs par an), en particulier en stimulation cardiaque sans sonde. Une telle évolution est pour nos patients un très grand pas : d’une part, ce système a un taux de complication très faible, et, d’autre part, il est évolutif. D’ici peu, nous auront accès aux capsules de resynchronisation cardiaque qui aident la contraction du cœur, et l’ensemble pourra probablement être intégré à un système de défibrillation pour la prévention de la mort subite. C’est un véritable écosystème évolutif qui vient de naitre ! ».

 

Des bénéfices concrets pour les patients

Les résultats des études cliniques sur le stimulateur cardiaque sans sonde à double chambre sont très significatifs. Le taux de réussite de l’implantation atteint 98,3 %, et plus de 95 % des patients ont bénéficié d’une synchronisation auriculo-ventriculaire parfaite après l’implantation. En pratique pour le patient, cela se traduit par des changements notables : absence de cicatrice donc plus de rappel visible de la présence d’un stimulateur au niveau de la poitrine, et plus aucune restriction de mouvement du bras. Les patients peuvent ainsi reprendre leur vie plus rapidement, sans les contraintes des pacemakers traditionnels.

Cette nouvelle technologie de stimulation sans sonde proposée apporte aujourd’hui une plus grande flexibilité pour le médecin dans l’adaptation de la thérapeutique à la condition de son patient. Le système est conçu pour pouvoir évoluer : un patient peut commencer avec l’implantation d’un stimulateur pour une seule chambre (ventriculaire ou auriculaire), il est ensuite possible d’ajouter un second implant si une stimulation à double chambre devient nécessaire. Cette capacité à évoluer avec les besoins du patient est une avancée majeure dans la prise en charge des soins cardiaques modernes.

Le dispositif, auriculaire et ventriculaire est aussi conçu pour être récupéré à long terme lorsque celui-ci arrive en fin de vie, permettant ainsi de le remplacer sans laisser de matériel dans le corps du patient.

 




JEUX OLYMPIQUES ET PARALYMPIQUES / ACCEDER A l’IMM

Voici les dates où nous sommes le plus impactés :

  • Zone rouge le 3 août de 9h30 à 18h30
  • Zone rouge le 4 août de 12h30 à 19h

Ces journées étant des épreuves sur routes, les périmètres seront libérés progressivement 15 minutes après le passage du dernier concurrent.

Pour venir à l’IMM pendant les créneaux horaires de fortes difficultés, IL EST INDISPENSABLE D’AVOIR VOTRE ATTESTATION SUR VOUS  :

  • Pour les patientes enceintes, l’attestation va vous être envoyée par mail si vous arrivez au terme de votre grossesse jusqu’au 10/09. Vous pouvez également la demander au secrétariat lors de votre consultation. Vous n’avez rien reçu, vous avez des questions ? Contactez le secrétariat à l’adresse mail : inscriptionmaternité@imm.fr ou par téléphone de 9h à 17h du lundi au vendredi.
  • Pour les patientes ayant été hospitalisées pour une chirurgie, une attestation vous sera remise à la sortie de votre hospitalisation.
  • En cas d’urgence et de difficultés de circulation, vous pourrez nous joindre sur le numéro d’urgence accessible dans l’onglet Infos pratiques/Contact

Afin de préparer au mieux vos rendez-vous, vous trouverez ci-dessous un lien qui vous permettra de visualiser sur une carte de Paris interactive l’état des transports jour par jour et heure par heure, en fonction de :

  • Votre lieu d’habitation
  • L’adresse de l’IMM

https://anticiperlesjeux.gouv.fr/carte-interactive-impacts-deplacements-ile-france

 

Si vous habitez en zone rouge, un Pass Jeux avec un QRcode pour circuler sera obligatoire du 18 juillet (une semaine avant la cérémonie d’ouverture) au 11 août et du 28 août au 8 septembre prochain (date de fin des Jeux paralympiques). Plus d’information : https://www.pass-jeux.gouv.fr

N’oubliez pas d’anticiper votre arrivée en hospitalisation ou en consultation en intégrant une marge de temps supplémentaire par rapport à une période normale.

L’agence régionale de santé d’Ile-de-France recommande :

  • D’éviter le transport avec un véhicule personnel pour se rendre à la maternité surtout sur les créneaux horaires de fortes difficultés
  • De préférer l’appel d’un taxi (pas de VTC car ils ne sont pas autorisés à emprunter les voies réservées aux jeux olympiques). Nous établirons un bon de transport ultérieurement pour vous faire rembourser
  • En l’absence de solution, appeler le 15 sur les créneaux horaires de fortes difficultés

Plus d’information : https://www.iledefrance.ars.sante.fr

 




La maternité pendant les JO

Votre accouchement est prévu pendant les Jeux olympiques ou paralympiques ?
RDV sur https://www.maternite-montsouris.com




Temoignage 3

L’IMM : un service de santé au top ! Opéré en ambulatoire le 30/04 dans le service de chirurgie digestive, très bien organisé, tout est fait pour que l’on se sente en confiance, les infirmières du bloc viennent vous chercher, elles se présentent et vous accompagnent. Au bloc, l’infirmière anesthésiste se présente également, vous vous installez et tout le monde est aux petits soins, le chirurgien le docteur Ferraz m’avait mis en confiance dès la première visite.

Je recommande l’IMM.

Jean-Pierre S.




Temoignage 2

Personnel médical très compétent et à l’écoute des gens.Merci particulier au docteur Caussin et à son équipe du bloc opératoire pour leur intervention cardiaque qui est une formidable réussite en m’apportant un bien-être considérable.

Christian B.




Temoignage 1

Équipe très à l’écoute, félicitations à tous et à toutes pour votre implication un grand merci

Virginie D.




Espace Recherche Clinique de l’IMM

Avec le lancement à venir de son entrepôt de données de santé, l’IMM se dote d’un site d’information dédié aux patients afin qu’ils découvrent les activités de recherche de l’hôpital et qu’il s’informent sur leurs droits.

Visiter le site : recherche.imm.fr




Scannez, répondez, vous nous aidez !

Votre expérience de patient nous intéresse. 

Récupérer le maximum de témoignages et d’expériences en provenance de nos patients nous permet d’identifier nos points d’amélioration mais aussi nos réussites sur lesquelles capitaliser. Alors, quel que soit le service dans lequel vous avez été hospitalisé, quelle que soit la durée de votre hospitalisation, relatez-nous comment s’est déroulé votre séjour parmi nous.

Comment ? C’est très simple !
Cliquez sur l’image ci-dessous ou avec l’appareil photo de votre portable, scannez le QR-CODE correspondant à la nature de votre séjour :

Prise en charge en ambulatoire

Hospitalisation supérieure à 1 jour

Maternité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le questionnaire peut être rempli dans votre chambre d’hospitalisation ou à votre retour à la maison.

Un grand merci d’avance !




Le rêve – un film de Christine Maillet et Garance Le Bars (2023)

Réalisé par Christine Maillet et Garance Le Bars Maillet, à l’invitation du Docteur Monge, à L’Institut Mutualiste Montsouris, avec l’équipe du service de Néphrologie.

« L’insuffisance rénale terminale nécessite un traitement par dialyse et dès que possible, une transplantation rénale.

L’hémodialyse, telle que pratiquée dans la grande majorité des cas, constitue en la réalisation de 3 séances hebdomadaires de 4h chacune, sans interruption.

On imagine assez bien la contrainte personnelle et familiale que ce rythme impose.
Toutefois, et c’est heureux, la vie ne s’arrête pas lorsque la dialyse commence.

Ainsi, les talents et activités des patients peuvent -et doivent- être encouragés, promus et maintenus, avec bien sûr un peu d’organisation en amont. »

 

Le rêve – un film de Christine Maillet et Garance Le Bars (2023)




Tuto béquillage en alterné

https://imm.fr/videos/Tuto-Bequillage-IMM.mp4

 




Une série de petits films sur le métier d’infirmière à l’IMM

Les courts témoignages de Caroline ou Patricia en orthopédie, de Manon ou Clémence en urologie, et de Manon en réanimation permettent de mieux comprendre de quelles façons elles exercent leur métier d’infirmière à l’IMM.

Une série de petits films sur le métier d’infirmière à l’IMM, sur les conditions de travail au quotidien et sur la façon dont nos professionnelles exercent leur métier est disponible en cliquant ci-dessous :

>>> VOIR LES VIDEOS




De l’équithérapie

Grâce à la Fondation des hôpitaux, des adolescents âgés de 13 à 18 ans hospitalisés dans le service de psychiatrie de l’IMM bénéficient de séances d’équithérapie hebdomadaires.

Cette activité se réalise en petit groupe sur 9 semaines, au total 17 patients en bénéficient chaque année. L’équithérapie s’attache à améliorer les difficultés d’ordre psychique, comme l’angoisse, certains troubles du comportement, le manque de confiance en soi etc.
A la fin de chaque séance, les soignants recueillent les ressentis, les émotions, les appréhensions, les capacités, le plaisir, les difficultés des jeunes patients et l’évolution de chacun.

Un grand merci à la Fondation des hôpitaux sans qui ces séances ne pourraient exister.




Bravo aux équipes de l’IMM !

Le magazine américain Newsweek vient de publier le classement des meilleurs hôpitaux du monde et cette année encore, l’IMM figure dans le classement !

Bravo aux équipes de cardiologie, de chirurgie cardiaque et d’oncologie qui, comme les années précédentes, sont classées parmi les meilleurs services du monde, ainsi qu’à l’ensemble des équipes pour cette belle récompense qui salue le travail accompli au service de nos patients !




Mieux comprendre le « consentement »

Avant une intervention chirurgicale, vous devrez signer un document appelé « consentement à l’acte d’intervention ».
Pour mieux comprendre l’utilité de ce document, regardez cette courte vidéo animée.

https://imm.fr/videos/Info-pat-cons.mp4




Prise en charge de la douleur après une prothèse de genou

https://imm.fr/videos/Pecd-Prot-Genou.mp4