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Catégorie : Actualités

Actualités

Cancer de la prostate : dépistage, chirurgie robotique et thérapies focales à l’IMM (Paris 14)

Le cancer de la prostate est le 1er cancer masculin, et représente la 3ème cause de mortalité par cancer en France chez les hommes. Malgré ces chiffres, il est important de souligner que grâce aux progrès de la médecine et au dépistage précoce, des taux de survie élevés sont rapportés chez les patients traités d’un cancer de la prostate. On estime même que l’espérance de vie des patients diagnostiqués d’un cancer de la prostate, en particulier s’il est localisé, est très proche de celle de la population masculine générale du même âge et sans cancer.

Dans la grande majorité des cas, le cancer de la prostate se traite efficacement. La clé réside dans un diagnostic précis et un traitement personnalisé et adapté à l’agressivité de la maladie.

C’est dans cette optique que l’Institut Médico-chirurgical Montsouris (IMM) s’est imposé comme un centre pionnier et expert en onco-urologie. L’IMM est historiquement le berceau de la chirurgie robotique en urologie. L’expertise unique de nos équipes a notamment permis l’émergence et le développement de la prostatectomie radicale mini-invasive, une technique chirurgicale de pointe que nous maîtrisons depuis plus de 25 ans. Notre engagement est de vous offrir l’excellence diagnostique et thérapeutique la plus innovante pour une prise en charge complète du cancer de la prostate.

 

Dépistage du cancer de la prostate

 

Le dosage PSA pour dépister le cancer de la prostate

Le cancer de la prostate est, dans ses phases précoces, une maladie souvent silencieuse. Il n’entraîne généralement aucun symptôme urinaire gênant, c’est pourquoi le dépistage est un enjeu majeur.

Le dépistage repose sur le dosage PSA (Antigène Spécifique Prostatique) effectué par une simple prise de sang. Cet examen est essentiel, car il permet de détecter la maladie à un stade précoce : environ 75% des formes de cancers sont ainsi découvertes alors qu’elles sont encore localisées à la prostate et sans symptôme.

A NOTER : Il est important de consulter, car un patient qui présente des symptômes urinaires importants ou des douleurs (osseuses, par exemple) peut avoir une forme localement avancée ou métastatique (environ 10% des cas) de la maladie. Le dépistage précoce sauve des vies en permettant d’offrir des traitements adaptés à chaque forme de cancer de la prostate.

Le parcours de diagnostic à l’IMM

En cas de doute diagnostic (taux de PSA élevé ou évolution rapide), le parcours de soins s’affine pour garantir une évaluation optimale des caractéristiques de la tumeur :

  • IRM de la prostate : En cas de suspicion de cancer, la première étape est de réaliser une IRM de prostate. Cette technique d’imagerie de pointe non-invasive permet de localiser avec précision les zones potentiellement suspectes.
  • Confirmation par biopsie : Si l’IRM révèle une anomalie, une biopsie (un prélèvement) sera réalisée pour confirmer le diagnostic de cancer de la prostate à partir de l’analyse directe des tissus.

⚠️ À l’IMM, toutes les biopsies sont réalisées par voie transpérinéale (à travers le périnée, et non le rectum) et sous anesthésie locale. Cette technique permet de limiter le risque de survenue d’infections post-procédures.

 

Evaluation de l’agressivité de la tumeur (score ISUP)

Une fois le diagnostic de cancer confirmé par la biopsie, il est essentiel d’évaluer l’agressivité du cancer. Ainsi, Le score ISUP, qui classe les tumeurs prostatiques en cinq groupes pronostiques allant du cancer le moins agressif au plus agressif, sera défini au décours de l’analyse anatomopathologique à partir des échantillons de tissus prélevés lors de la biopsie.

Ce score est fondamental pour :

  • Déterminer si une simple surveillance est suffisante.
  • Définir la stratégie de traitement personnalisé la plus efficace (chirurgie, radiothérapie, thérapie focale, etc.) en fonction de la maladie et du profil du patient.

 

Traitement du cancer de la prostate à l’IMM : des options thérapeutiques personnalisées

A l’IMM, toute décision de traitement est prise de manière collégiale lors d’une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire (RCP). Notre priorité est de proposer un traitement personnalisé adapté à l’agressivité de la maladie (score ISUP), à l’état de santé du patient, mais aussi en tenant compte de son retentissement en termes de  qualité de vie (sexualité et continence).

Il existe plusieurs options de traitement :

 

La surveillance active : le choix de ne pas traiter

La surveillance active est proposée aux patients dont le cancer est de faible agressivité (score ISUP 1, voire ISUP 2 dans des indications strictes), localisé et de faible volume. Il s’agit de différer le traitement actif, souvent inutile pour ces formes, afin d’en éviter les effets secondaires pouvant affecter la qualité de vie. Le patient est placé sous surveillance étroite par des contrôles réguliers (PSA, IRM et biopsie si besoin), et le traitement n’est déclenché qu’en cas de signe d’évolution.

 

La chirurgie : prostatectomie radicale robot-assistée

La prostatectomie radicale est l’ablation totale de la prostate et des vésicules séminales.

L’IMM a été le premier établissement à réaliser des prostatectomies radicales à l’aide d’un robot chirurgical. Depuis plus de 25 ans, nous utilisons cette technique mini-invasive pour toutes les ablations de prostate.

L’utilisation d’un robot chirurgical permet au chirurgien de bénéficier d’une vision en trois dimensions amplifiée et d’une finesse de geste supérieure à la main humaine. Cette haute précision est essentielle pour préserver les structures fines adjacentes (nerfs érectiles et sphincter), ce qui est capital pour minimiser l’impact sur la continence et la fonction sexuelle et garantir au patient la meilleure qualité de vie post-opératoire.

 

La radiothérapie

Ce traitement utilise des rayonnements ionisants de haute énergie pour détruire les cellules cancéreuses. Les progrès technologiques permettent aujourd’hui de cibler la tumeur avec une précision accrue, tout en épargnant les organes sains adjacents. L’irradiation peut être délivrée de manière externe (il s’agit de la radiothérapie classique), ou interstitielle (il s’agit alors de la curiethérapie). La curiethérapie consiste à implanter dans la prostate des grains d’iode 125 en une seule séance, sous anesthésie générale, avec pour objectif la destruction des tissus.

 

La thérapie focale : le traitement « à la carte » du cancer de la prostate

La thérapie focale est l’approche la plus innovante pour les cancers localisés, encore en cours d’évaluation. Elle consiste à utiliser une énergie dédiée afin de détruire la lésion cancéreuse de manière ciblée, tout en conservant la plus grande partie de la prostate intacte. Cette approche permet de limiter grandement les effets secondaires des traitements lourds (incontinence, impuissance).

L’IMM est l’un des seuls établissements à proposer un panel complet de thérapies focales :

  • HIFU (Ultrasons Focalisés de Haute Intensité) ;
  • Cryothérapie (traitement par le froid) ;
  • Électroporation irréversible (courant électrique) ;
  • Curiethérapie en traitement focal.

 

Pourquoi choisir l’IMM pour le traitement du cancer de la prostate ?

L’IMM est un établissement reconnu pour le traitement du cancer de la prostate : en 2024, il figurait une nouvelle fois à la première place du Palmarès Le Point des meilleurs hôpitaux de France pour le cancer de la prostate (et en deuxième position pour l’adénome de la prostate). Il a été le pionnier de la chirurgie prostatique robotique et continue à proposer aux patients des solutions innovantes. Il est l’un des rares établissements à proposer la thérapie focale et à offrir une stratégie de traitement « à la carte ».

L’IMM est également partenaire de l’Institut Curie et bénéficie à ce titre de parcours de soins dédiés, permettant aux patients de profiter de l’expertise de cet autre centre d’excellence.

Par ailleurs, l’IMM est un établissement de secteur 1 et ne pratique pas de dépassement d’honoraires.

 

 

Prendre rendez-vous à l’IMM

Vous souhaitez prendre rendez-vous avec le service d’Urologie de l’IMM ?

Contactez le secrétariat au 01 56 61 66 50 ou connectez-vous à Doctolib.

 

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FAQ sur le cancer de la prostate

 

Quels sont les principaux facteurs de risque du cancer de la prostate ?

Le cancer de la prostate est la maladie de l’homme vieillissant. Le risque augmente fortement après 50 ans (l’âge moyen au diagnostic est autour de 67-69 ans). Certaines mutations génétiques constituent un facteur de risque du cancer de la prostate. Leur identification est importante car elles permettent de prédire la réponse à certains traitements, notamment dans les formes les plus avancées de la maladie Un dépistage génétique sera ainsi recommandé chez les patients dont le diagnostic de la maladie est fait précocement (avant 50 ans), ceux présentant plusieurs cas familiaux de cancer de prostate ou une histoire familiale de syndrome sein-ovaire du fait de mutations communes chez les femmes . L’exposition au Chlordécone est également un facteur de risque chez les patients originaires des Antilles.

 

Quels sont les symptômes du cancer de la prostate ?

Le cancer de la prostate est surnommé le « cancer silencieux » car, dans ses formes précoces (localisées), il ne provoque aucun symptôme spécifique. Les troubles urinaires (besoins fréquents, jet faible) sont le plus souvent liés à l’adénome (hypertrophie bénigne de la prostate), une pathologie différente. Seul le cancer dans sa forme avancée (métastatique) cause des symptômes d’alerte spécifiques comme des douleurs osseuses persistantes ou une perte de poids inexpliquée.

 

Qu’est-ce que le taux de PSA ? Un taux élevé signifie-t-il un cancer ?

Le PSA (Antigène Spécifique Prostatique) est une protéine produite par la prostate. Le dosage PSA est l’outil principal du dépistage, mais un taux élevé ne signifie pas automatiquement un cancer. Il peut aussi être causé par une infection ou un adénome (une augmentation bénigne du volume de la prostate). En cas de doute diagnostic chez un patient avec un PSA élevé et/ou un examen clinique anormal (toucher rectal), l’urologue pourra faire pratiquer  une IRM prostatique afin de décider de la nécessité d’une biopsie.

 

Est-ce que la biopsie de la prostate est douloureuse ?

À l’IMM, toutes les biopsies sont réalisées par un accès  transpérinéal (et non rectal) et systématiquement sous anesthésie locale, ce qui rend le geste moins inconfortable. L’objectif est d’assurer la précision diagnostique tout en garantissant un risque infectieux minimal grâce au passage par le périnée.

 

La thérapie focale :  une nouvelle option thérapeutique ?

La thérapie focale (HIFU, cryothérapie, électroporation) est un traitement très prometteur, encore en cours d’investigation, mais réservé aux cancers de risque intermédiaire présentant une forme très localisée. Ce traitement « à la carte » est idéal pour préserver la fonction urinaire et sexuelle en détruisant uniquement la lésion, sans toucher au reste de la prostate. L’IMM est l’un des rares centres à proposer ces options de traitement.

 

Actualités

Un héritage qui perdure – un nom qui évolue

Le 1er novembre 2025, l’IMM a tourné une page importante de son histoire pour en écrire une nouvelle.

Le 15 octobre dernier, le Tribunal des Affaires Economiques de Paris a désigné l’Hôpital Foch comme repreneur de l’établissement avec l’Institut Curie.

Ce rapprochement entre les trois établissements constitue une force nouvelle pour garantir l’avenir de nos activités de pointe en Médecine, Chirurgie, Obstétrique et cancérologie.

Pour autant, notre mission reste la même : offrir à toutes et tous le meilleur des soins, sans dépassement d’honoraires.

Si le sigle IMM reste notre identité, notre nom évolue pour refléter pleinement notre vocation. L’Institut Mutualiste Montsouris devient Institut Médico-chirurgical Montsouris (IMM).

Depuis sa création en 1999, l’IMM a été façonné par ses origines mutualistes, un engagement fort et durable des mutuelles qui a profondément marqué son histoire. Ce soutien essentiel a contribué à faire de l’IMM ce qu’il est aujourd’hui : un établissement d’excellence. C’est sur ces fondations solides que nous bâtissons à présent un nouveau modèle.

C’est avec ambition et sérénité que l’Institut Médico-chirurgical Montsouris (IMM) entame ce nouveau chapitre !

Actualités

Message à l’attention des patient.es de l’IMM

Le 15 octobre 2025, le Tribunal des Affaires Economiques de Paris a désigné l’Hôpital Foch associé à l’Institut Curie pour assurer la reprise de notre établissement. Cette décision marque une étape décisive et nous permet d’envisager l’avenir avec sérénité.

L’alliance que constitue désormais l’ensemble Hôpital Foch-IMM en association avec l’Institut Curie permet d’assurer la continuité et la pérennité de notre établissement, en nous donnant les moyens de continuer à vous offrir des soins de très haute qualité.

Nous restons pleinement engagés pour vous accompagner, sans interruption ni changement dans votre prise en charge.

Concrètement, rien ne change pour vous :

  • L’ensemble du personnel médical, soignant et administratif continue à vous accueillir avec les mêmes garanties d’excellence et de sécurité.
  • Tous vos rendez-vous sont maintenus, à la même adresse (42, boulevard Jourdan – 75014 Paris)
  • L’établissement reste en secteur 1, sans dépassement d’honoraires

 

Nous vous remercions de votre confiance

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Chirurgie gynécologique hors bloc : des interventions sans bloc opératoire ni anesthésie générale (IMM – Paris 14)

Depuis avril 2025, l’IMM a franchi une étape majeure dans la prise en charge des patientes, avec le développement de la chirurgie gynécologique hors bloc.

L’objectif est simple : réaliser sous anesthésie locale et au cours d’un séjour de très courte durée (1 à 2 heures) à l’hôpital, des gestes qui nécessitaient auparavant un passage au bloc opératoire sous anesthésie générale.

 

Les actes concernés par la chirurgie gynécologique hors bloc à l’IMM (Paris 14)

L’approche hors bloc concerne plusieurs procédures, offrant une alternative moins contraignante pour les patientes :

Traitement des polypes par hystéroscopie

Les polypes utérins sont de petites excroissances bénignes de l’endomètre, souvent responsables de saignements anormaux. Grâce à l’hystéroscopie opératoire, une technique utilisant une mini-caméra introduite par les voies naturelles, leur ablation peut être réalisée hors bloc. Effectuée sous anesthésie locale, cette procédure permet au chirurgien de visualiser précisément le polype et de le retirer intégralement à l’aide d’instruments miniaturisés, le tout sans incision. Cette approche garantit une intervention rapide et ciblée, sans nécessiter de séjour au bloc opératoire ni d’anesthésie générale, permettant ainsi un retour à domicile dans l’heure qui suit le geste.

 

Traitement des fibromes par hystéroscopie

Les fibromes utérins sont des tumeurs bénignes très courantes qui se développent dans le muscle de l’utérus. L’ablation de fibrome par hystéroscopie est un acte de chirurgie mini-invasive parfaitement adapté à la prise en charge hors bloc dans certains cas. En utilisant une mini caméra (l’hystéroscope), le chirurgien accède directement à la lésion, permettant l’ablation du fibrome grâce à des outils de microchirurgie. Cette méthode est réalisée avec un accompagnement par des techniques de relaxation et si besoin une anesthésie locale, ce qui évite les contraintes d’une opération classique et favorise une récupération ultra-rapide.

 

Chirurgie des petites lésions vulvaires

Pour le traitement des petites lésions de la vulve (kystes, petites excroissances bénignes…), l’IMM propose une prise en charge en ambulatoire hors bloc. Ces interventions ne requièrent pas de passage au bloc opératoire traditionnel : elles sont réalisées sous anesthésie locale et avec des techniques de relaxation, dans une salle dédiée. Cette prise en charge hors bloc permet une exérèse précise et sécurisée de la lésion, tout en optimisant le confort de la patiente. Grâce à ce protocole, le temps passé dans l’établissement est réduit à une ou deux heures, garantissant une récupération immédiate et un retour à domicile le jour même, avec un suivi post-opératoire rigoureux.

 

Infiltration à visée antalgique pour la prise en charge des douleurs chroniques

L’infiltration à visée antalgique est un geste thérapeutique ciblé consistant à injecter localement, près d’un nerf ou d’une zone inflammatoire, un anti-inflammatoire puissant (corticoïdes) ou un anesthésiant. Cet acte peut être nécessaire pour la prise en charge des douleurs chroniques gynécologiques ou pelviennes. Ce type d’intervention est parfaitement adapté au concept hors bloc : sa réalisation nécessite un environnement stérile et sécurisé, souvent sous guidage échographique ou radiologique, mais ne requiert pas la lourdeur logistique d’un bloc opératoire. Effectuée sous anesthésie locale, cette procédure s’intègre dans la prise en charge multimodale de la douleur, avec un temps de présence à l’hôpital réduit au minimum.

 

Les avantages de la chirurgie gynécologique hors bloc

Pour la patiente, les avantages de la chirurgie gynécologique hors bloc sont nombreux :

  • Un temps de présence très court à l’hôpital: Ces prises en charges sont conçues pour ne durer qu’une à deux heures au total (admission, geste et surveillance inclus). Vous pouvez ainsi rentrer rapidement chez vous après l’intervention.
  • Réduction de la lourdeur anesthésique : La chirurgie hors bloc repose principalement sur l’anesthésie locale et des techniques de relaxation, éliminant les contraintes et les effets secondaires souvent associés à l’anesthésie générale (fatigue, nausées, réveil prolongé).
  • Récupération accélérée : Vous bénéficiez d’une récupération ultra-rapide, ce qui permet un retour à domicile immédiat et une reprise rapide de vos activités quotidiennes.
  • Précision & sécurité : Quelle que soit l’intervention, le geste reste précis et sécurisé, répondant aux mêmes exigences de qualité qu’au bloc opératoire.

 

Comment se passe la chirurgie gynécologique hors bloc à l’IMM (Paris 14) ?

Une consultation est organisée avec le chirurgien, soit pour une hystéroscopie diagnostique soit une consultation « « simple ». À la fin de la consultation et selon l’objectif de la prise en charge, le chirurgien vous proposera de réaliser l’intervention en hors bloc.

A l’IMM, le parcours de chirurgie gynécologique hors bloc a été conçu pour être à la fois rapide et sécurisé. Il est organisé comme une hospitalisation, mais ne dure qu’une à deux heures au total.

 

Etape 1 : admission et préparation

  • Formalités administratives : Votre parcours commence par une admission simplifiée, où les formalités administratives sont traitées à l’avance avec la secrétaire.
  • Consultation pré-geste : Le jour J, une infirmière effectue une consultation rapide, incluant le bilan de vos constantes vitales (pouls, tension).

 

Etape 2 : geste chirurgical

Vous êtes accueillie dans notre salle d’intervention dédiée au hors bloc, loin de l’agitation du bloc opératoire principal. Cet espace lumineux a été spécialement aménagé pour votre confort et votre sérénité. Equipé de tout le matériel nécessaire à la réalisation de gestes chirurgicaux, ce plateau technique assure un environnement stérile et sécurisé indispensable à une chirurgie de haute qualité. Le geste chirurgical est réalisé par un chirurgien sous anesthésie locale ou techniques de relaxation.

 

Salle de chirurgie gynecologique hors bloc de l'IMM

La salle de chirurgie gynécologique hors bloc de l’IMM

 

L’accompagnement sur mesure des patientes est une spécificité de l’IMM : une infirmière dédiée vous accompagne dans la salle de chirurgie hors bloc. Elle vous aide à vous installer, vous soutient et vous accompagne tout le long de la procédure, assurant ainsi votre confort et votre sérénité.

 

Une infimière dédiée à la chirurgie gynécologique hors bloc à l'IMM

Emilie François, Infirmière Diplômée d’Etat référente pour la chirurgie gynécologique hors bloc

 

Etape 3 : surveillance et retour à domicile

Immédiatement après l’intervention, une courte période de surveillance est observée. Un dernier bilan de vos constantes (pouls, tension, évaluation de la douleur) est effectué pour valider votre bon état de santé.

Vous repartez rapidement de l’hôpital avec votre ordonnance (si nécessaire) et la confirmation du rendez-vous de contrôle post-opératoire un mois après.

A noter : en cas de besoin (douleur persistante ou autre complication), le protocole peut être réadapté à tout moment vers une hospitalisation pour s’adapter à votre situation particulière. Vous profitez ainsi de la rapidité du hors bloc tout en bénéficiant de la sécurité apportée par un établissement chirurgical d’excellence.

 

FAQ de la chirurgie gynécologique hors bloc

 

La chirurgie hors bloc est-elle aussi sûre qu’une opération classique ?

Oui. La chirurgie hors bloc répond aux mêmes exigences de qualité et de stérilité que les interventions réalisées au bloc opératoire. Le protocole est très encadré et utilise un plateau technique spécialisé. Surtout, la proximité immédiate de l’IMM, avec son plateau technique de pointe, garantit un filet de sécurité permanent permettant une réadaptation vers une hospitalisation classique à tout moment si l’équipe le juge nécessaire.

 

Vais-je avoir mal pendant et après l’intervention ?

Non. L’objectif est d’assurer votre confort total. Les interventions sont réalisées sous anesthésie locale (parfois complétée par une sédation très légère). Vous ne ressentirez aucune douleur. Après l’intervention, la douleur est généralement légère et bien gérée par les antalgiques qui vous seront prescrits.

 

L’anesthésie locale est-elle risquée ?

Non, les risques sont beaucoup plus faibles qu’avec l’anesthésie générale. L’anesthésie locale n’entraîne pas les effets secondaires lourds (nausées, vertiges, fatigue prolongée) et permet une récupération ultra-rapide. Elle est l’un des principaux facteurs qui permet un retour à domicile immédiat après l’acte.

 

Qui peut bénéficier de la chirurgie hors bloc ?

La chirurgie hors bloc est adaptée à de nombreux actes de petite et moyenne chirurgie gynécologique (polypes, certains petits fibromes, petites lésions vulvaires, infiltrations antalgiques). Votre chirurgien évaluera lors de la consultation préopératoire si votre pathologie et votre état de santé général permettent cette prise en charge rapide.

 

Y a-t-il des contre-indications à la chirurgie hors bloc ?

Oui. Bien que cette approche soit adaptée à de nombreuses patientes, elle ne convient pas à toutes. Les grosses lésions (fibromes trop volumineux), certaines pathologies nécessitant une exploration chirurgicale plus complète, ou des conditions médicales spécifiques (maladies cardiaques ou respiratoires graves) peuvent nécessiter une prise en charge au bloc opératoire classique. Votre chirurgien évaluera attentivement ces critères lors de la consultation préopératoire.

 

Ai-je besoin de venir à jeun ?

Non. Il est d’ailleurs recommandé de ne pas venir à jeun. Vous pouvez prendre votre repas habituel. Il vous sera demandé de prendre les antalgiques qui vous ont été prescrits à l’avance.

 

Que se passe-t-il après mon retour à la maison ?

Après votre sortie rapide, vous devez respecter une période de repos, dont la durée dépend de l’acte réalisé (souvent très courte). Votre sortie est toujours accompagnée d’une ordonnance (pour les antalgiques ou un traitement) et de la confirmation de votre rendez-vous de contrôle post-opératoire. Vous recevrez également des consignes claires pour surveiller la cicatrisation et savoir qui contacter en cas de question ou de saignement anormal.

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Le projet conjoint de l’Hôpital Foch et de l’Institut Curie retenu pour la reprise de l’Institut Mutualiste Montsouris

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

Paris, le 15 octobre 2025 – Le tribunal de commerce a désigné ce jour l’Hôpital Foch et l’Institut Curie pour assurer la reprise de l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM), à l’issue de près de quatre mois d’audit et d’examen des candidatures des cinq repreneurs en lice. Les deux établissements, déjà partenaires de longue date, saluent cette décision qui reconnaît la solidité et l’ambition de leur projet commun : garantir la pérennité de l’IMM, conforter son rôle d’acteur de référence dans le paysage hospitalier parisien et renforcer l’excellence de sa prise en charge au service des patients.

 

Le projet Foch–Curie s’appuie sur des expertises complémentaires en soins et en recherche. Il s’inscrit dans la continuité de coopérations déjà existantes entre les trois établissements, telles que la création en 2020 du Groupement de Coopération Sanitaire Curie–Montsouris ou encore l’Institut du Thorax, modèle reconnu de prise en charge intégrée entre l’IMM et l’Institut Curie.

Dès le printemps dernier, la Commission Médicale d’Établissement de l’IMM avait exprimé un soutien massif (86% des votes) au projet porté par l’Hôpital Foch et l’Institut Curie, confirmant l’adhésion des soignants à cette nouvelle dynamique.

Avec 1 470 professionnels dont 270 médecins, l’Institut Mutualiste Montsouris prend chaque année en charge près de 55 000 séjours hospitaliers, 250 000 consultations et plus de 2 000 naissances. Sa reprise par Foch et Curie ouvre une nouvelle étape pour consolider son positionnement d’excellence en soins et en recherche.

 

Les Conseils d’administration et les Directions de l’Hôpital Foch et de l’Institut Curie félicitent et remercient leurs équipes respectives pour le travail accompli dans l’élaboration de ce projet, ainsi que l’ensemble des collaborateurs de l’IMM pour leur confiance et leur engagement.

 

POUR TOUTE DEMANDE D’INTERVIEW, MERCI DE VOUS ADRESSER UNIQUEMENT AU SERVICE PRESSE DE L’HOPITAL FOCH.

Contact presse

Laurie THEVENET – laurie.thevenet@hotmail.fr – 06 36 50 30 40

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Première en chirurgie thoracique à l’IMM

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

L’IMM redéfinit les standards du traitement du cancer du poumon avec une prouesse technique inédite : la combinaison de la chirurgie robotique et de l’anesthésie sans intubation pour une résection pulmonaire majeure (lobectomie).

 

Paris, le 13 octobre 2025 – L’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) est fier d’annoncer la réalisation d’une première en chirurgie thoracique. Ses équipes ont mené avec succès une lobectomie pulmonaire robotique (ablation d’un lobe du poumon pour un cancer) en la combinant pour la toute première fois avec une anesthésie non intubée (NITS).

 

La combinaison de deux techniques de pointe

Cette procédure, réalisée pour la première fois à l’IMM il y a quelques jours, représente une étape décisive dans la chirurgie mini-invasive du cancer du poumon. Elle résulte d’une collaboration multidisciplinaire et d’une expertise de pointe des équipes de chirurgie thoracique et d’anesthésie. En effet, jamais la chirurgie thoracique robotique n’avait été associée à une anesthésie sans intubation, et cette première ouvre des perspectives en termes de récupération pour le patient.

En effet, pour opérer un poumon, il faut traditionnellement le mettre au repos (le dégonfler) via une ventilation sélective. Réussir à dégonfler le poumon opéré pour une lobectomie sans intubation demande une technique d’anesthésie extrêmement sophistiquée et une collaboration chirurgicale-anesthésique parfaitement synchronisée.

 

Vers une récupération ultra rapide du patient

L’intérêt majeur de cette technique réside dans l’amélioration spectaculaire du parcours patient dans le cadre du protocole de Récupération Améliorée Après Chirurgie (RAAC). En supprimant le traumatisme de l’intubation, cette innovation repousse les limites de la chirurgie mini-invasive et apporte au patient des bénéfices rapides :

  • Autonomie immédiate : le patient était conscient dès la fin de l’intervention et en capacité de se lever à peine quelques heures après.
  • Douleurs réduites : le drain thoracique a été retiré seulement 4 heures après l’opération (au lieu de plusieurs jours habituellement). Les douleurs post-opératoires ont donc été réduites de manière drastique. L’inconfort et les problèmes liés à l’intubation ont été évités.
  • Séjour court : grâce à cette récupération accélérée, le patient a pu sortir de l’hôpital dès le lendemain de l’intervention, un délai exceptionnel pour une chirurgie de cette ampleur.

Pour le Dr Alessio Mariolo, Responsable du Département de chirurgie thoracique à l’IMM, « cette intervention représente un challenge technique majeur, notamment sur le plan de l’anesthésie. La chirurgie en elle-même a été réalisée en à peine une heure, et les résultats vont au-delà de nos espérances. Le patient s’est levé dès la visite post-opératoire et était en capacité de rentrer à son domicile le lendemain. Cette première marque une avancée significative dans la prise en charge des cancers en offrant aux patients un confort jamais vu auparavant ».

Le Dr Antoine-Marie Molina Barragan, médecin anesthésiste à l’IMM, complète : « grâce à un long travail et à une collaboration médico-chirurgicale exceptionnelle, nous avons dépassé une frontière que l’on pensait infranchissable. En associant la précision du robot à la finesse de l’anesthésie en ventilation spontanée, nous avons prouvé que l’innovation pouvait offrir aux patients une prise en charge encore moins invasive pour améliorer leur confort et leur récupération après l’intervention »

Cette réussite est le reflet de l’engagement constant de l’IMM à l’égard de l’innovation chirurgicale et de l’amélioration continue des soins, grâce à l’implication de tous les professionnels mobilisés : chirurgiens, anesthésistes, et infirmières RAAC, anesthésistes et de bloc opératoire.

 

Contact presse : Madeleine de Place – 01 56 61 63 56

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Exposition d’Alain Cabot

L’IMM a le plaisir d’accueillir jusqu’au 30 janvier 2026 la nouvelle exposition immersive et interactive d’Alain Cabot : « Urban Life ».

 

A propos de l’artiste

 

Alain Cabot est un artiste plasticien dont le travail pluridisciplinaire (peinture, photographie, numérique) explore les interactions entre mémoire, espace et temporalité. Ses œuvres interrogent sur la manière dont les traces du passé s’inscrivent dans les paysages urbains et comment les perceptions individuelles transforment la mémoire collective.

Après sa formation, il a développé une pratique singulière enrichie par ses voyages. Un moment clé fut sa résidence au Japon en 2017, qui a profondément marqué son esthétique. Fasciné par l’équilibre entre tradition et modernité, il intègre désormais des références aux estampes et aux architectures urbaines.

Sa recherche s’articule autour du temps et de la frontière entre visible et invisible, utilisant des techniques mixtes sophistiquées : peinture, impression numérique, collage et enduit sur toile cousue. L’intégration du numérique, notamment l’intelligence artificielle, vient enrichir sa pratique en apportant des variations inédites aux motifs et textures. Connu pour sa méthode unique de transfert et de collage de matériaux bruts, son œuvre explore la relation entre l’homme, son environnement et l’immatérialité.

Site Internet : www.alain-cabot.fr

Instagram : @arturo201549

 

Informations pratiques

  • Lieu : Couloir des consultations – L’Institut Mutualiste Montsouris – 42 bd Jourdan – 75014 Paris
  • Dates : jusqu’au 30 janvier 2026
  • Horaires : du lundi au dimanche, de 8h à 20h
  • Entrée libre

L’IMM est fier de soutenir l’art et la culture et d’offrir à ses patients, visiteurs et équipes un moment de détente et de découverte.

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Exposition de gravures de Lynn Shaler

L’Institut Mutualiste Montsouris a le plaisir d’accueillir une exposition de l’artiste Lynn Shaler jusqu’au 31 janvier 2026.

Lynn Shaler est une artiste américaine de renom dont l’œuvre rayonne à travers ses gravures en eau-forte et aquatinte, magnifiées par la couleur. C’est à Paris qu’elle a élu domicile et qu’elle travaille depuis 1984, année où une bourse du gouvernement français lui a permis de perfectionner son art de la gravure au sein du mythique Atelier 17 sous la direction du maître anglais Stanley William Hayter.

L’architecture est au cœur de son inspiration : elle capture l’essence des rues parisiennes, qu’il s’agisse des façades haussmanniennes, des ouvertures discrètes des fenêtres sur les toits, ou des jeux de lumière et d’ombre dans les portes d’immeubles révélant des escaliers dérobés. Elle nous invite aussi dans des intérieurs cossus, où le mobilier ouvragé et les bibliothèques murales racontent une histoire.

Dans ses œuvres, la lumière est un personnage à part entière, dialoguant avec les ombres pour tisser une atmosphère de mystère et d’intemporalité qui captive le regard. De loin, les gravures de Lynn Shaler impressionnent par la force de leur composition ; de près, on découvre la richesse des détails qui animent chaque scène. On y aperçoit d’ailleurs souvent une silhouette familière : une femme élégante, vêtue d’un manteau rouge, accompagnée de son chien ou de son chat, arpentant un escalier ou le fond d’une cour. Par ce travail minutieux, l’artiste cherche à créer une atmosphère paisible qui suspend le temps.

Reconnue internationalement, Lynn Shaler a présenté plus de 45 expositions personnelles depuis 1987, en France, en Belgique et aux États-Unis. Ses gravures figurent dans de prestigieuses collections publiques, parmi lesquelles la Bibliothèque Nationale de Paris, le Musée Victoria et Albert à Londres et le Brooklyn Museum à New York.

 

Informations pratiques

  • Lieu : Couloir d’oncologie – L’Institut Mutualiste Montsouris – 42 bd Jourdan – 75014 Paris
  • Dates : du 4 octobre 2025 au 31 janvier 2026
  • Horaires : du lundi au dimanche, de 8h à 20h
  • Entrée libre

L’Institut Mutualiste Montsouris est fier de soutenir l’art et la culture et d’offrir à ses patients, visiteurs et équipes un moment de détente et de découverte.

 

Affiche exposition Lynn Shaler

 

Actualités

Séquelles de fentes labio-palatines de l’adulte et l’adolescent : une prise en charge spécifique à l’IMM (Paris 14)

Les fentes labio-palatines sont des malformations de naissance qui peuvent laisser des séquelles complexes même après plusieurs premières interventions chirurgicales durant l’enfance. À l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM), hôpital situé à Paris, le département de chirurgie maxillo-faciale est spécialisé dans la correction de ces séquelles chez les adultes et les adolescents de plus de 15 ans. Découvrez comment notre expertise unique et notre prise en charge sur mesure peuvent améliorer significativement la fonction et l’esthétique de votre visage.

 

Les séquelles de fentes labio-palatines

 

Qu’est-ce qu’une fente labio-palatine (ou « bec-de-lièvre ») ?

Une fente labio-palatine, parfois appelée « bec de lièvre » dans le langage courant, est une malformation congénitale du visage qui apparait très tôt pendant le développement fœtal. Elle se caractérise par une ou plusieurs fentes au niveau de la lèvre supérieure (fente labiale), du palais (fente palatine), ou des deux.

Bien que ces fentes soient prises en charge dès la naissance par une série d’interventions chirurgicales et un suivi multidisciplinaire tout au long de l’enfance, elles peuvent laisser des séquelles complexes à l’âge adulte. Les séquelles de ces malformations faciales congénitales ne sont pas seulement esthétiques et peuvent affecter diverses structures du visage :

  • Osseuses : déformations de la mâchoire supérieure, du nez, ou de l’arcade dentaire.
  • Cutanées : cicatrices visibles sur la lèvre ou autour du nez.
  • Musculaires : altérations des muscles faciaux affectant l’expression ou la parole.
  • Cartilagineuses : asymétries ou déformations du cartilage nasal.
  • Fonctionnelles : difficultés respiratoires nasales, troubles de l’élocution, problèmes dentaires ou d’occlusion.

 

La chirurgie des séquelles de fentes labio-palatines à l’âge adulte

La prise en charge des fentes labio-palatines est un processus long, qui s’étend dès la petite enfance et jusqu’à l’adolescence. Plusieurs interventions chirurgicales sont souvent nécessaires pour accompagner la croissance et corriger les malformations au fur et à mesure que l’enfant se développe.

Cependant, une fois la croissance terminée, vers l’âge adulte, des problématiques persistantes peuvent apparaître. La chirurgie des séquelles de fentes labio-palatines à l’âge adulte vise alors spécifiquement à corriger ces résidus, qu’il s’agisse d’améliorer la symétrie faciale, de restaurer une fonction respiratoire optimale, de corriger des cicatrices, ou de préparer le terrain à des traitements orthodontiques ou prothétiques. C’est une étape cruciale pour l’amélioration de la qualité de vie, tant sur le plan fonctionnel qu’esthétique, et pour permettre au patient de se sentir pleinement à l’aise avec son visage.

 

 

Prise en charge des séquelles de fentes labio-palatines à l’IMM

Le département de chirurgie maxillo-faciale de l’Institut Mutualiste Montsouris (Paris 14e) est spécialisé, entre autres, dans la prise en charge des séquelles de malformations congénitales du visage des patients de plus de 15 ans, offrant une approche chirurgicale adaptée aux problématiques de l’âge adulte.

Notre savoir-faire dans ce domaine est ancré dans une expérience solide et des collaborations solides. En effet, deux de nos chirurgiens, le Dr Julien Davrou et le Dr Nolwenn Lavagen ont passé plusieurs années dans le service de chirurgie maxillo-faciale de l’Hôpital Necker-Enfants Malades. Cette expérience au sein d’un centre de référence pédiatrique leur a permis d’acquérir une compréhension approfondie de l’évolution des fentes labio-palatines, et de développer des techniques chirurgicales de pointe. Aujourd’hui, cette collaboration se prolonge à travers la prise en charge à l’IMM des patients de plus de 15 ans, qui ne peuvent plus être suivis dans un service de chirurgie pédiatrique.

Nous assurons une prise en charge globale de toutes les séquelles de fentes labio-palatines, qu’elles soient osseuses, cutanées, musculaires ou cartilagineuses. L’équipe de chirurgie maxillo-faciale maîtrise un large éventail de techniques de reconstruction avancées, choisies et adaptées individuellement pour chaque patient en fonction de ses besoins spécifiques. Cette approche sur mesure nous permet de garantir non seulement des résultats optimaux sur le plan fonctionnel et esthétique, mais aussi une amélioration significative de la qualité de vie de nos patients dès l’âge de 15 ans.

 

Pourquoi choisir l’IMM pour votre chirurgie des séquelles de fentes labio-palatines ?

Choisir le bon établissement pour une chirurgie des séquelles de fente labio-palatine pour vous ou votre enfant mineur de plus de 15 ans est une décision majeure. À l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) nous nous engageons à vous offrir une prise en charge d’excellence, reposant sur plusieurs piliers fondamentaux :

  • Un environnement hospitalier de pointe : Votre sécurité et votre confort sont nos priorités. L’IMM dispose d’un plateau technique moderne, offrant les dernières avancées technologiques. Nos différentes spécialités, réunies sur un même site, permettent d’assurer une prise en charge complète. Les chambres, spacieuses et confortables, sont propices à une bonne récupération.
  • Une expertise reconnue : Notre département de chirurgie maxillo-faciale bénéficie d’une expertise de pointe et se spécialise dans la correction des séquelles de fentes labio-palatines chez les patients de plus de 15 ans. Cette spécialisation assure une compréhension approfondie des enjeux propres à l’âge adulte. Vous serez pris en charge par des chirurgiens expérimentés, dont le parcours garantit une maîtrise pointue des techniques les plus complexes.
  • Une approche personnalisée : Chaque visage est unique, et chaque séquelle l’est aussi. Nous adoptons une approche entièrement personnalisée, en sélectionnant et en adaptant les techniques de reconstruction les plus appropriées pour vos besoins spécifiques, garantissant ainsi des résultats optimaux.
  • Pas de dépassement d’honoraires : L’IMM est un établissement de secteur 1. En tant qu’ESPIC (Etablissement de Santé Privé d’Intérêt Collectif), il ne pratique donc pas de dépassement d’honoraires.

 

Prendre rendez-vous avec l’équipe de chirurgie maxillo-faciale de l’IMM

Vous souhaitez échanger avec un chirurgien spécialisé dans les séquelles de fentes labio-palatines ? Prenez rendez-vous sur Doctolib > Chirurgien maxillo-facial.

 

 

Actualités

Prothèse de hanche à l’IMM (Paris 14) : retrouvez une vie sans douleur et pleinement mobile

Longtemps, la pose d’une prothèse de hanche était réservée aux plus âgés. Mais avec l’évolution des matériaux, dont la qualité et la durée de vie ont considérablement augmenté, il est désormais possible de se faire opérer de la hanche dès 30 ou 40 ans en fonction des indications opératoires. Si une douleur persistante et une perte de mobilité de la hanche affectent votre quotidien, l’opération de la prothèse de hanche peut être une solution efficace pour retrouver une vie active et sans contraintes.

 

Quand faut-il envisager une prothèse de hanche ?

Quel que soit votre âge, une douleur persistante et une perte de mobilité de la hanche peuvent être des signaux d’alarme. L’opération de la prothèse de hanche est une solution efficace pour retrouver une vie active et sans douleur.

Voici les principales indications qui amènent à réaliser cette intervention :

Arthrose de la hanche

L’arthrose de la hanche est une maladie articulaire chronique et évolutive caractérisée par la dégradation progressive du cartilage qui recouvre les extrémités des os au niveau de l’articulation de la hanche. Longtemps associée au grand âge, elle n’est plus l’apanage de nos aînés : en effet, on constate aujourd’hui une diminution significative de l’âge moyen des patients.

Des personnes jeunes et actives peuvent être touchées, avec un impact sur leurs activités sportives, professionnelles et quotidiennes. Pour ces patients, la prothèse de hanche n’est pas un signe de vieillesse, mais une véritable solution pour retrouver une qualité de vie optimale et vivre pleinement.

Nécrose de la tête fémorale

La nécrose de la tête fémorale est une indication majeure pour une prothèse de hanche. Cette pathologie, indépendante de l’âge, survient lorsque l’apport sanguin à la tête du fémur est interrompu, entraînant la mort des cellules osseuses. L’os s’affaisse, causant des douleurs intenses et une déformation de l’articulation. Face à cette condition, une intervention rapide est indispensable pour éviter une dégradation plus importante et permettre une récupération efficace de la fonction articulaire.

Arthrose du sujet âgé

L’arthrose chez le sujet âgé reste une indication fréquente. Pour les patients plus âgés, la prothèse de hanche représente une opportunité de retrouver confort et autonomie. En réduisant drastiquement la douleur et en améliorant la mobilité, elle leur permet de maintenir une vie sociale active, de réaliser les gestes du quotidien sans aide et de prévenir les risques de chute liés à une hanche douloureuse et instable. Il s’agit de leur offrir une meilleure qualité de vie et de préserver leur indépendance.

 

Contacter l'équipe de chirurgie orthopédique de l'IMM - prothèse de hanche

 

Prothèse de hanche : tout ce qu’il faut savoir

Loin d’être une simple « greffe », la pose d’une prothèse de hanche est une intervention de haute précision qui vise à remplacer l’articulation endommagée par des éléments artificiels sophistiqués.

 

Qu’est-ce qu’une Prothèse Totale de Hanche (PTH) ?

Une Prothèse Totale de Hanche (PTH) est un dispositif médical implanté chirurgicalement pour remplacer l’articulation de la hanche abîmée par l’arthrose ou une nécrose. Elle est composée de trois éléments qui recréent la fonction naturelle de l’articulation :

  1. L’implant cotylien : une pièce en forme de coupelle (appelée cupule), qui est fixée dans la cavité naturelle du bassin, le cotyle.
  2. La tige fémorale : cette pièce est insérée et fixée solidement à l’intérieur de l’os du fémur.
  3. La tête fémorale (la « boule ») : fixée à l’extrémité de la tige fémorale, c’est une sphère qui vient s’articuler avec l’insert du cotyle. C’est elle qui permet le mouvement de rotation et de flexion de la hanche.

Ensemble, ces composants forment une nouvelle articulation artificielle qui permet de restaurer la mobilité et d’éliminer la douleur.

 

Des matériaux innovants

Le choix des matériaux est crucial pour la longévité et la performance d’une prothèse de hanche. Grâce aux avancées technologiques, nous disposons aujourd’hui de matériaux biocompatibles et très résistants :

  • Céramique : souvent utilisée pour la surface de frottement (tête fémorale et implant cotylien), la céramique offre une excellente résistance à l’usure, minimisant la production de débris. C’est un choix privilégié pour les patients jeunes et actifs, en raison de sa longévité.
  • Polyéthylène : ce polymère ultra-performant est fréquemment utilisé comme insert dans le cotyle. Il est conçu pour être très résistant à l’usure et s’articuler de manière fluide avec une tête en céramique ou en métal.
  • Acier inoxydable (Inox) : Bien que moins courant pour les surfaces de frottement dans les nouvelles prothèses, l’inox peut encore être utilisé pour certaines parties des implants, notamment chez les patients plus âgés ou dans des contextes spécifiques, en raison de sa robustesse et de son coût maîtrisé.

Le choix des matériaux est toujours personnalisé en fonction du patient et dépend de plusieurs facteurs : l’âge, le niveau d’activité, la qualité de l’os, et les spécificités de l’anatomie du patient.

 

Prothèse de hanche : une chirurgie de pointe

 

Techniques chirurgicales : les deux approches proposées à l’IMM

Dans le service de chirurgie orthopédique de l’IMM, nous maîtrisons les deux principales techniques chirurgicales pour la pose d’une prothèse de hanche, afin de nous adapter au mieux à chaque situation :

La technique standard par voie postérieure

Dans cette approche, la plus couramment utilisée dans le monde, l’incision chirurgicale est réalisée sur la partie arrière de la hanche. Elle offre une excellente visibilité du champ opératoire, ce qui est particulièrement avantageux pour traiter des pathologies très complexes au niveau du fémur, telles que des déformations importantes ou des cas de révision de prothèse.

La technique mini-invasive par voie antérieure

L’équipe de chirurgie orthopédique de l’IMM est spécialisée dans cette approche innovante, moins invasive, qui présente de nombreux avantages pour le patient. Sa particularité réside dans le fait que le chirurgien passe entre les muscles naturels de la hanche, sans couper aucun muscle. Cela entraîne un traumatisme chirurgical minimal, qui se traduit par :

  • Une récupération post-opératoire plus rapide.
  • Moins de douleurs dans les jours et semaines suivant l’intervention.
  • Un retour facilité et rapide à l’autonomie.

 

Une précision chirurgicale au millimètre près

Quelle que soit la technique utilisée, la pose d’une prothèse de hanche est une intervention qui se planifie avec une précision chirurgicale absolue. L’objectif est de reproduire au mieux l’anatomie originale de la hanche, car chaque patient est unique.

Pour y parvenir, les chirurgiens orthopédiques de l’IMM s’appuient sur une planification préopératoire sophistiquée : ils utilisent des technologies d’imagerie avancée (comme la radiographie 2D ou le scanner) et des logiciels spécialisés. Ces outils leur permettent d’analyser en détail l’anatomie de votre hanche pour la reproduire avec la prothèse, et de déterminer précisément la taille, le type et le positionnement idéal de l’implant, tant pour la cupule dans le bassin que pour la tige dans le fémur.

Cette approche personnalisée assure un ajustement parfait de la prothèse, optimisant la fonction articulaire et la longévité de l’implant.

 

Prendre RDV avec l'équipe de chirurgie orthopédique de l'IMM - Paris 14

 

Après l’opération : une récupération rapide et sans douleur

A l’IMM, notre priorité est de vous remettre sur pied rapidement et en toute sécurité, grâce à des protocoles de soins modernes et une approche centrée sur vous.

 

Une mobilité retrouvée en quelques jours

Nous mettons tout en œuvre pour vous permettre d’être sur pied dans les heures qui suivent l’intervention :

  • Marche le jour même : dès le jour de l’opération, nos patients sont encouragés à se lever et peuvent marcher en appui total sur leur nouvelle hanche à l’aide de cannes. C’est un pas essentiel vers une récupération rapide.
  • Escaliers dès le lendemain : la reprise des activités quotidiennes est rapide. Beaucoup de nos patients sont capables de monter et descendre les escaliers dès le lendemain de l’intervention.
  • Retour à domicile rapide : pour la majorité des patients, le retour à la maison se fait dès J+1 ou J+2, ce qui témoigne d’une récupération précoce et d’une prise en charge efficace.
  • Marche sans cannes au bout de 2 semaines : la plupart des patients peuvent marcher sans cannes dès la deuxième semaine, sous réserve d’avis médical.

🚨 A noter : la pose d’une prothèse de hanche ne demande aucune rééducation.

 

Prise en charge de la douleur

Grâce aux techniques chirurgicales mini-invasives et à une gestion de la douleur optimisée, la chirurgie de la hanche n’est pas une chirurgie qui fait mal. La douleur est efficacement contrôlée par des antalgiques adaptés, principalement pendant la première semaine suivant l’opération.

 

Dr Georges El Khoury Chirurgien orthopédique à l'IMM

 

Le Protocole RAAC pour une meilleure récupération

Au sein de l’IMM, nous appliquons le Protocole RAAC (Récupération Améliorée Après Chirurgie). Il s’agit d’une approche globale et structurée qui vise à réduire le stress lié à la chirurgie et à accélérer le rétablissement. Le protocole RAAC inclut :

  • Un suivi personnalisé à chaque étape de votre parcours.
  • L’« école des patients » : des sessions d’information et de préparation qui aident les patients à comprendre l’intervention, à anticiper les étapes de la récupération et à devenir acteurs de leur prise en charge.

Mené par une infirmière RAAC intégrée au service d’orthopédie, le protocole RAAC est un gage de qualité et de modernité dans la prise en charge, conçu pour vous offrir la meilleure expérience possible et une récupération rapide et sereine.

 

Pourquoi se faire opérer de la hanche à l’IMM (Paris 14) ?

Choisir le bon établissement pour votre chirurgie de la prothèse de hanche est une décision majeure pour retrouver votre mobilité et votre qualité de vie. A l’IMM, nous nous engageons à vous offrir une prise en charge d’excellence, reposant sur plusieurs piliers fondamentaux :

  • Un environnement hospitalier de pointe : Votre sécurité et votre confort sont nos priorités absolues. Notre établissement dispose d’un plateau technique moderne, intégrant les dernières avancées technologiques en orthopédie. Nos différentes spécialités, réunies sur un même site, permettent d’assurer une prise en charge complète et coordonnée. Nos chambres, spacieuses et confortables, sont conçues pour favoriser une récupération rapide et sereine.
  • Une expertise reconnue en chirurgie de la hanche : Notre département de chirurgie orthopédique bénéficie d’une expertise de pointe et est spécialisé dans la chirurgie de la hanche. Vous serez pris en charge par des chirurgiens expérimentés, dont le parcours garantit une maîtrise pointue des techniques les plus complexes, y compris les approches mini-invasives. Cette spécialisation assure une compréhension approfondie des enjeux propres à la chirurgie de la hanche et à votre rétablissement.
  • Une approche personnalisée : Chaque hanche est unique, et chaque patient l’est aussi. Nous adoptons une approche entièrement personnalisée, en sélectionnant et en adaptant les techniques chirurgicales et les implants les plus appropriés à votre anatomie et à vos besoins spécifiques. Notre planification préopératoire au millimètre près garantit des résultats optimaux et une hanche parfaitement adaptée à votre corps.
  • Pas de dépassement d’honoraires : En tant qu’établissement de secteur 1, l’IMM apporte le meilleur des soins à tous, sans dépassement d’honoraires.

 

Vous souhaitez prendre rendez-vous avec le service de chirurgie orthopédique de l’IMM ?

  • Rdv sur Doctolib > Chirurgien orthopédique : Cliquer ici
  • Contactez le secrétariat du lundi au vendredi (9h-17h) : 01 56 61 64 51

 

Actualités

L’IMM renouvelle et étend sa certification AFNOR ISO 20387

Nous sommes heureux d’annoncer le maintien de notre certification AFNOR ISO 20387:2018 pour les activités de réception, conservation et distribution de ressources biologiques tissulaires d’origine humaine à des fins de recherche pour l’année à venir ! Cette reconnaissance est le fruit de l’engagement continu de nos équipes à garantir la qualité et la traçabilité de nos ressources biologiques.

 

Certification AFNOR IMM CRB 2025

 

Une nouvelle filière certifiée : un engagement renforcé pour la recherche

Cette excellente nouvelle s’accompagne d’une avancée majeure. En seulement six mois, le Centre de Ressources Biologiques (CRB) de l’IMM a réussi à intégrer une nouvelle filière à son périmètre de certification : les fluides biologiques (prélèvement, réception, préparation, conservation et distribution) ! Cela démontre notre agilité et notre capacité à nous adapter aux besoins de la recherche scientifique, tout en maintenant les plus hauts standards de qualité.

📢 La certification couvre dorénavant la filière tissus (CRB T) et la filière fluides (CRB F).

 

Qu’est-ce que la norme ISO 20387 et pourquoi est-elle si importante ?

La norme ISO 20387 « Biotechnologies & Biobanking » est une norme internationale spécifiquement dédiée aux biobanques où sont collectés, stockés et gérés de manière organisée des échantillons biologiques humains, ainsi que les données cliniques et socio-économiques associées.

Cette norme établit des exigences rigoureuses en matière de :

  • Qualité et intégrité des échantillons : La norme garantit que les échantillons biologiques (tissus, fluides, etc.) sont collectés, traités, stockés et distribués de manière à préserver leur qualité et leur intégrité, essentielles pour la fiabilité des résultats de recherche.
  • Traçabilité : Chaque échantillon est rigoureusement tracé, de sa réception à sa distribution, assurant une parfaite identification et une information complète sur son historique.
  • Sécurité et éthique : La norme inclut des exigences strictes en matière de sécurité des données, de confidentialité des informations des donneurs et de respect des principes éthiques.
  • Compétence du personnel : Elle assure que le personnel est formé et compétent pour manipuler les bioressources de manière adéquate.
  • Gestion des risques et opportunités: La norme impose la mise en place de processus de gestion des risques et opportunités pour garantir la sécurité et la qualité des bioressources et assurer la pérennité du CRB.

 

Pourquoi cette certification est-elle cruciale pour la recherche ?

L’obtention et le maintien de la certification ISO 20387 est un gage de confiance pour la communauté scientifique et pour répondre aux besoins de nos partenaires de recherche. Elle assure que les bioressources que nous mettons à disposition sont de la plus haute qualité, fiables et traçables, ce qui est fondamental pour :

  • La reproductibilité des études scientifiques : Des échantillons de qualité homogène permettent d’obtenir des résultats plus fiables et reproductibles, accélérant ainsi les découvertes.
  • La validation des biomarqueurs : Des bioressources bien caractérisées sont essentielles pour la découverte et la validation de nouveaux biomarqueurs, clés pour le diagnostic, le pronostic et le traitement des maladies.
  • Le développement de nouvelles thérapies : L’accès à des collections d’échantillons diversifiées et de haute qualité est indispensable pour la recherche et le développement de médicaments innovants.
  • La collaboration internationale : La conformité à une norme internationale facilite les collaborations avec d’autres centres de recherche à travers le monde.

 

Notre parcours vers l’excellence

L’histoire du biobanking à l’IMM débute en 2013 avec la création du CRB qui reprend les échantillons tissulaires conservés depuis la création de l’IMM en 1999. En 2017, le CRB obtient sa première certification sur les exigences de la norme française NF S 96-900. En 2023, nous avons franchi une étape majeure en obtenant la certification internationale sur les exigences de l’ISO 20387. Aujourd’hui, nous sommes fiers de confirmer le maintien de cette certification, témoignant de notre engagement continu envers l’excellence.

 

Nous tenons à remercier l’ensemble de nos équipes pour leur engagement et leur professionnalisme, ainsi que nos partenaires pour leur confiance. Cette certification et l’ajout de cette nouvelle filière nous encouragent à poursuivre nos efforts pour soutenir activement l’avancement de la Recherche au service des patients.

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Exposition de Joselaine Citounadin à l’IMM

L’Institut Mutualiste Montsouris est heureux d’accueillir, du 6 juillet au 31 décembre 2025, l’exposition « Y voir, Y croire » de l’artiste peintre Joselaine Citounadin.

Cette exposition a pour but de ralentir les pas pressés, de tourner les regards sur le minimalisme haut en couleur qu’offre cette galerie. Sous ces pluies de lumière se dévoile, à travers les carreaux de glace, un jardin perdu au milieu de mille couleurs douces et vivantes, là où des âmes tristes reprennent joyeusement vie.

 

« L’espoir et la confiance ancrés au plus profond de l’être retiennent souvent les douces larmes avant de les laisser chuter dans les ruisseaux paisibles craignant le débordement au printemps des forêts amoureuses. »

Joselaine Citounadin

 

A propos de l’artiste

Joselaine Citounadin a découvert la peinture très jeune mais c’est depuis un peu plus de 5 ans qu’elle pratique assidûment cette activité artistique. A l’approche de la retraite, elle avait besoin d’un tremplin pour ne pas s’enraciner dans son quotidien. Faire quelque chose de passionnant sans vouloir rayonner. En tant qu’amateure passionnée, c’est dans cet univers de matière et de couleur qu’elle se perd plus facilement. Plusieurs stages ont confirmé son souhait, et depuis 3 ans, elle anime un atelier de peinture libre en milieu professionnel. Ces expériences l’ont aidée à croire que peindre n’est pas réservé qu’aux plus talentueux mais est surtout une façon d’exprimer des sensibilités et des qualités humaines.

Ses tableaux expriment sa vision abstraite de l’extravagance à travers des postures de personnages, des bouquets floraux irréels, des portraits.

Elle aime utiliser diverses techniques et matériaux pour leur donner du sens et ornementer de détails les décors. Elle privilégie la peinture acrylique mais aussi la peinture à l’huile, mariant parfois les deux pour plus de fluidité et de reflet.

 

exposition joselaine citounadin

 

Informations pratiques

  • Lieu : Pont de glace – Institut Mutualiste Montsouris – 42 bd Jourdan – 75014 Paris
  • Dates : du 6 juillet au 2025 au 31 décembre 2025
  • Vernissage :
  • Horaires : du lundi au dimanche, de 8h à 20h
  • Entrée libre

L’Institut Mutualiste Montsouris est fier de soutenir l’art et la culture et d’offrir à ses patients, visiteurs et équipes un moment de détente et de découverte.

 

Actualités

L’IMM engagé pour la santé des jeunes

Situé à deux pas de la Cité Internationale Universitaire de Paris (CiuP), l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) est fier de son engagement auprès de la jeunesse. Conscient des enjeux spécifiques de santé qui touchent les étudiants, et particulièrement ceux qui arrivent de l’étranger, l’IMM a déployé plusieurs initiatives concrètes pour leur faciliter l’accès aux soins et à la prévention.

Plusieurs études le soulignent : l’accès aux soins est un défi majeur pour de nombreux étudiants, notamment étrangers, qui doivent faire face à la méconnaissance du système de santé français, à des contraintes financières, à un manque de suivi… Et pourtant, cette population étudiante est particulièrement exposée aux risques psychosociaux, avec des chiffres alarmants concernant le stress, l’épuisement ou la déprime. Pour les résidents de la « Cité U », l’isolement loin de leurs proches et la pression de la réussite académique, souvent liée à des engagements financiers familiaux, accentuent ces fragilités.

Face à ce constat, l’IMM a choisi d’agir en se rapprochant au plus près de la communauté étudiante.

 

Une antenne médicale au cœur de la CiuP : un accès facilité aux soins

Depuis juin 2021, une antenne médicale a ouvert ses portes au sein du Relais Social International de la Cité Universitaire internationale de Paris. Portée par le Centre de Santé du Square de la Mutualité en partenariat avec l’IMM, cette initiative inédite (autorisée par l’ARS) offre un point de contact privilégié pour les 12 000 étudiants résidant chaque année à la Cité U.

Concrètement, cette antenne, véritable centre médical, propose :

  • Des consultations de médecine générale, assurées plusieurs fois par semaine par des médecins du Centre de Santé. Elles couvrent la prévention, les soins courants et représentent souvent le premier contact des étudiants avec le système de santé français.
  • Des consultations de gynécologie (incluant frottis et discussions autour de la contraception), répondant à un besoin essentiel de santé féminine.
  • Des consultations de psychiatrie assurées par un psychiatre de l’IMM, spécifiquement dédiées à la prévention et au dépistage des troubles psychiques. Ce soutien est d’autant plus crucial que de nombreux étudiants expriment une souffrance psychique (stress, troubles du sommeil, anxiété, dépression…).

En 2024, près de 1 300 consultations ont été réalisées.

Les objectifs sont clairs : lutter contre le renoncement aux soins en proposant des consultations sans avance de frais, faciliter l’orientation vers le réseau de soins extérieur si nécessaire, et renforcer la prévention. Cette antenne permet également d’accompagner les étudiants dans la compréhension de leurs droits et l’accès à une couverture santé. En plus des consultations, des campagnes de vaccination massives, comme celles pour la COVID-19, peuvent être organisées.

 

Antenne médicale au sein de la CiuP

Cabinet de consultation de l’antenne médicale

 

Des actions de sensibilisation régulières

L’IMM s’investit activement dans des actions de prévention ciblées, visant à informer et dépister les problèmes de santé chez les jeunes : nutrition & sport santé, Mois sans Tabac, dépistage des IST…

L’hôpital organise notamment tous les ans une journée de dépistage des maladies rénales en partenariat avec la CiuP ; l’occasion pour de nombreux étudiants de faire le point sur leur santé, d’échanger avec un médecin et de réaliser des premiers examens (glycémie, analyse d’urine…) pour détecter précocement des signes de maladies rénales. En 2025, cette journée de prévention a connu un vif succès auprès des jeunes et a permis d’orienter une dizaine d’entre eux pour réaliser des examens complémentaires.

 

Une implication forte dans la santé mentale des jeunes

Alors que la santé mentale a été désignée Grande cause nationale en 2025, celle des jeunes constitue un enjeu majeur de notre société. En France, les études récentes soulignent une détérioration préoccupante du bien-être psychologique chez les adolescents et les jeunes adultes. Face à ce constat alarmant, il est impératif de renforcer les dispositifs d’aide et d’accompagnement pour cette population particulièrement fragilisée. C’est dans ce contexte que depuis plusieurs années, le département de psychiatrie de l’Institut Mutualiste Montsouris s’engage pour offrir aux étudiants un soutien adapté et accessible.

 

« Les étudiants consultent le plus souvent pour des troubles anxio-dépressifs, une détérioration de leur vision de l’avenir et des moments de crise. Ils ressentent également la pression immense qui pèse sur leur parcours de réussite. À cela peuvent s’ajouter des difficultés d’adaptation au système qui engendrent une grande souffrance. Ces facteurs combinés créent un environnement propice à la fragilisation psychologique des jeunes et justifient la mise en place de dispositifs spécifiquement adaptés »

Dr Jean-Christophe Maccotta – Psychiatre – Département de Psychiatrie de l’Adolescent et du Jeune Adulte de l’IMM

 

Des consultations psychiatriques étudiantes à l’IMM

Depuis 2014, avec un renforcement en 2016, la consultation étudiante de l’Institut Mutualiste Montsouris propose un soutien psychiatrique de deuxième ligne. Nous recevons des étudiants de 18 ans à 25 ans, orientés par des confrères psychologues ou psychiatres travaillant au sein des universités. Le besoin est grand : en 2024, plus de 800 consultations ont été menées, et ce chiffre devrait presque doubler pour l’année 2025. Ce dispositif est essentiel pour les étudiants nécessitant une prise en charge spécialisée et un suivi approfondi.

 

 

Deux Pôles de Prévention et d’Orientation Psychologique (PPOP)

L’IMM a développé des Pôles de Prévention et d’Orientation Psychologique dont le but est d’accompagner les étudiants vers le soin et les aider à surmonter des moments de blocage. Il s’agit d’un dispositif de prévention secondaire, dont des psychiatres de l’IMM ont la responsabilité, où les étudiants sont reçus par des psychologues au sein même de leur université.

Actuellement, deux PPOP accueillent les étudiants :

  • A la Faculté de Santé de l’Université Paris Cité, avec des consultations dans la faculté de pharmacie, les facultés de médecine de Cochin et de Bichat, et celle d’odontologie de Montrouge. Ces services sont complémentaires au Service de Santé Étudiante de l’Université Paris Cité.
  • A l’Université Paris Sciences & Lettres (PSL) : deux centres de consultations (l’un à l’Université Paris Dauphine et l’autre dans des locaux du CROUS du 5e arrondissement) sont intégrés au Service de Santé Étudiante.

Ces dispositifs témoignent de notre engagement continu à soutenir le bien-être des étudiants et à leur offrir les ressources nécessaires pour faire face aux défis psychologiques et au stress liés aux études et à la vie étudiante.

 

ÉTAPE : un dispositif de prise en charge des jeunes les plus en difficultés

Au-delà des étudiants, l’IMM est également engagé auprès des adolescents présentant des difficultés extrêmes. L’Équipe des Transitions Adolescentes et de Prévention des Exclusions (ÉTAPE) est un dispositif psycho-éducatif mixte, créé en collaboration avec la DIR PJJ Île-de-France et le Département de Psychiatrie de l’Adolescent et du Jeune Adulte de l’IMM, avec le soutien de l’ARS Île-de-France.

ETAPE intervient en appui des équipes de la Protection Judiciaire de la Jeunesse (PJJ), de la protection de l’enfance et du secteur de la santé pour prendre en charge les jeunes qualifiés d’ultra-complexes, que nous appelons les adolescents « décontenancés ». Ces jeunes, souvent marqués par des troubles des conduites externalisés, des ruptures relationnelles et des parcours jalonnés d’exclusions, dépassent parfois les capacités de contenance des institutions traditionnelles. Notre approche est personnalisée et menée par un binôme psychologue (ou psychiatre) et éducateur PJJ, favorisant des rencontres régulières avec l’adolescent et les équipes qui l’entourent.

L’objectif est de prévenir l’aggravation de leurs difficultés en facilitant l’accès aux soins et aux structures d’aide, tout en utilisant des médiations variées, notamment corporelles, pour favoriser le lien et l’historicisation de leur parcours.

 

À l’IMM, notre mission est d’être un acteur majeur de la santé publique ; cela passe aussi par un engagement fort auprès des jeunes ! En leur offrant un accès facilité aux soins et à la prévention, nous contribuons à leur bien-être et à leur réussite.

 

Actualités

Chirurgie orthognathique : tout savoir sur la chirurgie des mâchoires

Vous avez consulté un orthodontiste qui vous a parlé de la nécessité d’une chirurgie ? Vous avez des douleurs chroniques articulaires, des difficultés à mastiquer et des blocages de la mâchoire ? Vous êtes complexé.e par un déséquilibre de votre visage ?  Ces problèmes sont souvent liés à un mauvais positionnement des mâchoires et à une occlusion dentaire imparfaite. Heureusement, la chirurgie orthognathique offre une solution efficace pour corriger ces anomalies. Cette intervention précise et désormais planifiée sur ordinateur consiste à repositionner les os des mâchoires afin d’améliorer à la fois les fonctionnalités et l’esthétique du visage.

 

Qu’est-ce que la chirurgie orthognathique ?

La chirurgie orthognathique est une branche spécialisée de la chirurgie maxillo-faciale. Son but : corriger les anomalies squelettiques des mâchoires, c’est-à-dire les mauvaises positions ou les déformations de la mâchoire supérieure (la maxillaire) ou de la mâchoire inférieure (la mandibule). Ces anomalies peuvent avoir plusieurs origines, incluant des facteurs génétiques, des troubles de croissance ou des traumatismes.

 

La chirurgie orthognathique pour corriger des anomalies des mâchoires

La chirurgie orthognathique implique des procédures chirurgicales pointues, qui consistent à sectionner (on parle d’ostéotomie), repositionner et fixer les os des mâchoires dans une nouvelle position, plus harmonieuse et fonctionnelle. L’objectif est de rétablir un équilibre facial optimal et d’améliorer l’occlusion dentaire (c’est-à-dire l’emboitement des dents de la mâchoire du haut avec celles de la mâchoire du bas).

 

La nécessité d’une collaboration entre l’orthodontiste et le chirurgien maxillo-facial

La chirurgie orthognathique joue un rôle essentiel dans le traitement des malocclusions dentaires complexes. Une malocclusion est un défaut d’alignement des dents et des mâchoires, où les dents du haut et du bas ne s’emboîtent pas correctement. Si, dans de nombreux cas, l’orthodontie seule peut corriger certains types de malocclusions, la chirurgie orthognathique est parfois nécessaire lorsque le problème est d’origine squelettique, c’est-à-dire lié à la position des os des mâchoires.

Le succès de la chirurgie orthognathique repose donc sur une collaboration étroite et coordonnée entre l’orthodontiste et le chirurgien maxillo-facial. L’orthodontiste est responsable de la préparation des arcades dentaires avant la chirurgie, en alignant les dents de manière optimale sur chaque mâchoire. Cela permet au chirurgien de repositionner les mâchoires de façon à obtenir une occlusion idéale après l’intervention. Après la chirurgie, l’orthodontiste intervient à nouveau pour finaliser l’alignement dentaire et stabiliser les résultats à long terme.

 

Pour quelles raisons se faire opérer des mâchoires ?

La chirurgie orthognathique est une solution envisagée pour corriger un large éventail de problèmes qui affectent à la fois les aspects fonctionnels et l’esthétique du visage. Les indications de cette intervention peuvent être regroupées en plusieurs catégories :

 

Les troubles fonctionnels :

  • Difficultés de mastication et de déglutition : Lorsque les mâchoires ne sont pas correctement alignées, la mastication des aliments peut être difficile, ce qui entraine des problèmes de déglutition pouvant affecter la nutrition et le confort alimentaire.
  • Douleurs de l’articulation temporo-mandibulaire (ATM) : Un mauvais alignement des mâchoires peut exercer une pression excessive sur l’articulation temporo-mandibulaire, causant des douleurs chroniques, des craquements, des blocages et une limitation de l’ouverture de la bouche.
  • Problèmes d’élocution : La position des mâchoires et des dents influence la façon dont nous produisons certains sons. Des malformations peuvent entraîner des troubles de l’élocution, affectant la communication.
  • Apnée du sommeil : Dans certains cas, un positionnement anormal des mâchoires peut contribuer à l’obstruction des voies respiratoires pendant le sommeil, causant des épisodes d’apnée. La chirurgie orthognathique peut aider à élargir les voies respiratoires et à améliorer cette condition.
  • Difficultés respiratoires nasales liées à la structure osseuse : Un développement anormal des mâchoires peut affecter la structure des voies nasales, entraînant des problèmes de respiration nasale chronique.

 

L’esthétique du visage

  • Prognathisme (mâchoire inférieure trop avancée) : Caractérisé par un menton proéminent et une occlusion inversée, où les dents inférieures sont devant les dents supérieures.
  • Rétrognathisme (mâchoire inférieure en retrait) : Se manifeste par un menton fuyant et un manque de projection de la mâchoire inférieure.
  • Béance dentaire antérieure ou latérale : Présence d’un espace entre les dents supérieures et inférieures lorsque les mâchoires sont fermées, empêchant un contact normal.
  • Asymétries faciales : Un déséquilibre entre les deux côtés du visage, causé par une croissance inégale des mâchoires.
  • Sourire gingival excessif : Une exposition excessive de la gencive supérieure lors du sourire, due à une position verticale anormale du maxillaire.

 

Les malformations congénitales

Certaines anomalies de développement présentes dès la naissance peuvent affecter significativement la structure et la fonction des mâchoires, nécessitant une approche chirurgicale spécialisée.

  • Séquelles de fentes labio-palatines (plus vulgairement appelées « bec de lièvre ») : La chirurgie orthognathique peut corriger les déformations des mâchoires résultant de fentes labiales et palatines, améliorant la fonction et l’esthétique faciales.
  • Microsomies hémifaciales : Cette condition, caractérisée par un développement insuffisant d’un côté du visage, peut nécessiter une chirurgie orthognathique et de la distraction osseuse pour rétablir la symétrie et la fonction.

La prise en charge de ces deux types de pathologies demande un très haut niveau de savoir-faire. A l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM), hôpital situé à Paris 14, une équipe de praticiens très expérimentés prend en charge les patients atteints de malformations congénitales. Bénéficiant d’une solide expérience en malformation pédiatrique et travaillant en étroite collaboration avec l’hôpital Necker- Enfants malades, le suivi et la prise en charge sont optimales.

Prendre RDV avec l'équipe de chirurgie maxillo faciale de l'IMM

 

 

Les avancées technologiques au service de la chirurgie orthognathique

Ces dernières années, la chirurgie orthognathique a bénéficié de manière significative des progrès technologiques et numériques. La chirurgie guidée par ordinateur, utilisant des guides de coupe personnalisés imprimés en 3D, optimise grandement la précision du repositionnement des mâchoires. Ces innovations technologiques se traduisent par des interventions plus efficaces, des temps opératoires réduits, des suites postopératoires améliorées et permettent aux patient.es de mieux se projeter sur ce à quoi ressemblera leur visage après l’opération ; elles augmentent la précision de l’intervention et permettent de simuler les résultats esthétiques et fonctionnels.

A noter : les avancées médicales ont également largement amélioré les suites opératoires, notamment grâce à la mise en place de nouveaux protocoles d’anesthésie ou encore l’utilisation de la cryothérapie sur le visage dès la salle de réveil (pour limiter la douleur et les gonflements).

 

Combien coûte une chirurgie orthognathique ?

Le coût de la chirurgie orthognathique est variable et dépend de nombreux facteurs, notamment l’étendue de la correction à apporter (une seule mâchoire ou les deux), la complexité de l’intervention, la durée de l’hospitalisation, les honoraires du chirurgien et de l’anesthésiste, ainsi que les frais liés aux examens préopératoires (radiographies, moulages, etc.) et au suivi postopératoire.

À Paris, les tarifs peuvent également varier d’un établissement à l’autre et selon l’expertise du chirurgien. Il est important de noter que dans certains cas, une partie des coûts peut être prise en charge par l’Assurance Maladie, notamment lorsque la chirurgie a une visée fonctionnelle (troubles de la mastication, de la parole, apnée du sommeil). Dans ce contexte, il est utile de savoir que certains établissements de santé à Paris pratiquent la chirurgie orthognathique sans dépassement d’honoraires : les chirurgiens appliquent les tarifs conventionnés par l’Assurance Maladie, ce qui peut réduire considérablement le reste à charge pour le patient. Ces établissements sont les hôpitaux publics ou établissements privés de secteur 1. Le choix d’un établissement sans dépassement d’honoraires représente un avantage financier important, tout en garantissant une prise en charge de qualité.

Une consultation préalable avec le chirurgien maxillo-facial permettra d’obtenir un devis personnalisé et d’évaluer les modalités de remboursement possibles.

 

Se faire opérer de la mâchoire à l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM)

Depuis son ouverture en 2023, le Département de chirurgie maxillo-faciale de l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) prend en charge le diagnostic et le traitement de nombreuses pathologies, dont celles nécessitant de la chirurgie orthognathique.

Situé dans le 14ème arrondissement, à deux pas du parc Montsouris, l’IMM est équipé d’un important plateau technique. Etablissement Privé d’Intérêt Collectif (ESPIC), l’IMM offre le meilleur des soins à tous les patients, sans dépassement d’honoraires.

Bénéficiant d’une certaine reconnaissance, le Département de chirurgie maxillo-faciale de l’IMM est devenu un centre de recours pour des reprises de chirurgie orthognathique, et accueille des patients venus de toute la France et de l’étranger.

Vous souhaitez consulter un chirurgien maxillo-facial ? Prenez rendez-vous sur Doctolib (choisir « Chirurgien maxillo-facial et stomatologue ») ou contactez notre secrétariat au 01 56 61 62 49.

 

 

 

Actualités

Radio Truche lauréat du Prix de l’Expérience Patient 2025

Radio Truche remporte le Prix Expérience Patient de l’Institut Français Expérience Patient (IFEP) !

Radio Truche est un podcast créé et animé par les jeunes patients et les équipes soignantes du service de psychiatrie de l’Institut Mutusliste Montsouris. Depuis 2022, il permet aux jeunes de s’exprimer, de partager leurs réflexions, leurs goûts, leur créativité, leurs talents. Des adolescents ordinaires qui vivent une expérience extraordinaire ! En savoir plus sur Radio Truche.

Pour la 3ème année, l’IFEP organisait les Trophées de l’Expérience Patient, pour mettre en lumière les idées novatrices et les actions concrètes et impactantes autour de l’expérience patient.

Ce prix est une formidable reconnaissance de l’engagement des équipes du Département de psychiatrie de l’IMM qui œuvrent au quotidien pour placer les jeunes patients au cœur des préoccupations. Il vient récompenser un modèle de soin centré sur la relation, l’écoute et l’autonomisation des patients.

 

Remise du prix de l'expérience Patient 2025 au Dr Votadoro

Remise du prix au Dr Votadoro

 

Bravo au Dr Pablo Votadoro, à l’initiative de ce beau projet, à Julien Masse, Cindy Paillat, Dr Isabelle Nicolas, aux équipes de l’unité d’hospitalisation de soins institutionnels, à Malo, Sylvie et Sophie de Studio Sonique pour leur accompagnement, à Nathalie Bass & Emilie Gozé, et à tous les jeunes patients qui se sont investis avec enthousiasme !

Merci à la Fondation Matmut Paul Bennetot et à Christophe Bourret pour le soutien essentiel qui a permis à ce projet de voir le jour !

Vous souhaitez (re)découvrir Radio Truche ? Les 8 premiers épisodes sont accessibles sur Spotify : Radio Truche | Podcast on Spotify

Un podcast à écouter et à partager !

 

Actualités

L’hygiène des mains, un geste essentiel pour la santé de tous !

Que vous soyez professionnel.le de santé ou non, bien se laver les mains est essentiel et doit faire partie de votre quotidien. Cette journée de sensibilisation à l’hygiène des mains est l’occasion de rappel les règles à respecter au quotidien.

 

L’hygiène des mains à la maison : des gestes simples au quotidien

À la maison, le lavage des mains est indispensable pour maintenir un environnement sain et vous protéger – vous et votre famille –  des infections. Ce geste simple ne prend que quelques secondes mais a un impact majeur sur votre santé.

 

Quand faut-il se laver les mains ?

  • Avant et après la préparation des repas : Manipuler des aliments, surtout crus, peut transférer des bactéries. Lavez-vous les mains avant de commencer à cuisiner et après avoir manipulé des viandes, volailles ou poissons crus.
  • Avant de manger : Pour éviter d’ingérer des germes présents sur vos mains.
  • Après être allé.e aux toilettes : Indispensable pour éliminer les bactéries et virus.
  • Après s’être mouché, avoir toussé ou éternué : Les gouttelettes expulsées peuvent contenir des germes. Il est d’ailleurs conseillé d’éternuer/tousser dans son coude plutôt que sa main.
  • Après avoir touché des animaux de compagnie : Même les animaux les plus propres peuvent être porteurs de bactéries.
  • Après avoir sorti la poubelle : Les déchets sont un nid à microbes.
  • Après avoir été en contact avec une personne malade : Pour éviter la propagation des germes.
  • Après être rentré.e de l’extérieur : Que vous ayez fait des courses dans les magasins, pris les transports en commun ou fait une promenade, vos mains peuvent avoir été en contact avec de nombreuses surfaces contaminées.

 

Comment bien se laver les mains ?

Bien se laver les mains est très simple :

  • Mouillez vos mains ;
  • Appliquez suffisamment de savon ;
  • Frottez toutes les surfaces (paumes, dos des mains, entre les doigts, pouces, et sous les ongles) pendant au moins 20 secondes ;
  • Rincez abondamment ;
  • Séchez vous avec une serviette propre ou un essuie-tout.

A noter : pour la routine quotidienne, privilégiez le lavage des mains simple à l’eau et au savon. Utilisez du gel hydro-alcoolique lorsque vous êtes à l’extérieur ou en cas d’épidémie virale au domicile, pour une protection renforcée.

 

L’hygiène des mains : première ligne de défense contre les infections à l’hôpital 

 

L’hygiène des mains est au cœur des précautions standard, ces mesures fondamentales que chacun doit observer en milieu hospitalier, que le patient soit porteur d’un germe transmissible ou non. Elle constitue la première ligne de défense contre la propagation des infections.

 

Soignants : les prérequis pour une hygiène des mains efficace

Pour garantir l’efficacité de ce geste simple, quelques règles d’or sont à respecter par les équipes soignantes :

  • Porter des tenues à manches courtes ;
  • Avoir les ongles courts et sans vernis (les faux ongles sont proscrits) ;
  • Ne pas porter de bijoux (bague, alliance, montre, bracelet…).

Ces mesures permettent d’assurer une désinfection complète des mains et d’éviter la rétention de germes.

 

Hygiène des mains : les spécificités en milieu hospitalier

En milieu hospitalier, où la prévention des infections est une priorité absolue, des protocoles précis sont mis en place :

  • Le lavage des mains au savon doux est réservé aux situations où les mains sont visiblement souillées (prise de poste, après les toilettes ou un repas, souillure visible). Bien que le lavage soit important, il est moins efficace que la désinfection avec une solution hydro-alcoolique (également appelée SHA) pour éliminer un large éventail de germes.
  • La friction au SHA (solution hydro-alcoolique) doit être réalisée impérativement dès qu’une occasion se présente, selon les 5 indications de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) :
    1. Avant un contact avec un patient
    2. Après un contact avec un patient
    3. Après un contact avec l’environnement du patient
    4. Avant un geste aseptique (par exemple, la pose d’une perfusion)
    5. Après un contact à risque d’exposition aux liquides biologiques

 

Et les gants ?

Il est important crucial de rappeler que les gants ne sont pas propres ; ils ne servent qu’à protéger. Ils constituent une barrière pour la personne qui les porte et ne remplacent en aucun cas une désinfection des mains. Il est impératif de se désinfecter les mains avant et après l’utilisation de gants.

 

Actualités

L’IMM lance une offre de pair-aidance pour les patients

Nous avons le plaisir d’annoncer le lancement d’une nouvelle initiative dédiée à nos patients : un programme de pair-aidance gratuit. Convaincus de la puissance du partage d’expériences, nous mettons en place cette approche humaine et innovante pour vous accompagner au mieux dans votre parcours de santé.

 

Qu’est-ce que la pair-aidance ?

La pair-aidance est une forme de soutien mutuel dans lequel des personnes ayant traversé des expériences de maladie, de rétablissement ou de vie similaires, offrent leur écoute, leurs conseils et leur compréhension à d’autres. C’est une relation basée sur l’égalité, le respect et la confiance, où l’on se sent moins seul face à ses défis. Un pair-aidant n’est pas un professionnel de santé, mais un « expert de vécu », capable d’apporter un éclairage différent et une perspective unique.

 

Quels bénéfices pour les patients ?

Les avantages de la pair-aidance pour les patients sont nombreux :

  • Rupture de l’isolement : Se sentir compris par quelqu’un qui a « vécu la même chose » permet d’atténuer le sentiment de solitude souvent ressenti face à la maladie.
  • Partage d’expériences concrètes : Bénéficier de retours d’expérience sur la gestion du quotidien, les traitements, les démarches, etc. peut être d’une aide précieuse.
  • Renforcement de l’estime de soi : Observer la résilience et le cheminement des pairs-aidants peut inspirer et redonner confiance en sa propre capacité à surmonter les épreuves.
  • Amélioration du bien-être émotionnel : Le simple fait de pouvoir s’exprimer librement, sans jugement, dans un espace sécurisé, contribue grandement à la diminution du stress et de l’anxiété.
  • Une autre forme de soutien : Complémentaire aux soins médicaux, la pair-aidance offre une dimension relationnelle et humaine essentielle au processus de guérison et de réadaptation.

 

La pair-aidance àl’IMM : gratuite, sécurisée et anonyme

Dans le but de contribuer au bien-être des patients, l’Institut Mutualiste Montsouris a mis en place un cadre de pair-aidance :

  • Gratuit : Ce service est entièrement pris en charge par l’établissement, sans aucun coût pour les patients qui l’utilisent.
  • Sécurisé : Nous avons mis en place une plateforme et des protocoles pour garantir la confidentialité et la sécurité de vos échanges. Nos pairs-aidants sont bénévoles, formés et encadrés.
  • Anonyme : Les échanges entre le patient et le pair-aidant sont strictement confidentiels.

 

Vous souhaitez bénéficier de la pair-aidance ?

Vous êtes patient.e à l’IMM et vous souhaitez en savoir plus sur notre programme de pair-aidance ou vous inscrire pour être mis en relation avec un pair-aidant ? Retrouvez toutes les informations pratiques sur notre plateforme dédiée.

👉 Cliquez ici pour accéder à la plateforme de Pair-Aidance et vous inscrire !

Actualités

Infirmier / Infirmière hygiéniste : un rôle clé dans la prévention des infections

Depuis la pandémie de COVID-19, une prise de conscience générale s’est imposée pour souligner l’importance de l’hygiène et de la prévention. Ce contexte a mis en lumière le travail de fond des infirmiers et infirmières hygiénistes, qui étaient déjà en première ligne bien avant 2020, et qui le sont restés depuis.

Aujourd’hui, le métier d’infirmier / infirmière hygiéniste (ou IDE hygiéniste) est plus que jamais au cœur des enjeux de santé publique, et les établissements hospitaliers cherchent des professionnels formés, rigoureux, capables d’anticiper les risques et de transmettre les bonnes pratiques.

 

Qu’est-ce qu’une infirmière hygiéniste ?

L’infirmière hygiéniste est une professionnelle de santé spécialisée dans la prévention du risque infectieux au sein des établissements de soins. Son domaine d’expertise ? La lutte contre les infections nosocomiales, des maladies pouvant être contractées lors d’un séjour à l’hôpital.

Pour garantir un environnement propre et sécurisé, l’infirmière hygiéniste met en place des protocoles stricts, observe les pratiques de terrain, identifie les situations à risque, et agit en amont pour éviter tout incident sanitaire. Un travail de fond, souvent discret, mais dont dépend la sécurité de tous, patients comme personnels de santé.

 

Quels sont le rôle et les missions d’une infirmière hygiéniste ?

Membre de l’équipe opérationnelle d’hygiène (EOH), l’infirmière hygiéniste travaille en lien étroit avec un médecin hygiéniste et collabore quotidiennement avec l’ensemble des services de l’établissement.

Son rôle ne se limite pas à faire respecter les règles. Elle est une véritable référente en matière de prévention, et agit à la fois comme auditrice, formatrice, analyste et conseillère.

Au quotidien, l’infirmière hygiéniste :

  • Surveille, analyse, et évalue les pratiques de soins ;
  • Met en place des actions correctives ;
  • Accompagne les équipes pour faire évoluer durablement les comportements professionnels.

En situation de crise, l’infirmière hygiéniste devient un pilier de la gestion du risque : elle pilote les mesures d’urgences, diffuse les consignes, et accompagne les soignants dans l’application des protocoles renforcés.

Ses missions concrètes au quotidien :

  • Mettre en place, actualiser et faire respecter les protocoles d’hygiène hospitalière ;
  • Surveiller les infections associées aux soins (IAS) via des indicateurs et bases de données ;
  • Réaliser des audits et enquêtes de terrain ;
  • Former et sensibiliser les équipes médicales aux bonnes pratiques ;
  • Conseiller les professionnels en cas de situation à risque ou d’épidémie.

Ce travail est essentiel pour garantir des soins sûrs et de qualité. La présence d’une infirmière hygiéniste au sein d’un établissement de santé est une garantie supplémentaire de la sécurité de la prise en charge des patients.

 

 

Comment devenir IDE hygiéniste ?

Devenir infirmière hygiéniste ne s’improvise pas : ce rôle clé dans la prévention des risques associés aux soins exige un parcours de formation structuré et une expertise pointue.

Pour exercer ce métier, il faut tout d’abord être titulaire du Diplôme d’État d’Infirmier (DEI).
Ensuite, il est recommandé de suivre une formation complémentaire, comme :

  • Un Diplôme Universitaire (DU) en hygiène hospitalière: Cette formation d’un an permet d’acquérir des bases solides dans un domaine aussi technique que stratégique. On y aborde des thématiques concrètes comme la prévention des infections liées aux soins, la gestion des épidémies, ou encore les bonnes pratiques en matière de désinfection et de stérilisation. Ce DU prépare les professionnels à faire face aux situations du terrain, à prendre des décisions éclairées et à devenir de véritables référents en matière d’hygiène.

 

  • Un certificat en gestion des risques ou en santé publique: Ce certificat propose une formation spécialisée, ouverte aussi bien aux débutants qu’aux professionnels en reconversion ou en perfectionnement, axée sur la gestion des risques et les différentes vigilances sanitaires infectieuses, médicamenteuses et matérielles. Il a pour objectif de donner aux soignants les outils pour mieux prévenir les incidents, sécuriser les parcours de soins et renforcer la qualité des pratiques dans leur quotidien. Cette formation concrète, ancrée dans la réalité du terrain, s’adresse à toutes celles et ceux qui souhaitent faire de la sécurité sanitaire une priorité dans leur métier.

 

  • Des modules de formation spécifiques, proposés par certaines ARS ou écoles spécialisées.

 

Quelles sont les qualités requises pour être infirmière hygiéniste ?

C’est un métier où l’on agit souvent en amont, dans l’ombre, avec un impact majeur sur la qualité des soins. Exercer le métier d’infirmière hygiéniste demande bien plus que des compétences techniques.

C’est un poste où les qualités humaines font toute la différence :

  • Savoir communiquer : La communication est au cœur de la mission. Il faut savoir expliquer clairement les protocoles, répondre aux questions, et interagir efficacement avec tous les acteurs de l’hôpital qu’ils soient soignants, techniciens ou agents de service. La capacité à communiquer et des compétences relationnelles sont donc essentielles.
  • Avoir l’esprit d’équipe: L’infirmière hygiéniste ne travaille jamais seule. Elle collabore étroitement avec de nombreux services, et une bonne collaboration passe par l’écoute et la confiance mutuelle.
  • Etre disponible : Dans un établissement de santé, les imprévus sont fréquents, et savoir se rendre disponible rapidement peut faire toute la différence, surtout lors d’alertes sanitaires.
  • Etre autonome : L’infirmière hygiéniste doit être capable de prendre des décisions, de prioriser les actions à mener, et d’agir avec discernement, parfois sans attendre d’instruction directe.
  • Avoir des capacités pédagogiques: cette qualité est essentielle pour pouvoir former, sensibiliser et transmettre les bonnes pratiques, autant de missions qui exigent de la patience, de la clarté, et une capacité d’adaptation aux différents profils rencontrés.

Des qualités comme la maîtrise de soi, la rigueur, et une grande capacité d’écoute permettent également de gérer le stress, d’instaurer un climat de confiance, et de veiller à ce que chaque recommandation soit comprise et appliquée avec sérieux.

 

L’IMM recrute un infirmier / infirmière hygiéniste 

Vous souhaitez mettre vos compétences au service de la sécurité des soins ? Vous aimez former, transmettre, prévenir et améliorer les pratiques ? L’IMM, ESPIC reconnu parmi les meilleurs hôpitaux de France, renforce son équipe d’hygiène et recrute un.e infirmier.e hygiéniste.

Pour découvrir le poste, les avantages à travailler à l’IMM ou nous adresser votre candidature, rendez-vous sur notre espace Recrutement.

Notre équipe recrutement est à votre écoute : rhrecrutement@imm.fr

 

Actualités

Simulation d’arrêt cardiaque dans le service d’Orthopédie

A l’Institut Mutualiste Montsouris, la sécurité des patients est une priorité absolue. Cela implique une vigilance constante et une préparation continue des équipes pour faire face à toute situation d’urgence vitale imprévue, telle qu’un arrêt cardiaque. C’est pourquoi la formation et la révision régulière des procédures d’urgence sont essentielles pour garantir que nos professionnels de santé sont toujours prêts à intervenir avec efficacité et rapidité.

 

Plusieurs mois de préparation

Récemment, le service d’Orthopédie a organisé, en collaboration avec le service de Réanimation, un exercice de simulation d’arrêt cardiaque. Cette initiative, qui a fait l’objet d’une préparation minutieuse, a mobilisé de nombreux professionnels de santé.

L’exercice s’est déroulé en trois étapes :

  1. Un cours théorique : Un rappel des fondamentaux de la réanimation cardio-pulmonaire et des protocoles d’urgence.
  2. Un entraînement pratique : Une familiarisation approfondie avec le matériel et les gestes techniques sur un mannequin de secourisme.
  3. La simulation : Une mise en situation dans les conditions du réel.

 

Le jour de la simulation

Le jour J, la simulation s’est déroulée en trois phases distinctes :

1. Le briefing 

Avant de lancer la simulation, un rappel du scénario, des rôles de chacun, des objectifs et des actions à mener a été effectué.

Briefing - Première étape de la simulation d'arrêt cardiaque en orthopédie

 

 

2. La simulation :

Les participants à l’exercice ont été mis en situation dans des conditions proches de la réalité, in situ, dans une chambre d’orthopédie. Le patient était un mannequin de haute technologie, capable de simuler des paramètres vitaux, d’être intubé et d’être perfusé. Ce matériel de pointe offre un réalisme saisissant et est un atout précieux pour la formation. Chaque geste et chaque décision ont été effectués comme en situation réelle, et l’intégralité de la simulation a été filmée pour une analyse ultérieure approfondie.

 

Exercice de simulation d'arrêt cardiaque en cours à l'Institut Mutualiste Montsouris

 

 

3. Le débriefing :

En visionnant à chaud la vidéo de la simulation, les participants ont pu commenter les points forts de l’intervention et identifier les axes d’amélioration, dans une démarche constructive et bienveillante.

 

Simulation à l'IMM debriefing à chaud

 

 

Des retours unanimes

Les retours des participants ont été unanimement positifs. Tous ont souligné le caractère « très formateur » de cette expérience, mettant en avant la pertinence du scénario, l’efficacité de la méthodologie et l’utilité de cette formation. Cette simulation n’est pas seulement un exercice ; c’est un engagement envers l’excellence, la préparation et la capacité de nos équipes à faire face à l’imprévu. Ces exercices sont également essentiels pour renforcer la cohésion des équipes.

Des simulations de situations d’urgence sont régulièrement organisées à l’IMM : la maternité propose ce type d’exercice tous les quatre mois, la cardiologie structurelle au bloc interventionnel, et de nouvelles simulations sont déjà envisagées dans d’autres services.

 

Equipes d'orthopédie et de réanimation de l'IMM après la simulation d'arrêt cardiaque

 

 

 

Actualités

Podcast : nouvel épisode de Radio Truche

Nous avons le plaisir de vous annoncer que le 8ème épisode de Radio Truche est en ligne !

Pour celles et ceux qui découvrent cette belle initiative, Radio Truche est une émission de radio unique en son genre, entièrement pensée et animée par les adolescents hospitalisés (en temps plein ou en hôpital de jour) dans le service de psychiatrie de l’Institut Mutualiste Montsouris.

Radio Truche est devenue une véritable plateforme d’expression pour nos jeunes patients. Le 1er podscast a vu le jour en mars 2022 sous l’impulsion du Dr Votadoro et de l’équipe soignante de l’unité d’hospitalisation de soins institutionnels (au 2nd). Avec l’aide des équipes soignantes et de professionnels de la radio, les jeunes patients conçoivent chaque épisode pour partager leurs goûts musicaux, leurs passions cinématographiques, interviewer les soignants qui les accompagnent au jour le jour et, plus simplement, nous ouvrir les portes de leur quotidien au sein de l’unité d’hospitalisation. Chaque épisode mobilise entre 10 et 20 patients, en plus des professionnels de santé : un véritable travail d’équipe !

 

Comment se fabrique un épisode de Radio Truche ?

La création d’un épisode se fait en plusieurs étapes étalées dans le temps :

  1. Découverte et intérêt : On en parle d’abord dans les réunions faites avec les patients, en plus des affiches qui permettent aux patients et aux parents qui ne le connaissent pas encore de découvrir le podcast.
  2. Préparation avec l’équipe de radio (anciens de Radio Nova) : Les thèmes et la date d’enregistrement du « plateau » sont choisis.
  3. Réunions de préparation : Plusieurs ateliers sont organisés avec les patients pour leur présenter le projet, dont une réunion avec les professionnels de la radio l’occasion pour eux de découvrir les métiers de la radio !
  4. Implication des soignants : Les équipes de soins (infirmier.es, internes, aides-soignant.es…) accompagnent les jeunes dans l’écriture et la préparation des chroniques, interviews, etc.
  5. Enregistrement des chroniques & interviews : Les participants enregistrent les séquences qui seront intégrées à l’émission.
  6. Le plateau : Tous les participants se réunissent pour l’enregistrement final en direct et en public avec l’ingénieur du son de Radio Sonic
  7. Validation et diffusion : Après accord des jeunes et de leurs familles sur la mise en ligne de manière anonyme, l’épisode est diffusé sur les plateformes d’écoute (Spotify et Deezer) !

La réalisation de chaque épisode est donc un travail collectif qui demande l’implication de très nombreux participants pendant plusieurs semaines !

 

Dans ce nouvel épisode, préparez-vous à découvrir entre autres :

  • Les coups de cœur musicaux et littéraires de nos jeunes animateurs
  • Plusieurs chroniques sur : le métro, le lycée, les bruits de bouche, les chaussettes disparues…
  • L’interview de Maria Baldaccini, médiatrice animale
  • De la musique live (piano / chant) et de la poésie
  • Un reportage sur Music Care
  • Et surtout, beaucoup d’humour !

 

Radio Truche, c’est bien plus qu’un simple podcast :

  • C’est un trait d’union essentiel avec le monde extérieur, qui renforce les liens au-delà des murs de l’hôpital.
  • C’est une manière de redonner à ces jeunes leur place d’adolescent, en les sortant de leur statut de patient.
  • C’est un espace de partage d’expériences, qui permet de mieux comprendre leur quotidien, leurs goûts…
  • C’est une initiative qui inverse la relation soignant-soigné, favorisant un échange plus horizontal et enrichissant.
  • C’est une opportunité pour ces jeunes de s’exprimer librement, de montrer leurs talents, leur créativité, de renforcer leur confiance en eux et de faciliter le lien social.
  • C’est aussi une chance pour les parents, les soignants de découvrir une autre facette des patients, au-delà des soins.
  • C’est enfin un outil puissant pour déstigmatiser l’hospitalisation en pédopsychiatrie.

Nous sommes très fiers de cette initiative portée par nos jeunes et notre équipe. Le succès des sept premiers épisodes témoigne de l’impact positif de ce projet. Nous tenons à remercier chaleureusement les équipes de radio (S. Marchand, S. Arditti, M. Williams, J. Klienfinger) ainsi que Sonique pour leur accompagnement et leur soutien technique.

 

Ne manquez pas le 8ème épisode de Radio Truche !

Vous pouvez l’écouter dès maintenant sur Spotify : écouter l’épisode

N’hésitez pas à partager ce podcast autour de vous pour faire entendre la voix de ces jeunes et soutenir cette magnifique initiative.

Bonne écoute !

Actualités

L’IMM ouvre 6 nouveaux lits d’hospitalisation en gériatrie

Afin de répondre aux besoins spécifiques des patients les plus âgés, de plus en plus nombreux, l’Institut Mutualiste Montsouris, hôpital privé à but non lucratif situé dans le 14ème arrondissement à Paris, développe depuis 2020 une activité de gériatrie. Après l’ouverture à l’automne 2023 de deux premiers lits d’hospitalisation, l’unité vient d’ouvrir 6 lits supplémentaires.

Pour le Dr Joséphine Massias, gériatre en charge de cette unité, l’augmentation du nombre de lits en gériatrie était une nécessité : « il est indispensable, pour un établissement de santé de l’envergure de l’IMM, de pouvoir offrir une prise en charge adaptée aux patients âgés. Ils bénéficient d’un accompagnement spécifique, centré sur les problématiques liées au vieillissement et en tenant compte d’éventuelles fragilités, étayé par un plateau technique de pointe avec la présence d’anesthésistes-réanimateurs, et de nombreuses spécialités médicales et chirurgicales. Notre approche est pluridisciplinaire, approfondie et entièrement centrée sur le patient âgé et ses besoins ».

 

Une offre de soins complète en gériatrie

 

Quatre modes de prise en charge sont proposés selon l’état de santé du patient, les évaluations à réaliser et l’urgence de la situation :

  • La consultation: pour établir des bilans gériatriques variés (bilan de chute / dépistage et orientation dans un contexte de troubles cognitifs…)
  • L’hospitalisation de jour pour les bilans plus complexes
  • L’hospitalisation programmée de semaine pour les patients âgés devant subir une intervention chirurgicale orthopédique, gynécologique, vasculaire, cardiaque, digestive, etc.
  • L’hospitalisation non programmée pour les décompensations aiguës des patients fragiles

 

Dans le cadre de la prise en charge, l’Institut Mutualiste Montsouris propose un accompagnement péri-opératoire gériatrique. L’originalité de notre approche réside dans l’hospitalisation du patient au sein du service de gériatrie (et non dans le service de chirurgie) où notre équipe assure une prise en charge globale avant et après l’opération, en étroite collaboration avec le chirurgien référent. Cette approche, centrée sur les besoins nutritionnels, cognitifs et psychologiques du patient, s’avère particulièrement bénéfique par rapport à une hospitalisation classique en service de chirurgie pour les personnes âgées dont les besoins sont spécifiques.

 

Motifs de prise en charge des patients âgés

 

L’Institut Mutualiste Montsouris accueille des patients âgés lors de séjours programmés ou non, afin de réaliser une prise en charge globale et approfondie centrée sur le patient, sans aucun dépassement d’honoraires.

Les indications sont variées :

  • Exploration d’un syndrome gériatrique : perte d’autonomie, altération de l’état général…
  • Prise en charge d’une décompensation d’une pathologie chronique: diabète, insuffisance rénale…
  • Bilan de chutes et troubles de la marche
  • Réévaluation des thérapeutiques en cours
  • Evaluation et prise en charge d’une douleur chronique
  • Bilan et exploration d’une anomalie biologique: anémie, syndrome inflammatoire…

A l’issue de ces évaluations, l’équipe médicale établit un projet de soins personnalisé afin d’optimiser la prise en charge des maladies chroniques, la qualité de vie du patient et l’accompagnement des aidants.

 

Les patients accueillis dans l’unité de gériatrie de l’IMM

 

L’unité de gériatrie de l’Institut Mutualiste Montsouris accueille des personnes âgées de plus de 75 ans et présentant au moins un critère de fragilité :

  • Comorbidités lourdes
  • Troubles de la marche
  • Dénutrition
  • Troubles neurocognitifs
  • Polymédication
  • Autonomie altérée
  • Contexte social précaire

 

Nous assurons l’hospitalisation des patients âgés présentant des pathologies aiguës. Ces admissions peuvent se faire via les services d’accueil des urgences des hôpitaux de proximité ou sur demande de professionnels de santé (médecins généralistes, gériatres correspondants).

Notre objectif est d’offrir à chaque patient âgé une prise en charge individualisée, experte et bienveillante, favorisant leur bien-être et leur rétablissement.

 

Une équipe pluridisciplinaire au service des patients âgés

 

L’unité de gériatrie de l’IMM est intégrée au Département de Médecine Interne, avec des spécialités médicales variées (diabétologie, infectiologie, rhumatologie, etc.) permettant une prise en charge globale et multidisciplinaire, centrée sur le patient et sa qualité de vie.

L’équipe de l’unité de gériatrie regroupe :

  • 2 gériatres
  • 1 diététicien.ne
  • 1 Infirmière Diplômée d’Etat (IDE) en diabétologie
  • 1 kinésithérapeute
  • 1 assistant.e social.e
  • 1 équipe douleur
  • Des infirmier.es
  • Des aides-soignant.es

 

Contacter unité de gériatrie de l’IMM

 

Vous souhaitez prendre rendez-vous ou nous adresser un patient ?

  • Par téléphone (9h-17h) : 01 56 61 67 70
  • Par mail : medecine@imm.fr
  • Par Doctolib : choisir « Spécialiste en médecine interne » puis « Gériatrie »

 

Actualités

Communication officielle : Clôture de la phase de dépôt des candidatures à la reprise

[Paris, 16 mai 2025] – L’Institut Mutualiste Montsouris informe de l’expiration, ce vendredi 16 mai à midi, du délai imparti pour le dépôt des candidatures pour la reprise de l’IMM dans le cadre de la procédure de redressement judiciaire ouverte le 3 février dernier.

5 marques d’intérêts ont été officiellement déposées dans les délais impartis. Les entités candidates sont :

  • Foch Santé International ;
  • Fondation Hôpital Saint Joseph ;
  • Monsieur Michel Bodkier et Monsieur Mikaël Kaufman ;
  • Société Prudentia Capital ;
  • Groupe Sarah Santé.

Ces dossiers vont à présent être examinés par les administrateurs judiciaires pour évaluer la solidité et la pérennité des propositions, leurs aspects financiers, leurs projets médicaux et leurs engagements en matière sociale. Une phase d’échanges entre les candidats à la reprise et les administrateurs judiciaires permettra d’affiner et de préciser les offres. Les parties prenantes (représentants des salariés, ARS…) seront également consultées.

A l’issue de cette phase d’examen et de consultations, les administrateurs judiciaires rédigeront un rapport comparant les différentes offres et formulant une recommandation sur celle qui leur semble la plus pertinente. Le Tribunal des Affaires Economiques de Paris, après avoir entendu les différents acteurs et examiné attentivement le rapport des administrateurs judiciaires, rendra sa décision.

Le calendrier précis des prochaines étapes de la procédure n’a pas encore été fixé et sera communiqué en temps voulu par les administrateurs judiciaires et le Tribunal des Affaires Economiques de Paris

L’Institut Mutualiste Montsouris tient à souligner son engagement à assurer la plus grande transparence tout au long de cette procédure. Les salariés et leurs représentants continuent à être informés de manière régulière et détaillée de l’avancement du processus et des décisions prises.

Tous les services sont et resteront pleinement opérationnels : tous les soins, consultations, hospitalisations, interventions… sont assurés avec les mêmes garanties d’excellence et de sécurité.

 

Contact presse :

Madeleine de Place – communication@imm.fr – 01 56 61 63 56

Actualités

Femme enceinte : les questions les plus posées en début de grossesse

L’annonce d’une grossesse est un moment unique, souvent rempli d’émotions. Mais très vite, la future maman peut se sentir submergée par un flot de questions : comment savoir si tout se passe bien ? Qu’ai-je le droit de faire ? De manger ?

Pas de panique !  A l’Institut Mutualiste Montsouris, maternité de niveau 1 située dans le 14ème arrondissement de Paris, nous comprenons vos préoccupations. C’est pourquoi nous avons compilé les questions les plus fréquemment posées à nos sages-femmes, médecins et gynécologues lors de la première consultation de grossesse, pour vous apporter des réponses claires et vous aider à aborder sereinement cette grossesse.

 

Quoi manger pendant la grossesse ?

 

Pendant la grossesse, il est évidemment recommandé de manger équilibré et de limiter les apports en sucre (notamment les sodas et les jus de fruits).

Certains aliments peuvent présenter des risques d’infections pour vous et votre bébé et doivent être évités :

  • La viande et le poisson crus ou peu cuits : steak tartare, sushis, saumon fumé…
  • La charcuterie non cuite : pâté, rillettes, etc.
  • Les fromages au lait cru.
  • Les œufs crus ou peu cuits (et les préparations qui en contiennent, comme la mayonnaise maison, le tiramisu maison ou encore l’île flottante).
  • Les graines germées, telles que le soja.

Si vous n’êtes pas immunisée contre la toxoplasmose, veillez à bien laver les fruits et les légumes.

Enfin, évitez toute consommation d’alcool.

 

Faut-il prendre des compléments alimentaires quand on est enceinte ?

 

Si votre alimentation est équilibrée et que vous ne présentez pas de carences particulières mises en évidence par des examens, les compléments alimentaires ne sont pas nécessaires.

Pendant la grossesse, la prise de compléments alimentaires se fait sur prescription médicale. Le fer, par exemple, est prescrit en fonction de votre bilan sanguin : une supplémentation n’est utile qu’en cas de carence avérée.

Les vitamines de grossesse sont en ventes libres en pharmacie, mais ne sont pas remboursées par la Sécurité Sociale. Leur nécessité est évaluée par votre médecin ou votre sage-femme en fonction de vos besoins spécifiques.

 

Peut-on faire du sport pendant la grossesse ?

 

Oui, une activité physique adaptée est bénéfique (et même conseillée !) pour la maman et le bébé : elle permet de gérer le poids, de réduire certains maux, d’assurer un meilleur sommeil…

Il est toutefois recommandé de privilégier les activités douces (telles que la marche, la natation, le yoga prénatal, le Pilates adapté, le vélo d’appartement…) et d’éviter les sports à risque de chute ou de choc (ski, boxe, karaté, surf, VTT, escalade, roller…).

Dans tous les cas, hydratez-vous bien, adaptez l’intensité et écoutez votre corps : en cas de fatigue, douleur ou saignements, arrêtez et parlez-en à votre sage-femme ou votre médecin.

 

Maternité Paris 14 Institut Mutualiste Montsouris

 

Quels sont les vaccins recommandés pendant la grossesse ?

 

La vaccination pendant la grossesse est une question importante pour protéger à la fois la future maman et son bébé. En général, plusieurs vaccins sont recommandés :

  • Coqueluche : La vaccination contre la coqueluche est prescrite pendant la grossesse. Elle permet de protéger le nouveau-né, qui est particulièrement vulnérable à cette infection grave, pendant les premiers mois de sa vie, avant qu’il puisse être vacciné lui-même. La vaccination de l’entourage est également conseillée.
  • Grippe : La vaccination contre la grippe est fortement recommandée pendant la période hivernale, car cette maladie peut entraîner des complications sérieuses chez la femme enceinte et le nourrisson.
  • Bronchiolite (due au Virus Respiratoire Syncytial – VRS) : Il existe deux stratégies pour protéger le bébé contre la bronchiolite (entre septembre et mars selon la stratégie choisie) : soit la vaccination de la mère pendant la grossesse, soit l’administration d’un anticorps monoclonal directement au bébé après la naissance. La stratégie recommandée peut varier en fonction du contexte épidémiologique et des recommandations médicales.
  • COVID-19 : La vaccination contre le COVID-19 est recommandée pendant la grossesse et n’est pas contre-indiquée, quel que soit le trimestre. Elle permet de réduire le risque de formes graves de la maladie chez la mère. Les rappels sont également importants et doivent être discutés avec votre professionnel de santé.

Votre médecin ou votre sage-femme seront les meilleurs interlocuteurs pour vous informer précisément sur le calendrier vaccinal recommandé en fonction de votre situation personnelle et du contexte épidémiologique actuel. N’hésitez pas à leur poser toutes vos questions !

 

Peut-on avoir des rapports sexuels pendant la grossesse ?

 

Sauf contre-indication médicale spécifique, avoir des relations sexuelles pendant la grossesse est sans danger pour la maman et le bébé. Le bébé est bien protégé, et avoir un orgasme ne risque pas de provoquer l’accouchement.

Quelques ajustements peuvent être nécessaires pour plus de confort : au fur et à mesure que la grossesse progresse, certaines positions peuvent devenir moins confortables. N’hésitez pas à explorer de nouvelles positions qui vous conviennent mieux, en privilégiant celles où la pression sur le ventre est minimale.

Dans certains cas, il est toutefois préférable de demander conseil à votre sage-femme ou votre médecin : saignements, douleurs, antécédents de complications, placenta prævia, rupture des membranes, IST non traitée, grossesse multiple compliquée…

 

Quand faut-il consulter en urgence quand on est enceinte ?

 

Pour la sécurité de votre grossesse, certains symptômes ne doivent pas être ignorés et nécessitent une consultation médicale sans délai :

  • Saignements vaginaux, même légers.
  • Perte de liquide par le vagin, qu’elle soit soudaine ou continue.
  • Une diminution notable ou l’absence de mouvements de votre bébé sur une période inhabituelle.
  • Des contractions utérines régulières et douloureuses avant le terme prévu.
  • Des symptômes d’infection urinaire comme des douleurs en urinant, une sensation de brûlure, ou de la fièvre et des douleurs dans le dos.
  • Une fièvre (température > 38°) qui ne baisse pas.
  • Et de manière générale, tout symptôme inhabituel ou une sensation que quelque chose ne va pas, qui vous inquiète fortement.

En cas de doute, contactez sans hésiter votre maternité ou le service d’urgence obstétricale. La prudence est toujours de mise !

 

Vous cherchez une maternité à Paris ?

 

Au sein de l’un des meilleurs hôpitaux de France, la maternité de l’Institut Mutualiste Montsouris accueille chaque année près de 2000 naissances. Avec un plateau technique de pointe et une équipe pluridisciplinaires complète (sages-femmes, pédiatres, anesthésistes, infirmier.es, aides-soignant.es médecins, chirurgiens…), elle accompagne les grossesses de toutes les femmes, y compris en situation de handicap, sans dépassement d’honoraires.

Pour plus de conseils, consulter notre article sur « Comment bien choisir sa maternité à Paris« .

Vous souhaitez en savoir plus ? Consultez le site de la maternité de l’IMM ou prenez rdv sur Doctolib !

 

Maternité Institut Mutualiste Montsouris Paris 14

 

Actualités

Réunions d’information – Maternité de l’IMM

Vous êtes inscrite à la maternité de l’Institut Médico-chirurgical Montsouris ? Nous sommes ravis de vous accompagner pour l’arrivée de votre bébé. Tous les mois, nous organisons une réunion d’information animée par une sage-femme pour vous présenter l’établissement et répondre à toutes vos questions.

 

Dates des prochaines réunions :

 

Pourquoi participer à la réunion d’information de la maternité ?

Participer à cette réunion est une excellente occasion pour les futures mamans suivies à l’IMM de :

  • Découvrir la maternité et ses espaces dédiés.
  • Mieux comprendre l’organisation de la maternité au sein de l’hôpital
  • Obtenir des informations détaillées sur la prise en charge de votre accouchement, que ce soit par voie basse ou par césarienne.
  • Découvrir le contenu de nos cours de préparation à la naissance et nos recommandations
  • Être informée sur la prise en charge à terme et les modalités de déclenchement si cela s’avère nécessaire.
  • Visualiser concrètement votre futur séjour dans notre maternité.
  • Préparer votre sortie et votre retour à la maison en toute sérénité.
  • Poser toutes vos questions directement à notre équipe de professionnels
  • Échanger avec d’autres futures mamans déjà inscrites comme vous.

 

 

Infos pratiques

 

⌛ 18h – 20h

📍 Institut Médico-chirurgical Montsouris – 42 bd Jourdan – 75014 Paris – Salle de conférence

🔔 Réunion réservée aux patientes déjà inscrites à la maternité, accompagnées du coparent.

Actualités

Innovation : l’équipe de cardiologie interventionnelle de l’IMM parmi les premières à implanter une nouvelle génération de valve cardiaque !

Début mars 2025, l’équipe de cardiologie interventionnelle de l’Institut Mutualiste Montsouris a réalisé avec succès l’une des toutes premières implantations en France d’une nouvelle évolution d’une valve cardiaque sur un homme de 69 ans présentant un risque coronaire important. Une avancée technologique et médicale qui offre de nouvelles perspectives pour les patients jeunes atteints de rétrécissement valvulaire aortique.

 

TAVI - Pose de la nouvelle valve par les Dr Caussin et Veaugeois

Pose de la valve par les Dr Caussin et Veugeois

 

Une nouvelle évolution d’une valve TAVI

Lors d’un TAVI (Transcatheter Aortic Valve Implantation), une procédure consistant à implanter une valve aortique par voie percutanée, la valve cardiaque artificielle est conçue pour être placée délicatement dans le cœur sans avoir besoin d’une chirurgie à cœur ouvert. Guidé par des images radiologiques, le cardiologue insère la valve via un vaisseau sanguin, et la positionne avec précision à l’endroit de la valve malade.

 

La valve nouvelle génération avant son implantation par voie percutanée

La valve nouvelle génération avant son implantation par voie percutanée

 

Cette valve nouvelle génération présente des caractéristiques très intéressantes. Sa maille plus large a été spécialement pensée pour laisser de l’espace au niveau des artères coronaires, les vaisseaux qui nourrissent le cœur. L’objectif est de s’assurer que l’accès reste facile au cas où le patient aurait besoin d’interventions sur ces artères dans le futur (comme la pose de stents).

De plus, elle possède des marqueurs très précis qui aident le chirurgien à l’orienter parfaitement lors de l’implantation. Grâce à une planification minutieuse à partir d’images scanner du cœur du patient, l’équipe chirurgicale peut choisir l’angle de vue idéal pour un positionnement optimal. Cette nouvelle version de la valve a également un « trou » plus large, ce qui facilite encore plus l’alignement avec les artères coronaires.

Fabriquée à partir d’un alliage à mémoire de forme, la valve nouvelle génération se comprime lorsqu’elle est refroidie. Elle peut ainsi être facilement insérée à l’aide d’une canule. Une fois en place et réchauffée par la température du corps, elle reprend sa forme et s’adapte parfaitement à l’anneau de la valve du patient.

 

TAVI La valve parfaitement adaptée à l’anneau du patient

La valve parfaitement adaptée à l’anneau du patient

 

Un espoir pour les patients

Cette première implantation à l’IMM – l’une des premières en France –  est une étape importante pour les patients présentant des risques coronaires. Cette nouvelle valve devrait être remboursée d’ici quelques mois, ce qui permettra à davantage de patients de bénéficier de cette technologie de pointe.

Nous félicitons toute l’équipe de cardiologie, et en particulier les Docteurs Christophe Caussin et Aurélie Veugeois, pour cette réalisation remarquable qui témoigne de notre engagement constant envers l’innovation et le bien-être des patients.

 

Actualités

Découvrez l’unité de chirurgie carotidienne de l’IMM

La carotide est l’une des principales artères du cou qui apportent du sang au cerveau. En cas de rétrécissement, elle peut être responsable d’AVC.

La sténose athéromateuse de la carotide est une pathologie fréquente mais souvent méconnue, dont les conséquences peuvent être très graves. Heureusement, des solutions – notamment chirurgicales – existent.

Dans cette vidéo, le Dr. Caroline Goulfier, chirurgien vasculaire à l’IMM, nous ouvre les portes de l’unité de chirurgie carotidienne de l’Institut Mutualiste Montsouris. Vous y découvrirez toutes les étapes de la prise en charge des patients.

 

 

L’unité, qui figure cette année en 1ère position du classement du magazine Le Point pour la chirurgie de la carotide, est reconnue pour :

  • Des protocoles mis au point et optimisés depuis plus de 30 ans.
  • Une chirurgie délicate rendue mini-invasive pour un confort maximal du patient.
  • Une équipe expérimentée et à l’écoute, au service du patient et de ses proches.

 

Vous souhaitez prendre rdv avec le département de chirurgie vasculaire ? Prenez rdv sur Doctolib ou contactez le secrétariat par mail (secretariat.vasculaire@imm.fr) ou par téléphone : 01.56.61.67.01.

Actualités

Interview : Marie, infirmière RAAC à l’Institut Mutualiste Montsouris

Marie Samsoen est infirmière spécialisée en Réhabilitation Améliorée Autour de la Chirurgie (RAAC) à l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) depuis 2022. Au sein du Département de chirurgie thoracique, elle accompagne les malades avant, pendant et après leur chirurgie. Aujourd’hui, elle nous en dit plus sur la RAAC, sur son rôle et sur les effets bénéfiques de cette approche pour les patients.

 

Qu’est-ce que la RAAC ?

 

La Réhabilitation Améliorée Autour de la Chirurgie est une approche globale de la prise en charge du patient avant, pendant et après une intervention chirurgicale. L’objectif principal est d’optimiser sa récupération, de réduire les complications post-opératoires, la douleur et la durée de son séjour à l’hôpital. Une alliance thérapeutique se crée avec le patient, pour l’accompagner vers l’autonomie et la bonne gestion de la douleur.

 

Comment se passe cet accompagnement du patient ?

 

Quand je rencontre un patient pour la première fois, je lui dis parfois que je vais être sa « meilleure amie pour 1 mois ». Il y a une alliance thérapeutique qui se crée dès le départ avec le patient, et nous avons un lien très privilégié. Concrètement, je vois le patient 10 jours avant son intervention pour lui détailler tout le déroulement de la procédure. Je lui explique comment se préparer à la chirurgie. Je compare souvent les patients à des sportifs avant une compétition : la préparation est un facteur déterminant pour réussir au mieux le jour J et récupérer dans de bonnes conditions ! Je l’appelle ensuite 2 jours avant l’opération pour m’assurer qu’il a bien compris les consignes et répondre à ses questions, puis tous les jours pendant son séjour à l’IMM. Nous échangeons ensuite par téléphone le 3ème et le 10ème jour après sa sortie de l’hôpital, pour réadapter les traitements si nécessaire, évaluer la cicatrisation, et s’assurer qu’il retrouve son autonomie.

 

Quels conseils donnez-vous aux patients pour bien se préparer à une opération ?

Je les incite à marcher une heure par jour, à faire de l’exercice, à prendre les escaliers dès que possible plutôt que l’ascenseur… Je leur donne aussi des conseils en nutrition, car une alimentation équilibrée est importante. Je leur demande d’arrêter de fumer et leur propose l’aide de nos addictologies si besoin. Je leur conseille également de faire 4 x 5 minutes de cohérence cardiaque par jour : cette pratique de respiration très simple vise à synchroniser le rythme cardiaque avec la respiration. En régulant le nerf vague, la cohérence cardiaque induit un état de bien-être qui favorise une meilleure récupération. Enfin, je propose un exercice hypnotique, qui accompagnera l’endormissement lors de l’anesthésie

 

Quels sont les bénéfices de la RAAC pour les patients ?

En optimisant leur condition physique et psychologique avant l’intervention, la RAAC permet une récupération post-opératoire plus rapide et efficace. Les patients RAAC sont plus détendus en arrivant au bloc, ce qui favorise l’anesthésie. Après l’opération, ils ressentent généralement moins de douleur, nécessitent moins d’analgésiques et retrouvent plus rapidement leur autonomie. Ils sont plus dynamiques, déjà dans la guérison : c’est pour cela qu’on leur conseille de s’habiller le plus rapidement possible avec leurs vêtements habituels, plutôt que de rester en blouse d’hôpital.

Cette approche globale favorise une mobilisation précoce, une reprise plus rapide de l’alimentation et une diminution significative de la durée du séjour à l’hôpital. Sur le plan psychologique, l’implication active du patient dans sa préparation et sa récupération renforce son sentiment de contrôle et contribue à une meilleure expérience globale de la chirurgie.

 

Quelles sont les qualités nécessaires pour être infirmière RAAC ?

L’écoute est primordiale, ainsi que la disponibilité. Il faut croire profondément en ce que l’on fait pour pouvoir transmettre cette conviction aux patients. Il faut savoir créer des moments positifs, allumer des « lumières » dans leur parcours. J’ai fait 27 ans de bloc opératoire, ça me donne une légitimité auprès des patients. Je peux répondre à leurs questions sur le déroulement de l’opération, l’anesthésie. Cela crée un lien de confiance supplémentaire. Et puis, je sais aussi qu’il est important de parler d’autre chose que de la maladie. Etre infirmière RAAC, ce n’est pas être uniquement soignante : c’est aussi savoir mettre de l’humour, tout en restant professionnelle. Garder le lien avec la famille et les aidants est également crucial. Enfin, il faut savoir travailler en équipe. La RAAC implique les secrétaires, les kinésithérapeutes, l’équipe médicale et paramédicale : c’est avant tout un travail collectif !

 

Vous êtes un.e infirmier.e passionné.e par l’accompagnement personnalisé des patients ? Vous croyez en l’importance de l’éducation thérapeutique ? Vous souhaitez jouer un rôle clé dans leur parcours de guérison ? Rejoignez-nous !

Actualités

Vigilance fraude

Nous avons été informés que des personnes contactent certains de nos patients par téléphone ou via WhatsApp en prétextant collecter de l’argent au profit de l’Institut Mutualiste Montsouris.

Ces sollicitations sont frauduleuses : l’IMM ne demande jamais d’argent par téléphone ni via des applications de messagerie comme WhatsApp.

Les seuls moyens officiels de faire un don à notre hôpital sont :
• Directement sur notre site internet, via la page de dons 100% sécurisée
• Par chèque à l’ordre de « Fonds de Dotation Montsouris »
• En utilisant les formulaires de dons remis à l’IMM

Nous vous confirmons que nous ne transmettons jamais vos données personnelles à des tiers : nous vous invitons donc à faire preuve de la plus grande vigilance quand vous communiquez vos informations personnelles (n° de téléphone, email, etc.).

Si vous avez le moindre doute sur un appel à don qui vous est adressé au nom de l’IMM, n’hésitez pas à contacter la ligne dédiée : 01.56.61.65.71.

Actualités

Comment bien choisir sa maternité à Paris ?

Choisir une maternité est une étape importante dans l’aventure de la parentalité. A Paris, les maternités sont nombreuses : face à la diversité des établissements, des niveaux de prise en charge et des philosophies d’accompagnement, il est essentiel de vous informer et de définir vos priorités pour faire le meilleur choix pour vous et votre enfant. Que vous privilégiiez la proximité, l’expertise d’une équipe, un accompagnement spécifique pour votre projet de naissance, ou l’accessibilité financière offerte par le secteur 1, voici quelques conseils pour naviguer dans l’offre parisienne et trouver la maternité qui répondra à vos besoins pour accueillir votre bébé dans les meilleures conditions.

 

Le niveau de la maternité : 1, 2 ou 3 ?

En France, les maternités sont classées par niveau selon les types de soins qu’elles sont en mesure de proposer aux femmes enceintes et aux nouveau-nés. Il existe trois niveaux principaux :
• Niveau 1 : Pour les grossesses sans complications particulières, qui représentent la majorité des grossesses.
• Niveau 2 : Avec une unité de néonatologie pour les bébés nécessitant une surveillance spécifique.
• Niveau 3 : Disposant une unité de soins intensifs néonatals et prenant en charge les grossesses à haut risque et les naissances prématurées.

La maternité de l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) est classée au niveau 1B : elle est habilitée à accompagner les grossesses ne présentant pas de risque particulier et la prise en charge des nouveau-nés dès 35 semaines de grossesse. Au sein de l’un des meilleurs hôpitaux de France, la maternité de l’IMM bénéficie d’un plateau technique de pointe, d’un service de réanimation et d’équipes médicales et chirurgicales reconnues, permettant ainsi de faire face à toutes les situations d’urgence.

 

La proximité géographique de la maternité

La facilité d’accès à votre maternité est un élément important à prendre en considération. Tout au long de votre grossesse, vous serez amenée à vous rendre régulièrement à la maternité, que ce soit pour vos différents examens de suivi de grossesse, votre préparation à l’accouchement ou en cas d’urgence. Il est donc essentiel de choisir une maternité proche de chez vous, facilement accessible.

La maternité de l’IMM est située dans le 14ème arrondissement de Paris, à deux pas du parc Montsouris : très bien desservie en transports commun et à proximité des portes de Paris, elle est facilement accessible pour les futures mamans vivant à Paris, mais également dans les villes proches telles que Montrouge, Issy les Moulineaux, Vanves, Malakoff, Gentilly, Arcueil, Villejuif, Bagneux, Chatillon, etc.

 

Votre projet de naissance

Le choix de votre maternité dépendra également de votre projet de naissance. Il est donc essentiel de vous interroger sur ce que vous voulez :
• Souhaitez-vous un accouchement physiologique, avec peu d’interventions médicales, ou un accouchement médicalisé ?
• Êtes-vous intéressée par des méthodes de gestion de la douleur spécifiques (sophrologie, hypnose, etc.) ?
• Quelle est votre position concernant la péridurale, l’épisiotomie ou la césarienne ?
• Souhaitez-vous rester à la maternité ou, au contraire, rentrer rapidement chez vous ?
• Etc.

Notre conseil : renseignez-vous sur l’offre de soins des différentes maternités parisiennes, afin de trouver celle qui saura vous convenir.

A l’IMM, nous mettons tout en œuvre pour offrir aux futures mamans un accompagnement sur mesure, adapté à leurs besoins et à leurs envies. Nous proposons, entre autres :

• La péridurale déambulatoire : Depuis 3 ans, l’Institut Mutualiste Montsouris fait partie des rares maternités à offrir cette possibilité aux femmes enceintes. La future maman maitrise totalement le dosage de sa péridurale : elle ajuste elle-même la dose, jusqu’à être soulagée comme elle le souhaite, tout en gardant la possibilité de se déplacer, ce qui lui permet de marcher, d’aller aux toilettes, d’utiliser un ballon de grossesse, de changer de position…
• La Happy césarienne : Nous proposons aux futurs parents 5 étapes pour leur permettre de vivre pleinement la naissance de leur enfant, même en cas de césarienne : une détente musicale, l’abaissement des champs opératoires au moment de la naissance, la section du cordon par le/la conjoint(e), le peau-à-peau dès le bloc opératoire, et un contact en visio pour ne rien rater des premiers soins du bébé.
• L’accouchement en ambulatoire : Les jeunes mamans qui le souhaitent peuvent sortir de la maternité moins de 24 heures après leur accouchement. L’accouchement en ambulatoire est parfaitement préparé et encadré, garantissant la sécurité de la mère et de son bébé : c’est une alternative sécurisée à l’accouchement à domicile.

Maternité Paris 14 Institut Mutualiste Montsouris

 

L’équipe médicale de la maternité

L’expertise de l’équipe médicale qui vous accompagnera pendant votre grossesse et votre accouchement est un critère essentiel pour bien choisir sa maternité à Paris. Renseignez-vous sur la présence et la disponibilité d’obstétriciens, de sages-femmes, de médecins anesthésistes et de pédiatres. Une équipe pluridisciplinaire et coordonnée, capable de répondre à toutes les éventualités et de soutenir votre projet de naissance, est un gage de sérénité pour accueillir votre bébé dans les meilleures conditions.

A l’IMM, notre équipe pluridisciplinaire vous offre un accompagnement personnalisé et bienveillant, dans une structure à taille humaine, qui travaille dans le respect des recommandations actuelles pour le suivi des grossesses. Tout est mis en œuvre pour que cette expérience se déroule dans les meilleures conditions. Dans un souci d’amélioration continue, nous organisons plusieurs fois par an des simulations d’accouchements dans des situations d’urgence, afin de parer à toutes les éventualités. En 2024, la maternité de l’IMM figurait au classement Le Point des 500 meilleurs hôpitaux de France : une belle reconnaissance du savoir-faire de nos équipes.

 

Les services et équipements de la maternité

Au-delà de l’équipe médicale, les services et équipements d’une maternité à Paris sont des éléments à prendre en compte dans votre choix. Des cours de préparation à l’accouchement sont-ils proposés ? Comment sont les chambres ? Comment sont équipées les salles de travail et d’accouchement ? Vous trouverez toute les informations sur les sites Internet des maternités parisiennes.

La maternité de l’Institut Mutualiste Montsouris offre un cadre entièrement pensé pour le bien-être de la mère et du bébé. Lors de votre grossesse, nous vous proposons des cours de préparation à l’accouchement, des réunions d’informations mensuelles, des séances d’acupuncture pour soulager les « petits maux » de la grossesse et préparer la naissance, un accompagnement par une diététicienne, des échanges avec un psychologue si vous le souhaitez… Tous vos examens de suivi de grossesse (prises de sang, échographies, etc.) peuvent être réalisés dans notre laboratoire, au sein de l’hôpital.

Nous disposons de salles de pré-travail équipées d’une baignoire, et de ballons pour vous aider à gérer vos contractions tout au long du travail.

Le service de suites de couche comprend 32 chambres (dont 28 chambres individuelles) : toutes ont été refaites à neuf, sont spacieuses, lumineuses et parfaitement équipées pour les premiers jours de votre bébé. Vous pouvez également réserver un lit accompagnant pour le co-parent.

A noter : la maternité de l’IMM est l’une des rares à proposer un accompagnement personnalisé et une chambre entièrement équipée pour les personnes en situation de handicap.

 

Secteur (privé / public) et coût d’une maternité à Paris

Les maternités du secteur public, comme celles qui sont à but non lucratif, offrent une prise en charge des frais d’accouchement généralement intégrale par l’Assurance Maladie, assurant une accessibilité financière pour tous. Les maternités privées peuvent proposer des prestations et un confort souvent considérés comme supérieurs, mais engendrent la plupart du temps des dépassements d’honoraires importants, dont le niveau et la prise en charge par votre mutuelle sont à vérifier attentivement.

Comprendre les implications financières de chaque secteur vous permettra de choisir une maternité à Paris en toute transparence et en accord avec votre budget.

L’Institut Mutualiste Montsouris est un établissement privé à but non lucratif : la maternité de l’IMM (secteur 1) offre donc le meilleur des soins à toutes, sans dépassement d’honoraires.

 

Accoucher à l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM)

Vous souhaitez en savoir plus sur la maternité de l’Institut Mutualiste Montsouris ? Retrouvez toutes les informations pratiques sur le site Internet de la maternité de l’IMM ou inscrivez-vous via Doctolib.

Maternité Institut Mutualiste Montsouris Paris 14

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Une possible pair-aidance en addictologie sur l’IMM ?

L’IMM est en train de mettre en place un programme de pair-aidance. Cette approche, qui consiste à mettre en relation des patients ayant des expériences similaires, s’avère très bénéfique pour améliorer le bien-être et l’accompagnement des malades.

Dans cet article, le Dr Gérard Shadili, psychiatre à l’IMM, nous explique ce qu’est la pair-aidance, et nous fait part de son retour d’expérience sur la mise en place d’un premier projet autour de la pair-aidance au sein du département de Psychiatrie.

 

Une possible pair-aidance en addictologie sur l’IMM ?

 

La pair-aidance, on en parle mais peu savent vraiment de quoi il retourne. C’est un lien entre patients, une relation horizontale entre les soignants et celui qui va être pair-aidant. Ce n’est pas une interchangeabilité des rôles de chacun, mais une complémentarité qui permet un mieux-être, une compréhension du vécu interne de celui qui traverse les affres de la maladie, ici l’addiction avec ou sans affection psychiatrique comorbide, oncologique, post-chirurgicale, etc.

C’est un soutien par son semblable, un alter ego qui est un égal, qui est passé sous les mêmes fourches caudines de l’addiction avec son cortège de comorbidités, stigmatisation du « toxico », accidents divers et angoisses de la rechute. C’est une personne qui a emprunté le même chemin ou proche que celui du patient. Il peut donc lui renvoyer du fait « qu’il s’en est sorti ou qu’il a avancé dans son parcours vers l’abstinence », une image que le rétablissement est accessible et non une chimère, l’horizon d’un champ des possibles.

Il est difficile d’en définir le ou les rôles avec précision, tant la fonction est polyvalente.

C’est à la fois une personne à qui l’on peut se confier, sans crainte d’être jugé, quelqu’un qui a un vécu similaire, une histoire proche, une même narrativité de vie, un vécu d’humanité souffrante et victorieuse de son adversité qui se partage.

Héritiers du concept de recovery apparu au milieu du XIXe siècle aux États-Unis dans le cadre de petits groupes d’anciens buveurs qui se réunissaient pour se soutenir dans leur démarche d’abstinence, la pair-aidance a permis un regard différent et empathique sur le vécu addictif.

Beaucoup d’études en addictologie ont démontré l’importance et la légitimité de la place du pair-aidant et son efficacité quant à la baisse de consommation chez les personnes dépendantes, le maintien de l’abstinence et l’émergence de vocations.

En effet retrouver un sens positif à sa vie, se reconstruire narcissiquement et pouvoir de nouveau se regarder dans une glace sans rougir, ni honte, représente une réalité personnelle bidirectionnelle, qui déborde largement le seul domaine l’empathie pour le semblable. Il faut donc aussi une formation à l’entre-aide, à l’écoute de l’autre, pour saisir les enjeux de l’altérité souffrante.

Notre première rencontre avec les pairs-aidants fut au centre de soins et d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA) du centre Emergence-Tolbiac dans le 13ème arrondissement, émanation de l’IMM. Nous avons alors échangé avec l’association des pairs-aidant de la Salpêtrière.

A l’adolescence, de nombreux changements conséquents surviennent, comme une transition importante sur le plan scolaire, les premières relations amoureuses avec les ruptures, le premier emploi, un désir d’autonomie grandissant, la maturation physique et cérébrale et donc de l’appréhension du monde, maturation qui se poursuit au-delà de l’adolescence.

De plus, la sensibilité et la vulnérabilité aux stresseurs, conduit à un risque accru de développer une problématique de santé mentale notamment addictive. L’adolescence est la période des expérimentations et de leurs risques inhérents.

L’adolescence est donc une période critique mais aussi une opportunité pour intervenir de façon précoce et efficace.

Les adolescents sont plus enclins à demander de l’aide informelle, c’est-à-dire offerte par les pairs, que par la famille du fait du travail de séparation/individuation ou que de l’aide formelle offerte par un professionnel.

Ces particularités énoncées de la période adolescente démontrent que la présence de pairs-aidants pourrait s’avérer pertinente mais complexe.

De là est venu dans un premier temps l’idée pour les addictions adolescentes de développer sur l’IMM un projet de rencontre avec des jeunes adultes passés par l’addiction et s’en étant rétablis, et des adolescents encore confrontés à la problématique. Cependant ce projet s’est heurté à des critères de faisabilité, nous amenant à le reconsidérer et travailler plus profondément sa réalisation future.

Nous avons donc dans les suites mis en place un groupe de parole pour les parents d’adolescents aux prises avec les addictions, et prévu à terme un groupe pour les adolescents addictifs.

Celui des parents est effectif et opérationnel depuis mars 2024.

Cependant, l’addictologie à l’IMM ne concerne pas que les adolescents et les adultes jeunes, et nous réalisons un travail de liaison important dans les services MCO. Envisager un programme de pair-aidance avec une composante d’aide pour les addictions serait un accompagnement positif dans le domaine de la comorbidité primaire ou secondaire addictive et serait une valeur ajoutée intéressante pour l’IMM, soit sous forme de groupe pairs-aidants et/ou une liaison de pairs-aidants dans les services MCO, en accord avec les différents chefs de service ou de département et la Commission Médicale d’Etablissement.

Voilà quelques idées d’action qui ont germé et qui soulignent l’intérêt de l’IMM pour la pair aidance.

Un groupe de travail sur la pair-aidance, groupe pluri professionnel avec des patients est en place et y travaille d’arrache-pied. Nul doute que cet apport nouveau trouvera sa place dans l’organisation des soins pour le mieux être en pré et post- hospitalisation des patients et le développement d’une autre culture du soins ou horizontalité des rapports rime avec partage.

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Information patients : Point sur la situation de l’IMM

 Chère patiente, Cher patient,

Vous avez peut-être lu dans la presse que l’IMM traversait une période difficile, et nous souhaitons aujourd’hui vous informer directement de la situation. Notre établissement a demandé son placement en redressement judiciaire, étape nécessaire pour assainir notre situation financière.

Nous savons que cette nouvelle peut susciter de l’inquiétude, c’est pourquoi nous tenons à vous rassurer : l’IMM poursuit normalement ses activités et rien ne change pour vous.

L’IMM connait en effet des difficultés financières depuis longtemps, en raison d’une situation immobilière complexe qui vient impacter lourdement notre budget. Pour autant, notre activité est en forte hausse, et nous figurons tous les ans dans les classements des meilleurs hôpitaux au plan national comme international. Nous sommes donc sereins et confiants dans la capacité de l’IMM à assurer sa transformation sur le long terme avec le soutien des autorités sanitaires.

Tous nos services sont et resteront pleinement opérationnels : tous les soins, consultations, hospitalisations, interventions… sont assurés avec les mêmes garanties d’excellence et de sécurité.

Nos professionnels sont mobilisés pour continuer à assurer nos missions de service public et à vous apporter au cours des années à venir les soins de la plus haute qualité, toujours sans dépassement d’honoraires.

Si vous avez la moindre question, nous vous invitons à nous contacter sur la ligne dédiée (ouverte du lundi au vendredi de 9h30 à 18h) : 01.56.61.65.71.

Nous vous remercions de votre confiance,

Jean-Michel Gayraud (Directeur général) et les équipes de l’IMM

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Communiqué de presse : OPTI-DEPIST-MUT

L’Institut Curie mène, en partenariat avec l’Institut Mutualiste Montsouris et le Centre de Santé du Square de la Mutualité, l’étude pilote OPTI-DEPIST-MUT : OPTImisation de l’Implémentation du DEPISTtage du cancer broncho-pulmonaire en Ile de France.

Lancé le 6 janvier 2025, cet essai vise à évaluer la faisabilité d’un diagnostic précoce du cancer du poumon auprès d’une large population à risque en Ile-de-France. Menée dans le cadre de la stratégie décennale de lutte contre le cancer et avec le soutien de la Fédération Nationale de la Mutualité Française (FNMF), c’est actuellement l’unique étude du genre en cours en France.

« Les actions de prévention contre le tabagisme – responsable de plus de 80 % des cancers du poumon – sont absolument essentielles. Mais un autre levier est tout aussi capital : le diagnostic précoce de la maladie. Parce qu’en France, plus de la moitié des cancers du poumon sont détectés à un stade métastatique, le dépistage organisé auprès de certaines personnes à risque peut considérablement changer la donne. A travers l’étude OPTI-DEPIST-MUT, portée par l’Institut Curie et l’Institut Mutualiste Montsouris, nous voulons montrer que, pour répondre à cet enjeu de santé public majeur, le déploiement et la mise en œuvre du dépistage organisé est possible », déclare le Pr Nicolas Girard, pneumologue, chef du département d’oncologie médicale de l’Institut Curie, coordinateur de l’étude OPTI-DEPIST-MUT.

Détecter le cancer du poumon à un stade précoce

Le cancer du poumon est la première cause de mortalité par cancer en France et son incidence augmente, en particulier chez les femmes[1]. Imputable au tabac dans 80 % des cas, ce cancer est trop souvent diagnostiqué tardivement. Plus de la moitié des patients découvrent leur maladie au stade métastatique suite à l’apparition de symptômes, et malgré les traitements, le pronostic est sombre. En revanche, dans les situations où le diagnostic est posé précocement, la chirurgie – quand elle est possible – est un traitement curatif, avec une survie supérieure à 85% à 5 ans[2].

A l’heure actuelle en France, il existe 3 types de dépistages organisés pour les cancers du côlon, du sein, du col de l’utérus. Concernant le poumon, si des questions sont posées autour du choix de la population cible et de l’interprétation des résultats, des études internationales ont démontré l’intérêt d’un dépistage des personnes exposées au tabagisme avec un suivi par scanner réduisant de 20 à 40 % la mortalité attribuable au cancer du poumon[3]. Dans le cadre de la stratégie décennale de lutte contre les cancers de l’INCa, la France a donc lancé des travaux pour établir les leviers et les freins au dépistage : c’est dans ce cadre que s’inscrit l’étude OPTI-DEPIST-MUT.

OPTI-DEPIST-MUT : une étude originale en Ile-de-France

Conduite par l’Institut du Thorax Curie-Montsouris, l’étude OPTI-DEPIST-MUT vise à recruter sur 18 mois 500 participants – la plus large cohorte mise en œuvre à ce jour – auprès de 10 centres d’inclusion, en s’appuyant sur le réseau de la Mutualité Française Ile-de-France qui regroupe plus de 5,2 millions d’adhérents en Ile-de-France et sur l’infrastructure du Centre de Santé du Square de la Mutualité qui effectuera les scanners de dépistage.

OPTI-DEPIST-MUT démarre par une campagne d’information et l’ouverture d’une plateforme Internet permettant aux personnes ciblées de vérifier leur éligibilité au programme, à travers une auto-évaluation des critères d’inclusion et d’exclusion (âge entre 50 à 74 ans, fumeur(se) ou ancien(e) fumeur(se) sevrés depuis 10 ans ou moins, résident(e) en Ile-de-France…). Les personnes éligibles sont ensuite orientées vers les centres investigateurs, avec un rendez-vous dédié, puis effectueront un scanner dans un délai maximal de 4 semaines. Le recrutement aura ainsi lieu sur 18 mois et les premiers scanners sur la 1ère année de l’étude, avec des suivis programmés à un an, trois ans et cinq ans.

Cette étude pilote menée à l’échelle de l’Ile-de-France offre ainsi une opportunité unique d’évaluer les modalités de mise en œuvre d’un dépistage du cancer broncho-pulmonaire en Ile-de-France, répondant aux enjeux de l’organisation d’un parcours de soins dédié.

Au-delà du dépistage précoce, la collecte des images radiologiques au cours de l’essai permettra de développer des outils numériques pour optimiser la lecture des scanners (analyse d’image, intelligence artificielle), mieux sélectionner les personnes les plus à risque et faciliter ainsi la prise en charge des dépistages positifs.

Chiffres clefs cancers du poumon en France (source INCa 2024)

> 52 777 nouveaux cas en 2023

> 30 400 décès en 2021

> En 2017, la prévalence du cancer du poumon est estimée à 169 718 personnes

> Age médian au diagnostic : 68 ans chez les hommes / 66 ans chez les femmes

> Taux de survie nette standardisée à 5 ans : 20%

Pour en savoir plus sur l’étude OPTI-DEPIST-MUT : curie.fr/opti-depist-mut

 

A propos de l’Institut Curie

L’Institut Curie, 1er centre français de lutte contre le cancer, associe un centre de recherche de renommée internationale et un ensemble hospitalier de pointe qui prend en charge tous les cancers y compris les plus rares. Fondé en 1909 par Marie Curie, l’Institut Curie rassemble sur 3 sites (Paris, Saint-Cloud et Orsay) plus de 3 800 chercheurs, médecins et soignants autour de ses 3 missions : soins, recherche et enseignement. Fondation reconnue d’utilité publique habilitée à recevoir des dons et des legs, l’Institut Curie peut, grâce au soutien de ses donateurs, accélérer les découvertes et ainsi améliorer les traitements et la qualité de vie des malades.

Pour en savoir plus : curie.fr, Twitter, Facebook, LinkedIn, Instagram

 

A propos de l’Institut Mutualiste Montsouris

L’IMM est un Etablissement de Santé Privé d’Intérêt Collectif ouvert à tous sans dépassement d’honoraires. Situé au 42 boulevard Jourdan Paris 14e, il constitue une structure hospitalière de 485 lits et places et développe principalement des activités lourdes ou complexes à dominante chirurgicale dans la plupart des domaines pathologiques, en dehors de la neurochirurgie et de l’ORL. Il propose également des parcours de soins dédiés aux personnes en situation de handicap. Pôle d’excellence en recherche et enseignement, l’IMM est à la pointe des innovations technologiques et figure parmi les meilleurs établissements de France.

En savoir plus : imm.fr | LinkedIn | Facebook | Instagram

 

A propos de l’Institut du thorax Curie Montsouris (ITCM).

L’ITCM regroupe le département de pneumologie et de chirurgie thoracique de l’Institut Mutualiste Montsouris et les départements d’oncologie médicale et d’oncologie radiothérapique de l’Institut Curie. Ces deux centres se sont unis pour permettre aux patients atteints de cancer du poumon et d’autres infections du thorax de bénéficier d’un parcours de soins coordonné et de l’expertise des professionnels des deux Instituts.

 

A propos du Centre de Santé du Square de la Mutualité

Le Centre de Santé du Square de la Mutualité, situé dans le 5ème arrondissement de Paris, garantit une offre de premier recours et pluridisciplinaire accessible à tous. Le Centre propose des consultations en secteur 1, sans dépassement d’honoraires pour toutes ses activités médicales, dentaires et d’imagerie.

Il accueille 40 000 patients et réalise plus de 100 000 consultations chaque année.

Le Centre a constitué un réseau ville – hôpital avec ses partenaires, l’Institut Curie et l’Institut Mutualiste Montsouris, qui permet ainsi de proposer une prise en charge complète, de la prévention au dépistage jusqu’à la chirurgie et au traitement du cancer si nécessaire.

[1] Source INCa 
[2] Raz DJ, Zell JA, Ou SH, et al. Natural history of stage I non-small cell lung cancer: implications for early detection. Chest 2007;
[3] Oken MM, Hocking WG, Kvale PA, et al. Screening by chest radiograph and lung cancer mortality: the Prostate, Lung, Colorectal, and Ovarian (PLCO) randomized trial. JAMA, 2011 / Pastorino U, Silva M, Sestini S, et al. Prolonged Lung Cancer Screening Reduced 10-year Mor tality in the MILD Trial Annals of Oncology, 2019 / Ann van Klaveren RJ, Oudkerk M, Prokop M, Scholten ET , Nackaerts K, Vernhout R, et al. Management of lung nodules detected by volume CT scanning. NEJM, 2009

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L’IMM lauréat des Trophées de la qualité des soins

Créés en 2024 par l’Agence Régionale de Santé, les Trophées de la qualité des soins récompensent l’excellence des professionnels de santé en Île-de-France. En valorisant les initiatives innovantes et les pratiques exemplaires, ils contribuent à améliorer la prise en charge des patients et à inspirer l’ensemble du secteur.

L’ARS d’Ile-de-France a annoncé les lauréats des Trophées de la qualité des soins, parmi lesquels figure le projet « Patient et Gestion des Risques : intégration de la voix du patient à l’analyse des EIAS et des patients partenaires au CREX et RMM » de l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM).

Depuis plusieurs mois, l’IMM a mis en place mis en place un processus de recueil enregistré et filmé du ressenti du patient pour l’analyse des Evènements Indésirables Associés aux Soins (EIAS) qui surviennent.

Dans une démarche d’amélioration continue de nos process, nous avons souhaité associer le patient, dont la parole est essentielle, au retour d’expérience suivant la survenu d’un événement indésirable.

Nous sommes très fiers de voir ce projet de collecte récompensé : il s’inscrit dans le cadre de notre volonté d’amélioration continue, et constitue la première étape d’un projet ambitieux intégrant, à terme, un « pool » de patients experts formés qui accompagneront cette démarche à nos côtés.

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Exposition « Au cœur du bloc »

L’Institut Mutualiste Montsouris est heureux de vous présenter l’exposition photo « Au cœur du bloc », réalisée par Anne-Claire Lambert, Infirmière de Bloc Opératoire Diplômée d’Etat (IBODE) et photographe amateur.

À travers 23 clichés originaux, vous découvrirez les coulisses de nos blocs opératoires et le travail de nos équipes.

Au-delà des blouses blanches, des masques, des instruments chirurgicaux, se dévoile une humanité à l’œuvre. Ces images vous invitent à un voyage au cœur du bloc opératoire, où science et engagement se conjuguent pour offrir une nouvelle chance à la vie. Ces photographies saisissent l’intensité de ces moments uniques. Elles rendent hommage à ces femmes et ces hommes qui, chaque jour, accomplissent leur mission avec un dévouement exceptionnel.

Nous vous attendons nombreux !

Informations pratiques :

Exposition gratuite

A partir du 3 janvier 2025

Grilles extérieures de l’IMM – 42-44 boulevard Jourdan – 75014 Paris

 

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Renouvellement de l’accréditation du laboratoire de l’IMM

Le laboratoire de biologie médicale de l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) est fier d’annoncer le maintien de l’accréditation sur la nouvelle version de la norme sans écart.

Cette accréditation témoigne de notre engagement constant à offrir des analyses de haute précision, tout en garantissant une prise en charge optimale de nos patients.
L’accréditation délivrée par le Cofrac (Comité Français d’Accréditation) confirme que notre laboratoire respecte des normes strictes à chaque étape des analyses médicales, de la phase pré-analytique à la post-analytique.

Pour les patients et les prescripteurs, cela signifie des résultats d’une grande précision, une sécurité renforcée et une conformité aux standards internationaux les plus élevés. Le laboratoire de l’IMM, polyvalent et ouvert à tous, participe activement à la prévention, au diagnostic et au suivi thérapeutique, tout en offrant des conseils avisés aux NF EN ISO 15189 :2022 médecins et aux patients.

Cette certification est le fruit de l’engagement et du professionnalisme de toute l’équipe du laboratoire.

Accréditation N°8-3143 Portée disponible sur www.cofrac.fr

 

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L’IMM au palmarès des 50 meilleurs hôpitaux de France

Le magazine Le Point vient de publier son palmarès des 50 meilleurs hôpitaux de France : pour l’année 2024, l’IMM figure en 32ème position et devient le 2ème Etablissement de Santé Privé d’Intérêt Collectif (ESPIC) de France !

Ce classement annuel, véritable référence à l’échelle nationale, évalue la qualité des établissements hospitaliers en France.
Il est établi à partir d’une méthodologie rigoureuse qui prend en compte de nombreux critères, tels que les résultats des patients, l’activité médicale, les moyens humains et matériels, la satisfaction des patients…

Bravo à toutes les équipes de l’IMM : cette distinction est une reconnaissance de la qualité des soins que nous offrons à nos patients, de notre haut niveau de savoir-faire et de notre capacité à innover.

Découvrez le classement détaillé de nos 20 spécialités référencées dans le classement :

Classement général : 32ème (2ème ESPIC)

Maternité :
• Accouchements normaux : 43ème /393

Cardiologie :
• Angioplastie coronaire : 4ème /199
• Chirurgie cardiaque adulte : 21ème /38
• Rythmologie : 5ème /244
• Cardiologie interventionnelle : 4ème /201

Veines et artères :
• Chirurgie des carotides : 1er /133
• Chirurgie des artères : 28ème /203

Orthopédie :
• Prothèse de hanche : 34ème /360
• Prothèse du genou : 7ème /343
• Chirurgie du dos de l’adulte : 19ème /122

Urologie :
• Cancer de la prostate : 1er / 138
• Adénome de la prostate : 2ème /246
• Cancer de la vessie : 1er /240

Gynécologie :
• Fibrome utérin : 10ème /311

Appareil Digestif :
• Chirurgie de l’obésité : 15ème /183
• Chirurgie du rectum : 34ème /162
• Cancer de l’estomac et de l’œsophage : 13ème /69
• Hernie de l’abdomen : 38ème /404

Ophtalmologie :
• Cataracte : 50ème / 302

Cancérologie :
• Cancer du poumon : 3ème /76

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JOURNÉE DE SIMULATION EN OBSTETRIQUE : une première à l’IMM

Le mardi 12 novembre, une trentaine de soignants de l’IMM étaient réunis autour d’un projet ambitieux d’une ampleur jamais vue dans nos locaux : une journée complète de simulation de scénarios d’urgence sur une femme enceinte. L’occasion pour les équipes de mettre en pratique les procédures d’urgence mises en place à l’IMM, dans le cadre d’une démarche d’amélioration

La simulation, un atout précieux en obstétrique

La simulation s’impose comme un outil indispensable dans la formation des professionnels de santé, et l’obstétrique ne fait pas exception. En reproduisant des scénarios d’accouchements complexes et inattendus, les simulations permettent aux médecins, sages-femmes et autres professionnels de se préparer au mieux à des situations réelles.

Grâce à ces exercices, les équipes médicales peuvent affiner leur coordination, améliorer leur communication et optimiser la prise en charge des patientes, contribuant ainsi à une meilleure sécurité maternelle et néonatale.

 

Une journée – deux scénarios

La simulation s’est déroulée sur toute la journée. En début de matinée, tous les participants ont participé à un briefing permettant de rappeler les enjeux de cet exercice, et les procédures & protocoles à suivre en cas de situations obstétricales urgentes. Ils ont également découvert le matériel mis à leur disposition et le mannequin sur lequel seraient effectuées les manipulations.

Les observateurs se sont alors mis en place et le premier scénario a été lancé : une situation d’urgence autour d’une femme enceinte, dans les couloirs de l’IMM. Tous les participants à l’exercice ont fait face à la situation dans les conditions du réel.

Une fois l’exercice terminé, un temps de débriefing a permis de partager les expériences, d’identifier les points forts et les pistes d’amélioration, favorisant ainsi un apprentissage mutuel et une meilleure coordination de l’équipe. Une seconde session, avec un autre scénario, en salle de naissance, a eu lieu l’après-midi.

 

Un beau succès collectif

Dès le débriefing, les participants ont montré leur enthousiasme. « Moins on est confrontés, moins on a l’habitude, et moins on pratique, moins on est efficace, explique une participante. C’est vrai que si on pouvait avoir la chance de le refaire régulièrement, ça ferait vraiment la différence ».

Pour Dr. Marlène Cherruault, l’une des organisatrices, cette journée a été une vraie réussite collective : « Nous sommes très contents de cette première simulation d’une telle ampleur, et nous prévoyons déjà d’en organiser d’autres. Les premiers retours nous prouvent l’importance de ce genre d’exercice : c’est très bénéfique pour l’équipe, et c’est un réel atout en matière d’apprentissage, quel que soit le niveau d’expérience des participants ».

La formation continue est au cœur de la démarche de l’IMM. Nous sommes convaincus que la simulation est un outil indispensable pour garantir l’excellence des soins : c’est pourquoi d’autres expériences d’apprentissage sont déjà prévues au cours des prochains mois.

 

Actualités

Rythmologie : première nationale à l’Institut Mutualiste Montsouris

Les premiers stimulateurs cardiaques sans sonde à double chambre ont été implantés le 4 novembre 2024 à trois patients du Département de Rythmologie de l’Institut Mutualiste Montsouris, hôpital privé à but non lucratif (PARIS 14ème), reconnu en quelques années comme l’un des centres les plus performants de France.

Ce premier stimulateur cardiaque sans sonde à double chambre miniaturisé (plus petit qu’une pile AAA), a également été implanté en simultané au CHU de Grenoble, à l’Hôpital Européen Georges Pompidou AP-HP (Paris 15ème) et au CHU de Tours.

Depuis des décennies, la technologie des pacemakers ne cesse d’évoluer jusqu’à atteindre aujourd’hui un degré de miniaturisation et d’adaptabilité uniques au monde, occasionnant par là-même un confort et une sécurité inédits pour les patients.

 

Du pacemaker traditionnel au pacemaker sans sonde

Le pacemaker traditionnel, implanté depuis des décennies, est composé d’un boîtier comprenant la batterie au niveau de la poitrine et d’une ou plusieurs sonde(s) permettant de délivrer l’énergie dans le cœur du patient. Ce système peut parfois s’accompagner de complications ou de contraintes comme des infections, des fractures des sondes ou encore, des limitations dans les mouvements. Ces dispositifs laissent aussi des cicatrices visibles et obligent les patients à se conformer à des restrictions physiques après l’implantation.

La technologie du pacemaker sans sonde a marqué un tournant dans la prise en charge des patients cardiaques. Il est implanté directement dans le cœur via la veine fémorale par une procédure miniinvasive. Ce type de dispositif élimine les complications liées aux sondes et offre au patient une récupération plus rapide et sans cicatrice.

 

Du pacemaker sans sonde au premier stimulateur sans sonde à double chambre

Jusqu’à aujourd’hui, les stimulateurs cardiaques sans sonde étaient limités à l’implantation d’une capsule dans le ventricule droit. Cependant, environ 80 % des patients nécessitant une stimulation cardiaque ont besoin d’une thérapie à double chambre, pour assurer la coordination entre les battements de l’oreillette et ceux du ventricule. Le premier stimulateur sans sonde à double chambre répond à ce besoin.

Deux implants distincts sont utilisés pour stimuler à la fois l’oreillette droite et le ventricule droit. Grâce à la technologie de communication innovante i2i™ (implant-à-implant), les deux dispositifs communiquent entre eux à chaque battement du cœur, assurant ainsi une coordination parfaite entre les deux chambres du cœur. Cette synchronisation est essentielle pour maintenir un rythme cardiaque normal et donc soulager les patients ayant des symptômes d’arythmie, notamment la fatigue, les étourdissements ou les essoufflements.

« Et ceci n’est qu’un début ! » selon le Docteur Olivier VILLEJOUBERT, cardiologue-rythmologue à l’Institut Mutualiste Montsouris et spécialisé en stimulation cardiaque sans sonde. « Cette technologie révolutionnaire d’implants capables de fonctionner de manière autonome mais aussi de communiquer entre eux permet d’envisager un système de stimulation évolutif en fonction des besoins de chaque patient. Avant, pour faire évoluer un pacemaker, il fallait le remplacer par un nouveau. Avec ce nouveau système, on rajoute une capsule qui vient compléter la première, comme si on « rajoutait une option ».

« Notre équipe a développé une grande expérience en stimulation cardiaque depuis des années (1200 pacemakers et défibrillateurs par an), en particulier en stimulation cardiaque sans sonde. Une telle évolution est pour nos patients un très grand pas : d’une part, ce système a un taux de complication très faible, et, d’autre part, il est évolutif. D’ici peu, nous auront accès aux capsules de resynchronisation cardiaque qui aident la contraction du cœur, et l’ensemble pourra probablement être intégré à un système de défibrillation pour la prévention de la mort subite. C’est un véritable écosystème évolutif qui vient de naitre ! ».

 

Des bénéfices concrets pour les patients

Les résultats des études cliniques sur le stimulateur cardiaque sans sonde à double chambre sont très significatifs. Le taux de réussite de l’implantation atteint 98,3 %, et plus de 95 % des patients ont bénéficié d’une synchronisation auriculo-ventriculaire parfaite après l’implantation. En pratique pour le patient, cela se traduit par des changements notables : absence de cicatrice donc plus de rappel visible de la présence d’un stimulateur au niveau de la poitrine, et plus aucune restriction de mouvement du bras. Les patients peuvent ainsi reprendre leur vie plus rapidement, sans les contraintes des pacemakers traditionnels.

Cette nouvelle technologie de stimulation sans sonde proposée apporte aujourd’hui une plus grande flexibilité pour le médecin dans l’adaptation de la thérapeutique à la condition de son patient. Le système est conçu pour pouvoir évoluer : un patient peut commencer avec l’implantation d’un stimulateur pour une seule chambre (ventriculaire ou auriculaire), il est ensuite possible d’ajouter un second implant si une stimulation à double chambre devient nécessaire. Cette capacité à évoluer avec les besoins du patient est une avancée majeure dans la prise en charge des soins cardiaques modernes.

Le dispositif, auriculaire et ventriculaire est aussi conçu pour être récupéré à long terme lorsque celui-ci arrive en fin de vie, permettant ainsi de le remplacer sans laisser de matériel dans le corps du patient.

 

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Scannez, répondez, vous nous aidez !

Votre expérience de patient nous intéresse. 

Récupérer le maximum de témoignages et d’expériences en provenance de nos patients nous permet d’identifier nos points d’amélioration mais aussi nos réussites sur lesquelles capitaliser. Alors, quel que soit le service dans lequel vous avez été hospitalisé, quelle que soit la durée de votre hospitalisation, relatez-nous comment s’est déroulé votre séjour parmi nous.

Comment ? C’est très simple !
Cliquez sur l’image ci-dessous ou avec l’appareil photo de votre portable, scannez le QR-CODE correspondant à la nature de votre séjour :

Prise en charge en ambulatoire
Hospitalisation supérieure à 1 jour
Maternité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le questionnaire peut être rempli dans votre chambre d’hospitalisation ou à votre retour à la maison.

Un grand merci d’avance !

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Une série de petits films sur le métier d’infirmière à l’IMM

Les courts témoignages de Caroline ou Patricia en orthopédie, de Manon ou Clémence en urologie, et de Manon en réanimation permettent de mieux comprendre de quelles façons elles exercent leur métier d’infirmière à l’IMM.

Une série de petits films sur le métier d’infirmière à l’IMM, sur les conditions de travail au quotidien et sur la façon dont nos professionnelles exercent leur métier est disponible en cliquant ci-dessous :

>>> VOIR LES VIDEOS

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De l’équithérapie

Grâce à la Fondation des hôpitaux, des adolescents âgés de 13 à 18 ans hospitalisés dans le service de psychiatrie de l’IMM bénéficient de séances d’équithérapie hebdomadaires.

Cette activité se réalise en petit groupe sur 9 semaines, au total 17 patients en bénéficient chaque année. L’équithérapie s’attache à améliorer les difficultés d’ordre psychique, comme l’angoisse, certains troubles du comportement, le manque de confiance en soi etc.
A la fin de chaque séance, les soignants recueillent les ressentis, les émotions, les appréhensions, les capacités, le plaisir, les difficultés des jeunes patients et l’évolution de chacun.

Un grand merci à la Fondation des hôpitaux sans qui ces séances ne pourraient exister.

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Bravo aux équipes de l’IMM !

Le magazine américain Newsweek vient de publier le classement des meilleurs hôpitaux du monde et cette année encore, l’IMM figure dans le classement !

Bravo aux équipes de cardiologie, de chirurgie cardiaque et d’oncologie qui, comme les années précédentes, sont classées parmi les meilleurs services du monde, ainsi qu’à l’ensemble des équipes pour cette belle récompense qui salue le travail accompli au service de nos patients !

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Diminuer l’anxiété avant une intervention.

Depuis de nombreuses années, les équipes de l’IMM améliorent le parcours des patients avant leur intervention.
Les différentes étapes mises en place permettent aux personnes qui en bénéficient d’être plus détendues en arrivant au bloc.
Conséquence : un endormissement et un réveil de meilleure qualité. Explications en vidéo.

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De nouveaux postes d’Assistant Parcours Patients APP, ont été créés.

Afin de permettre aux infirmiers (ères) de se concentrer sur les soins, de nouveaux postes d’Assistant Parcours Patients APP, ont été créés dans les différents services de l’IMM. Ces personnes, souvent aides-soignantes sont désormais en charge de toutes les missions (administratives notamment) qui ne sont pas des soins.

Cette initiative dont le bilan est positif est très appréciée des équipes.

Elle a fait l’objet d’un reportage sur France 5.

 

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Une nouvelle expo d’œuvres d’art a pris place dans le hall de l’IMM

Une nouvelle expo d’œuvres d’art a pris place dans le hall de l’IMM.
Colorées, apaisantes, surprenantes parfois, toutes ces œuvres ont pour objectif d’offrir aux patients un moment d’évasion.

Quelques explications sur les artistes et les œuvres :

Avec la série abstraction végétale, l’artiste Alain Cabot, a travaillé les courbes, les lignes, les textures végétales, et les couleurs qui amènent l’ensemble vers l’abstraction.
Selon l’artiste, ses œuvres donnent corps et matière à l’invasion du végétal. L’humain s’est approprié la nature en cherchant à la domestiquer en oubliant qu’il fait partie de cette nature.
www.alain-cabot.fr

Zoulikha Amrani est une jeune artiste peintre autodidacte. Après plusieurs années dans les Ressources Humaines, elle décide de se consacrer totalement à la peinture. Elle exprime ses émotions sur la toile et invite les spectateurs à les ressentir à leur tour.
amrani-art.com

Pascale Raginis est originaire du Havre. Inspirée par la mer et ses variations, elle a démarré sa carrière en tant que dessinatrice et coloriste dans le textile. Depuis presque 20 ans, elle se consacre à la peinture en tant que professeure et en tant qu’artiste.
www.pascaleraginis.com

Cédric Foussier est un jeune artiste exerçant le métier de radiologue dans notre institution.
Tantôt photographe plasticien, tantôt radiologue plasticien, il tente de réunir ces deux mondes en transformant des images radiologiques et photographiques pour les faire converger vers une même direction. Son exposition s’intitule “Frontières entre Radiologie et Photographie”.
www.cedric-foussier.com

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L’IMM recrute des IDE dans différents services

L’IMM recrute des IDE dans différents services.
Rejoignez nos équipes et bénéficiez de conditions de travail attractives, d’une situation géographique privilégiée, d’un plateau technique performant,

  • Conditions de travail
    Un pool important de personnel polyvalent IDE et AS, permettant la prise de congés.
    Des prime(s) de pool pour les salariés affectés au pool.
    Une présence médicale permanente et disponible.
    Une mobilité pour les soignants qui est réellement favorisée.
    Un ratio patients / soignants plus faible qu’ailleurs.
    Des possibilités d’évolution et de formations diplômantes et certifiantes.
  • Des plannings facilitant l’organisation de la vie personnelle.
    Un planning majoritairement en journées de 12h, y compris au bloc opératoire.
    Pour les IDE, 3 jours de récupération supplémentaires pour le temps de transmission.
  • Pour le personnel de nuit :
    Un cycle attractif (1 463 heures / 121 nuits par an) : une semaine off par mois et un planning qui génère 13 semaines de congés ou récupérations à l’année.
    Possibilité de faire des journées et des nuits supplémentaires.
  • Une situation géographique privilégiée :
    Facilité d’accès (RER, tramway, métro, bus).
    Un parking privé et gratuit.
  • Un véritable parcours d’intégration et de formation :
    Un parcours d’intégration est défini par l’encadrement selon les services.
    -Pour le personnel du bloc Opératoire, un parcours d’intégration et de formation personnalisé en fonction de votre expérience est assuré par des référents et supervisé par l’encadrement (6 à 8 semaines pour les IADE, plusieurs semaines pour les IBODE, pour couvrir l’ensemble des secteurs, la polyvalence étant l’objectif pour toute l’équipe).
    -Pour la réanimation, un parcours de formation de 4 à 5 semaines est supervisé par des tuteurs référents et l’encadrement du service.

Découvrez l’IMM en vidéo :

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L’IMM élargit son offre de soins

L’IMM élargit son offre de soins et accueille un nouveau département de chirurgie maxillo-faciale.

Un partenariat avec le Centre de Santé du Square de la Mutualité dans le 5e Arr permet d’assurer une continuité avec les soins externes sans dépassement d’honoraires. Pour la prise en charge des cancers, le département travaille en collaboration avec l’Institut Curie.

Découvrir le service de chirurgie maxilo-faciale

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Architecture de l’IMM

L’architecture de l’IMM qui date de 1999, étonne et séduit les visiteurs qui y entrent pour la 1ere fois. Certains oublient même qu’ils sont dans un hôpital. Adrien Fainsilber l’architecte de ce bâtiment (issu de la fusion entre l’hôpital de la porte de Choisy et l’hôpital de la Cité U) avait remporté le concours grâce à un projet remarquable et très ambitieux.  Les étapes de la construction sont visibles dans la vidéo ci-dessous.

Adrien Fainsilber est né en 1932. ll a effectué ses études d’architecture à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, à l’Académie royale d’architecture de Copenhague. Son épouse, Julia Fainsilber, travaille au sein de l’agence, elle s’occupe du choix des matériaux, des couleurs, du mobilier et de la signalétique.

Adrien Fainsilber est également à l’origine de plusieurs établissements hospitaliers tels que : le centre de moyen et long séjour du Kremlin-Bicêtre (1991),l’ hôpital pour enfants de Purpan à Toulouse (1998), la faculté de médecine et de pharmacie de Besançon (2003) et l’hôpital pédiatrique et gynéco-obstétrical de Lyon (2007), hôpital d’Evry (1978-1981)…

Mais aussi de nombreux équipements publics et ensembles tertiaires : centre EDF à La Défense (1979-1981), siège social de l’UNEDIC à Paris (1996) ; le musée d’art Roger-Quillot à Clermont-Ferrand (1986), le musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg (1997), le palais de justice d’Avignon (2000), etc.

Membre de l’Académie internationale d’architecture, Adrien Fainsilber a enseigné à l’Institut d’urbanisme de Paris et à l’école d’architecture de Paris-Tolbiac. Il a reçu le Grand prix d’architecture en 1986. Il est chevalier de la Légion d’honneur et officier des Arts et des Lettres.

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Un espace de détente pour les salariés a ouvert ses portes à l’IMM.

Cette « bulle zen » est ouverte 7 jours sur 7 et 24h sur 24, pour permettre à tous les personnels d’en profiter nuit et jour. Un cocon de sieste, un décor apaisant, un fauteuil massant, un canapé, des magazines, cet espace a été pensé pour permettre à chacun de profiter d’une pause zen sur son lieu de travail.

Ce projet a bénéficié d’un cofinancement de la Fondation des hôpitaux  qui œuvre pour le bien être des personnels hospitaliers.

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Une nouvelle déco pour une nouvelle ambiance au bloc opératoire.

Grâce aux dons, le projet de transformer le couloir du bloc opératoire a vu le jour.

De grands décors muraux l’égayent désormais. Passage obligé, ce couloir est emprunté par les patients qui se rendent dans les salles d’intervention et par tous les personnels du bloc. Différents thèmes avaient été proposés pour une décoration gaie et colorée, ce sont les équipes qui ont choisi et le résultat rencontre beaucoup de succès. Merci aux donateurs de l’IMM.

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Une nouvelle technique pour traiter certaines tumeurs pulmonaires a été réalisée avec succès

Une nouvelle technique pour traiter certaines tumeurs pulmonaires a été réalisée avec succès pour la 1ere fois en France au bloc hybride de l’IMM le 6 décembre dernier.
L’intervention a réuni les équipes de chirurgie thoracique, d’imagerie interventionnelle, de pneumologie et d’oncologie, qui ont conjugué leurs expertises en navigation et en traitement micro-ondes pour proposer ce traitement minimalement invasif à une patiente présentant une lésion métastatique pulmonaire. Tout s’est parfaitement déroulé et la patiente a pu quitter l’hôpital dès le lendemain.

Un grand bravo à toute l’équipe !

 

« Le principe de la technique de thermo-ablation par micro-ondes est l’administration locale d’une énergie induisant une élévation de température, qui entraine une mort cellulaire irréversible », explique le Dr Agathe Seguin-Givelet, responsable du département de chirurgie thoracique, qui a coordonné la mise en œuvre de cette technique dans le cadre de l’Institut du Thorax Curie Montsouris.

L’objectif est de porter à haute température un volume contenant l’intégralité de la lésion, ainsi qu’une marge de sécurité. Cette intervention peu invasive est réalisée sous anesthésie générale. Elle est utilisée pour la destruction de certaines tumeurs du foie, du rein et du poumon. Son efficacité est reconnue, mais l’approche actuelle, dite « percutanée » (c’est-à-dire à travers la peau), peut entrainer des complications : hémorragies, pneumothorax, fistules broncho-pleurales.

Le développement d’une nouvelle voie d‘accès par l’intérieur des bronches permet de diminuer le risque de survenue de ces complications, offrant ainsi plus de sécurité aux patients. Elle se pratique en amenant la sonde d’ablation par les voies naturelles de l’arbre respiratoire : c’est cette technique qui a été mise en œuvre pour la première fois en France à l’IMM le 6 décembre dernier.

Jusqu’à présent, seuls les services de chirurgie thoracique de l’hôpital St Barts à Londres (Pr K Lau) et le service de chirurgie thoracique de l’hôpital Prince of Wales Hospital, à Hong Kong, avaient réalisé de telles procédures avec le même dispositif et publié des résultats très encourageants.

L’ablation par micro-ondes peut être proposée chez des patients présentant une tumeur du poumon primitive ou métastatique de petite taille, lorsqu’un traitement classique comme la chirurgie ou la radiothérapie ne peut être effectué.

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Centre de fertilité

L’équipe de PMA propose une prise en charge optimale pour les femmes âgées entre 29 et 37 ans qui souhaiteraient cryoconserver leurs ovocytes en vue d’une utilisation ultérieure pour un projet parental.
Depuis l’application du décret des nouvelles lois de Bioéthiques en décembre 2021, Le centre de l’IMM dispose des autorisations pour cette préservation de fertilité non médicale (dite sociétale).
L’équipe s’organise pour proposer des délais de première consultation rapide et une prise en charge diagnostique et thérapeutique optimales et personnalisées.
Le secrétariat est à la disposition des patientes pour répondre aux questions au 01 56 61 61 05 ou au 01 56 61 61 06

 

FAQ sur la prise en charge en AMP pour la préservation de la fertilité à l’IMM : cliquer ici

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Une assistante pour les infirmiers (ières)

 

Afin de pour permettre aux infirmiers (ères) de se centrer sur leur métier, les soins, un nouveau poste d’assistant des soignants a été créé dans tous les services de l’IMM.
Cette personne est désormais en charge de toutes les missions (administratives notamment) qui ne sont pas des soins.
Quelques mois plus tard, le bilan est particulièrement positif.

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Concert exceptionnel

Dans le cadre du mois sans tabac de novembre 2022, l’équipe de l’Institut du Thorax Curie Montsouris vous invite à un événement le 19 octobre 2022 de 20h à 22h : une heure de conférences médicales autour des maladies pulmonaires causées par le tabac et une heure de concert exceptionnel d’instruments à vents avec plus de 40 musiciens de l’orchestre Harmonie renaissance (musique d’Ennio Morricone).

Entrée gratuite mais réservation nécessaire à l’adresse : moissanstabac@imm.fr
Théâtre traversière : 15 bis rue Traversière 75012 Paris.
Cliquez ici pour plus d’info

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Programme innovant pour certains cancers thoraciques

Le département de chirurgie thoracique de l’IMM a démarré un programme innovant de chimiothérapie hyperthermique intrathoracique (CHIT). Cette nouvelle technique est utilisée pour le traitement de certaines tumeurs malignes pleurales.

Le principe consiste à diffuser une chimiothérapie dans la cavité thoracique pendant une intervention chirurgicale afin de mettre en contact directement les cellules tumorales résiduelles à des concentrations très importantes de chimiothérapie qui ne pourrait pas être administrée à de tels niveaux par voie sanguine sans toxicité.

Ce programme est coordonné par le Dr Alessio Mariolo avec le Dr Agathe seguin-Givelet, bravo à toute l’équipe.

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2 équipes médicales accréditées

Deux équipes médicales de l’IMM ont été accréditées par l’HAS (Haute Autorité de Santé): notre équipe d’anesthésistes, (la plus grande équipe jamais accréditée en France) et notre équipe de chirurgiens thoraciques.
Cette accréditation porte sur la qualité et la sécurité des soins, c’est-à-dire la qualité des pratiques professionnelles, le nombre des événements indésirables associés aux soins, la sécurité du patient…
Les professionnels ont également démontré leur capacité de travailler en équipe, de prendre en charge des patients de façon collective, de suivre des formations régulières etc.

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Aider les jeunes aidants

L’Association nationale JADE, a pour objectif de porter la voix des jeunes aidants en France, de les accompagner et de les soutenir.
Les jeunes aidants sont des enfants et/ou adolescents de moins de 18 ans qui apportent une aide significative régulière à un proche malade, en situation de handicap et/ou de perte d’autonomie.
Les ateliers JADE sont des lieux de répit et d’expression artistique à destination de ces jeunes
Ces situations sont encore trop peu visibles c’est pourquoi JADE mène également des actions de sensibilisation à destination des professionnels (Éducation nationale, santé, social et médico-social) pour la reconnaissance des jeunes aidants et de leurs proches aidés.
Pour plus d’information et pour accéder à la vidéo de présentation rapide :
https://jeunes-aidants.com/

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Le pouvoir thérapeutique de l’eau

Le pouvoir thérapeutique de l’eau et notamment les bienfaits de l’eau froide sur le corps humain font l’objet de recherches pour l’amélioration des performances et la préparation de certains athlètes ou pour traiter certaines pathologies telle que l’hypertension artérielle.

Explications avec le Dr François Raoux cardiologue du sport à l’IMM et à l’Insep et spécialiste du sujet dans un reportage de France 5.

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L’IMM a obtenu le label « Haute qualité des soins »

L’IMM a obtenu le label « Haute qualité des soins », le plus haut label de certification délivré par la Haute Autorité de Santé (HAS).
Ce résultat est le fruit du travail de l’ensemble des collaborateurs de l’IMM toujours soutenu par l’équipe qualité.

En place depuis 20 ans, la certification est une procédure indépendante d’évaluation obligatoire du niveau de qualité et de sécurité des soins dans les établissements de santé, publics et privés.
Elle est réalisée tous les 4 ans par des professionnels de santé : les experts-visiteurs. Depuis 2020, elle évalue encore plus précisément les pratiques des soignants, mais aussi la qualité et la sécurité des soins.

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De l’art à l’IMM

Permettre aux patients et aux visiteurs de s’évader, d’oublier un moment l’hôpital devant une œuvre d’art, tel est le but des différentes expositions organisées plusieurs fois par an dans le hall de l’IMM.
Nombreux sont ceux qui s’arrêtent, contemplent, s’interrogent, découvrent…
Les artistes qui exposent sont tous des amateurs heureux d’offrir un moment d’évasion à ceux qui traversent le hall, d’apporter une touche de gaieté.
Ces expositions sont ouvertes à tous les artistes qui le souhaitent.

Découvrir les artistes du moment en cliquant ici

Pour postuler il suffit d’envoyer un mail à communication@imm.fr

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La maternité de l’IMM classée 3e maternité de Paris

Sur les 69 maternités de la région Ile de France, la maternité de l’IMM a été classée 3e maternité de Paris, et 10e d’Ile de France, classement paru sur lefigaro.fr en mai 2023. Retrouvez de nombreuses informations sur le site internet de notre maternité dédié aux mamans et futures mamans : www.maternite-montsouris.com

Pour établir ce classement, différents critères ont été pris en compte dont le nombre d’accouchements par gynécologue et sage-femme, les taux de césarienne et d’épisiotomie, les ateliers, cours de préparation à la naissance, consultations spécialisées proposées en interne ainsi que les différentes positions d’accouchement. Et enfin, le score de satisfaction générale du fichier Scope Santé de l’HAS.

 

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Visite d’Amélie Verdier Directrice Générale de l’Agence Régionale de Santé d’Ile de France

Visite d’Amélie Verdier Directrice Générale de l’Agence Régionale de Santé d’Ile de France, vendredi 22 avril.
Dans les étages d’hospitalisation de l’IMM, au bloc, elle a rencontré et discuté avec les professionnels de l’IMM.

Accueil dans le hall par Mr Christophe Bourret, Président de la Matmut, Mr Jean-Michel Gayraud Directeur général et une partie de l’équipe IMM.

 

Rencontre et discussion avec les professionnels dans les étages. Au 7e, avec le Dr Agathe Seguin Givelet, responsable du département de chirurgie thoracique.

 

Visite d’une chambre spécifique, équipée pour les femmes handicapées à la maternité. Explications de Marianne Durand sage-femme cadre et du Dr Christine Louis-Sylvestre, responsable du département mère-enfant.

 

Discussion avec le Dr Christophe Caussin, responsable du département de cardiologie interventionnelle.

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Pré-admission en ligne

Pour faciliter les démarches avant votre hospitalisation et éviter de vous déplacer vous pouvez désormais réaliser votre Admission en ligne.

Dès la prise de votre RDV d’anesthésie, vous recevrez un SMS avec un lien. En cliquant dessus, vous accéderez directement à votre formulaire de préadmission pré-rempli.

Ou directement sur la rubrique Admission en ligne sur cette page d’accueil.

Le formulaire est simple, intuitif, rapide à remplir et disponible 7j/7 et 24h/24

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Proctologie : consultation le mercredi et jeudi

Une consultation de proctologie est assurée au sein du service de gastroentérologie de l’IMM par les Docteurs Christian Thomas, Marie-Lise Thierry et Maroua Ben Khelifa, le mercredi et jeudi.

Les traitements instrumentaux de la pathologie hémorroïdaire comme la photo coagulation infrarouge ou la ligature élastique des hémorroïdes, peuvent être réalisés en consultation.

Si un traitement chirurgical est nécessaire, nos gastroentérologues proctologues réalisent les interventions en ambulatoire.

Certains dossiers de patients sont présentés en réunion pluridisciplinaire associant les proctologues, les chirurgiens digestifs, les chirurgiens gynécologues et les urologues de notre établissement et lors de cancer, avec les radiothérapeutes de l’Institut Curie.

Pour prendre RV : 01 56 61 63 50 ou en ligne en cliquant ici

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L’analgésie péridurale déambulatoire

Pour mieux répondre à la demande actuelle d’un accouchement plus naturel, moins « médical », les anesthésistes de l’IMM propose l’analgésie péridurale déambulatoire.

Il s’agit d’utiliser des solutions d’anesthésiques locaux conservant une sensibilité suffisante dans les jambes pour permettre la marche. En pratique, la patiente est levée progressivement sous le contrôle d’un professionnel de santé, une demi-heure après la pose du cathéter péridural. Elle peut ensuite marcher dans sa chambre, faire du ballon et se promener dans l’enceinte de la maternité, toujours en présence d’un accompagnant afin de limiter le risque de chute.

Cette nouvelle procédure permet donc aux patientes qui en font préalablement la demande, une plus grande liberté de mobilisation dans des conditions de sécurité optimale et potentiellement une amélioration de la mécanique obstétricale. Jusqu’à présent, les patientes qui ont pu bénéficier de cette nouvelle prise en charge sont très satisfaites

 

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